La Muse Inspiratrice

face à une Mona qui est prête à aller travailler afin de faciliter et rendre possible le souhait de son bien-aimé : profiter de tout son temps libre pour commencer à écrire. On a ainsi, le thème de la muse inspiratrice qui est omniprésent dans la trilogie de Miller, Mara représente la muse inspiratrice de Miller, elle l'inspire et c'est la femme qui est là pour le soutenir. Il y a une sorte, pour Miller, de rôle positif chez Mona, elle le pousse à la rupture, c'est-à-dire que si Miller se met à écrire

contre deux injustices dont elle est victime : Sa condition de noire, mais également sa condition de femme. L’écriture est pour elle un moyen de libération. II. RAPPORTS DE LA FEMME A LA LITTERATURE La femme est d’abord inspiratrice, c’est-à-dire qu’elle sert de muse ou de sujet à l’écrivain. Elle est également animatrice de cercles ou de mouvements littéraires : depuis les Précieuses du XVIIème siècle, que nous avons évoqué, et qui recevaient dans leurs salons les grands noms de l’époque,

inachevé (1956), Elsa (1959), Le Fou d'Elsa (1963) et Il ne m'est Paris que d'Elsa (1964). A la gloire de la femme aimée, Aragon, peut-être le dernier «  poète courtois », a composé ses plus merveilleux poèmes. Nombreux sont les poètes qui ont eu leur muse. Pétrarque a chanté Laure, Ronsard Hélène, Lamartine, Elvire, c'est à Elsa qu'Aragon donne ses poèmes qui comptent parmi les plus beaux chants d'amour qu'un poète ait écrits. Dans le texte, « Il ne m’est Paris que d’Elsa », Aragon traduit sa solitude

littéralement. En utilisant le « merveilleux sexuel », le cérémonial de la représentation devient souvent un rituel qui expose la géographie du corps féminin avec ses rondeurs, ses creux et ses courbes harmonieuses. Dans la rêverie d’Eluard, la femme devient muse, « principe de vie, interlocutrice idéale ». Et l’amour que chante le poète vise à vaincre une distance afin de retrouver l’Autre aux portes de l’Instant : « Si c’était à recommencer, je te rencontrerai sans te chercher ». Les signes littéraires

L'artiste doit s'accorder avec la nature pour la peindre, pour la recréer, le peintre désireux de peindre l'oiseau doit tout d'abord saisir du regard et du cœur l'animal vivant avant de pouvoir le recréer sur la toile. Donc, l'oiseau est ici la muse inspiratrice du peintre qui s'il sait voir peut retranscrire la vraie vie dans ce qu'elle a de plus profond. L’abeille : analogie entre l’abeille et la femme Peindre d'abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque

universités, formateur en lettres à l’ESPE Paris-Sorbonne p. 2-3 Séance 2 › Spleen (LXXVIII), le poème des illusions perdues (première) p. 3-4 p. 5-6 Séance 3 › L’Albatros, le double du poète (seconde) Séance 4 › L’Invitation au voyage, le rôle de la muse (seconde et première) p. 6-7 Séance 5 › Les Chats, animaux mythologiques de compagnie (seconde) p. 8 Séance 6 › L’Ennemi, la tyrannie du temps qui passe (seconde et première) Séance 7 › Du texte à l’image (seconde) Séance 8 › Questions d’ensemble

exemple à retenir, rappelons entre autre que Hugo et Picasso ont la réputation de ne pas être restés dans leur rapport avec l'autre sexe dans cette zone éthérée où l'on imagine l'artiste ... Soulignons cependant pour eux l'importance de l'"inspiratrice", de la muse : Juliette ou Béatrice. Pour Freud, l'artiste crée pour exprimer ses désirs inconscients refoulés, sous une forme socialement acceptable. (...) ………………………………………………………………………………………………….. 1° L'ART THERAPEUTIQUE A) FREUD Le côté thérapeutique

espoir du salut dans une invitation finale à trouver du nouveau dans quelque chose qui la transcendeL’art : Apparait à de nombreuses reprises en référence picturales à Delacroix, Boundin, Boucher…La femme : C’est une inspiratrice pour Baudelaire, une muse aux multiples visages : mère, amante, déesse diablesse : · Jeanne Duval : sensualité, exotisme· Mme Sabatier : inspire une passion spirituelle· Marie Daubrun : joue le rôle de sœur et d’amante. Femme incarne Idéal, douceur

de Beauvoir ; le comte de Belgiojoso ; le comte d'Alton-Shée. Avec eux, il menait une vie très libre, parsemée d'amours passagères sans noblesse. Auprès d'eux et sous leur influence, rivalisant d'esprit et de cynisme, il ne pouvait célébrer qu'une muse plus légère que chaste. Comme, décidément, la poésie était sa seule vocation, on le laissa libre de s'y consacrer. Mais il ne s'y livra qu’à ses heures, sans grande volonté de percer, bien décidé, déjà, à ne pas forcer son talent. On a conservé peu

négatives pourrait être traitée de cassandre. 2 - Diane Verny, femme du sculpteur Maillol qui la représenta souvent dans ses œuvres, était donc sa muse. 3 - Un homme politique expérimenté qui donne des conseils à un jeune collaborateur pour le faire progresser est un mentor. 4 - Juliette Drouet fut la maîtresse de Victor Hugo, mais aussi son inspiratrice et sa conseillère, elle était son égérie. 5 - Le renard dans la fable de La Fontaine flatte le corbeau qui n’est qu’un oiseau noir sans grande beauté