La Nature Juridique De La Charte De 1814

construit des modèles facilitant la découverte des lois. En français, le politique serait l'ensemble des activités dominées par des conflits d'intérêts et régulées par un pouvoir qui monopolise la force légitime. Les faits politiques n'existent pas par nature, rien n'est naturellement politique et tout peut le devenir, ou ne plus l'être. Les faits politiques sont contingents. Lapierge constate que dans toute société, on trouve des rapports de pouvoir et de domination mais que les modalités d'organisation

LIBERTES FONDAMENTALES §1 : libertés publiques comme objet juridique Les libertés publiques sont un objet juridique. Lorsqu'on parle des libertés publiques en terme d'objet juridique, l'examen de la notion est assez problématique : du fait de la diversité des expressions utilisées du fait de son caractère évolutif. Parenthèse : En 3è année de licence il n'y a pas de droit administratif, car ça vient de la réforme LMD. 1er objectif de la réforme = Uniformiser le système universitaire

conditions d’émergence du droit du travail 1789 : égalité juridique mais un Révolution d’inspiration libérale (cf. 1791 Loi Le Chapelier). Lois relatives au travail = loi de police (livret ouvrier) 1804 : Code civil, le contrat source d’obligations mais pas de contrat de travail (contrat de louage de services et condition juridique du serviteur) Les révolutions industrielles : le travail devient un fait social total L’absence de régulation juridique (pas d’intervention de l’Etat Les lois fondatrices Loi

Droit Constitutionnel « Jus privatum latet sub tutela juri publici » Bacon. Le D privé se cache la tête, est sous la protection du D public. La nature et la primauté du D constitutionnel C’est l’étude du D qui s’applique à l’Etat. A la différence du D privé, le D constitutionnel ne connaît nullement des intérêts privés, ne s’intéresse pas au jeu des intérêts civils, il connaît des traitements exclusivement de l’intérêt général. « Public » est tiré de publicus ou populus: qui concerne la communauté

indépendant, cad que nous avons un gvt, un pouvoir public qui prend des décisions. L'indépendance est un fait, elle a une traduction juridique = souveraineté (concept juridique qui va avoir des conséquences précises). C'est une condition d'existence de l'Etat. On est dans une optique d'amélioration de la société. Toutes les sociétés humaines sont des Etats (= personne juridique, statut qui va s'appliquer à lui), c'est la forme la plus perfectionnée, évoluée d'organisation sociale. Dans cet Etat, il y

contus 28 floréal en 12 (18 mai 1804), Bonaparte va gouvernée seul avec le sénat et qui ne va jamais s’opposée a l’empereur. Il est proclamé empereur des Français. Il est couronné le 2 décembre 1804 par le Pape dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. En 1814, la France est battu, on déclare la déchéance. Bonaparte s’échappe de l’ile d’Elbe puis débarque a Golf Juan puis rentre a Paris. Puis commence la période des 100 jours (nouvelle constitution appelé l’acte additionnel au constitution de l’empire. Surnommé

la seul personne du roi. objectif premier : non confusion des pouvoirs qui est caractéristique des régimes autocratique, monarchique et totalitaire ,cette signification reste valable. En séparant les pouvoirs on essaye de résoudre l'opposition par nature qu'il existe entre le pouvoir et la liberté. On a essaye de dépasser cette opposition par la loi. La loi c'est l'expression de la volonté générale, seul capable de poser des règles, des limites à la libertés. Toute vie en société exige des limites

assemblée. * Constitution de 1795 : Directoire. Séparation stricte, pouvoir exécutif a 5 directeurs + les ministres, le pouvoir judiciaire à des juges élus, et le législatif est confié a 2 chambres (conseil des 500 et conseil des anciens). * Charte 1814 et 1830 : séparation souple des pouvoirs, avec suffrage censitaire. La chambre des députés et la chambre des pairs, aristocratique. L’exécutif est confié au roi. Sous ces deux régimes monarchiques, la justice émane du roi. * 1848 : la 2° république

Manuel : Pierre Marie DUPUY Droit Internationale Public (2008) DAHILLER – FORTEAU – PAYET Droit Internationale Public (2009) Dictionnaire Droit Internationale Public (2001) Introduction : L 'étude des R.I n'est pas qu'une analyse juridique mais aussi et principalement une analyse politique, c'est une Science Politique de l'International. Les R.I sont suceptibles de plusieurs approches, différents angles d'analyse, sous l'angle du d car le d a pr vocation de régir les R.I, les R.I sont

Révolution française. Elle a 3 sens différents : - Une faculté, un droit que chacun a, qui appartient a une personne physique ou morale, que chacun tient de la Constitution.(Expérience subjective du droit) - L’ensemble des règles, des normes juridiques, se rattachant à la Constitution d’un pays. - La discipline intellectuelle (enseignée). +Métamorphose historique de la discipline : Sous l’Ancien Régime, le droit public n’est que rarement enseigné. Pour Diderot, il n’est pas normal qu’on