La Métaphore Dans La Bête Humaine De Zola

autant la famille que le héros. Marthe Robert dit : « L’origine de tous roman est le roman familial ». Dans Balzac, cela se rapporte à « mon père n’est pas mon père ». c’est le roman de la famille au XVIIIème siècle. Le roman central de la Comédie Humaine est le Père Goriot. Il y a une problématique familiale chez Rastignac et dans l’histoire de Goriot et de ses filles. C’est également le cas de façon métaphorique dans la pension Vasquer : c’est un monde de pervers et de ratés. IV).Les personnages

Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  : Aragon, Le Paysan de Paris – Le Théâtre de l’absurde : Ionesco, La Cantatrice chauve – Le Nouveau Roman : Sarraute, Le Planétarium. **5. Repérer les ruptures marquées par les mouvements a. Le classicisme, sur bien des

personnage : l’arriviste L’ambition, l’envie, l’orgueil sont des caractéristiques humaines réfléchies dans les divers genres et registres de la littérature depuis toujours : de L’Iliade et L’Odyssée au Bourgeois gentilhomme et Tartuffe ou aux Noces de Figaro et Britannicus en passant par ses punitions dans La divine Comédie. Mais elles trouvent leur apothéose au 19ème siècle avec le grand cycle de « La Comédie humaine » : après avoir goûté la cruauté et l’amertume de la société parisienne, et, désormais

deux Guerres mondiales ont laissés une emprunte irréversible sur les âmes et les consciences de ceux qui l ont vécue. Les écrivains, infatigables messagers de l humanité, ont pu dénoncèrent ces horreurs, remettant en cause la pureté même du genre humain. Jean-Paul Sartre est l un de ces messagers. Grand philosophe français du XXème siècle, il est, pendant sa jeunesse, un auteur individualiste. Cependant, l expérience de la Guerre le transforme et il devient le Sartre militant, connu pour son engagement

présentée, organisée et écrite, que la description a une fonction esthétique : si elle n’a plus nécessairement un rôle ornemental, elle se rattache toujours plus ou moins implicitement à un courant littéraire. La description romantique (où domine la métaphore) se distingue, par exemple, de la description réaliste (qui ne dédaigne pas les termes techniques) et celle du Nouveau Roman (qui prend parfois l’aspect d’un compte rendu). * Le personnage comme signe . L’ « être » du personnage :

prince ennemi de la fraude » — Molière, Tartuffe l’anadiplose reprise d'un même mot en fin de phrase et en début de phrase suivante; proche de la concaténation. L'épanadiplose et l'anadiplose sont des formes particulières d'épanalepses « Il est bête. Bête il restera. » l'autocatégorème répétition d'une accusation envers soi, délibérée ou feinte, afin de susciter une dénégation de l'interlocuteur « Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable » — Molière, Tartuffe l'autocorrection reprise

Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU Monde À CONSULTER • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain

prince ennemi de la fraude » — Molière, Tartuffe l’anadiplose reprise d'un même mot en fin de phrase et en début de phrase suivante; proche de la concaténation. L'épanadiplose et l'anadiplose sont des formes particulières d'épanalepses « Il est bête. Bête il restera. » l'autocatégorème répétition d'une accusation envers soi, délibérée ou feinte, afin de susciter une dénégation de l'interlocuteur « Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable » — Molière, Tartuffe l'autocorrection reprise

Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU Monde À CONSULTER • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain

Introduction : « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destiné qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par les prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que dans certaines régions l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes et à un