La Méritocratie Et égalité Des Chances

ds d'autres secteurs. -si le K et le L sont mobiles. Mobilité sociale : phénomène de déplacement des individus ds l'espace social. Différent de l'hérédité sociale. Egalité des droits = correspond à l'égalité devant la loi de tous les i. qui sont égaux dvt la norme juridique qui est la même pour tous. Egalité des chances = principe selon lequel la situation sociale d'un i. ne dépend pas de son origine sociale éthnique, de son genre, mais sa situation sociale dépend dépend de son mérite de

Inégalités et croissance économique dans les pays développés Que ce soit dans la DDHC de 1789 (article I : « Tous les hommes naissent libres et demeurent libres et égaux en droit ») ou dans la devise de la république française (« Liberté, égalité , fraternité), le principe d’égalité apparait comme un principe majeur. Dans De la démocratie en Amérique, publié en 1835, Alexis de Tocqueville analyse ainsi le principe égalitaire comme le but ultime vers lequel tend toute démocratie. Les citoyens seraient

mondial : plein emploi et réduction des inégalités 3eme policy mix : articuler pol éco et pol sociale (1 :POMO/pol budg, 2 :pol struc/conj)  engendrer de la Xce par le social A OKUN : Equality and efficiency. 75 : s’intéresse à nouvel arbitrage : égalité/efficacité  trop d’égalité nuit à l’efficacité: si on veut que le système soit efficace il lui faut des inégalités. Polanyi : marché défaillant, l’Etat doit réduire les inégalités (surtout 19eme, la « q° sociale », paupérisme) L’Etat soc commence

principe acquis, il n'est pas hérité. La notion de mobilité sociale prend se source dans les démocraties, chacun ayant la liberté de choisir son destin, l'égalité des chances étant proclamée, et la distribution des places dans la structure sociale s'effectuant en fonction du principe de rationalité et en vertu du principe de méritocratie. Les premières enquêtes de mobilité sociale sont apparues aux EUA au XXème siècle et on y met donc le plus en avant la mobilité sociale. 1 - Les outils d'étude

un enjeu d’importance. La justice à laquelle aspire l’individu imprégné de ce discours, mais au fait des déterminants sociaux qui pèsent sur lui, prend alors le nom d ‘ “ égalité des chances ”. Ainsi, Raymond Boudon dans l’Inégalité des chances, dénonce l’inadéquation entre structure scolaire et sociale. L’inégalité des chances proviendrait du fait que les différents milieux sociaux n’ont pas la même estimation des coûts et avantages de la poursuite d’étude, et plus l’origine sociale est élevée,

d'invoquer la nécessité de retrouver un sens plus républicain du collectif pour sortir de l'état actuel des choses. Car derrière les multiples formes d'inégalités scandaleuses, il y a en effet aussi la crise de l'idée d'égalité et le culte de la méritocratie qui s'est imposé comme nouvelle idéologie dominante. Derrière les formes ouvertes ou rampantes de sécessions et de séparatismes, il y a le déclin de la confiance et l'effritement de la démocratie-société. Derrière le recul de la solidarité, il

controverse qui oppose les libéraux français aux défenseurs du contrat social. Il semblerait ainsi que les libéraux soient d'avis que l'individu ait des libertés contre l’État, ce que Rousseau notamment ne considère pas, puisque pour lui, liberté et égalité sont deux choses qui vont ensemble. Néanmoins ce rapport équilibré n'est pas réel d'après les libéraux, bien qu'ils considèrent que le fait qu'un individu prenne part à l'administration d'un État soit nécessaire pour que la liberté existe. Et Tocqueville

démocratie, tous supposés au moins être égaux en droits et cette égalité de droit tend à faire vivre les individus comme égaux. 3.1/ L'égalisation des conditions, la fin annoncée des classes sociales cf texte 3 Avant/après la démocratie : l'évolution des rapports maître/serviteur La mécanique de la frustration relative: toujours plus d'égalité Dans l'état social démocratique, parce qu'il y a une distinction entre égalité de droit/de fait, et bien l'inégalité est très mal vécue Dans un

chiffres sont tirés de A. Mesrine, "Les différences de mortalité par milieu social restent fortes", in Données sociales 1999. Rappelons que ces chiffres signifient que les cadres qui ont 35 ans aujourd'hui ont une chance sur deux d'atteindre ou de dépasser 81 ans (35+46) et les ouvriers une chance sur deux d'atteindre ou de dépasser 72 ans (35+37), ce qui fait quand même 9 ans de moins en moyenne. Les chiffres montrent aussi des inégalités devant la mort en fonction de la région où l'on habite. Les inégalités

entre les classes supérieures et les classes populaires. La question des mobilités et reproductions sociales : elle envoie à la question de la justice sociale dans les études de mobilité on analyse l’inégalité s’accès à une position social et les chances qu’un individu a accéder à la mobilité. Elle renvoi a la liberté de chacun a choisir son destin social c’est d’idée que dans une société qui prône la mobilité. Ce qui permet d’opérer une ascension ou stagnation ou régression sociale. Mais aussi