La Nature Nous Dicte T Elle Notre Morale

parfait. La morale d’Epicure est un eudémonisme : bonheur = fin ultime de l’homme 2) Critique d’Epicure par Kant Kant Critique de la raison pratique Selon Kant, on ne peut pas distinguer des plaisirs nobles et des plaisirs bas, comme prétend le faire Epicure. « Si, avec Epicure, nous ne retenons dans la vertu, comme détermination de la volonté, que le simple plaisir qu’elle promet, nous ne pouvons ensuite lui reprocher de considérer ce plaisir comme tout à fait de même nature que les plaisirs

elle est le propre de celui qui se rend compte, elle désigne donc un savoir et caractérise la conscience humaine. La dernière forme de conscience est la conscience morale : elle se rajoute aux deux premières , si la conscience immédiate n'est qu'un sentiment et la conscience réfléchie un savoir de ce sentiment, alors la conscience morale est un jugement porté sur ce savoir. Ces trois formes de conscience se résument donc en une phrase : "je sens ce que je fais, je sais que je le sens, je le juge."

des règles. La règle morale et la règle juridique ont une origine différente. La règle morale provient de l’Homme. La règle de droit a une source externe : l’autorité publique, la Parlement. La règle religieuse provient de Dieu, c’est lui qui dicte les règles. La règle religieuse a donc une source externe. La coutume est une pratique suivie par le corps sociale. Ce sont les Hommes qui décident de la morale à suivre.  « Nom de famille du mari pour la femme » => morale collective. B) La finalité

diké La diké désigne la justice des hommes. Pour John Lockes, l’état de Nature connait les lois de l’ordre naturel. Mais il n’y a pas de sanction, car il manque un juge à l’état de Nature. La vengeance tient alors lieu de justice, mais comme il n’y a aucune règle à cette pratique, cela ne fait que perpétuer l’injustice. A) Les critères de Justice On se sert de critères pour évaluer. Il en existe toutes sortes : de morale, de vérité … Mais quels critères faut-il considérer pour dire qu’une chose

restent indéterminées, même si on suppose en général que c'est à la mort de son maître. Il se met alors à l'étude de la philosophie et dustoïcisme en particulier. Mais en 89 ou 94, il doit quitter Rome à la suite d'un édit contre les philosophes, dicté par l'empereur Domitien qui s’accommode mal de l’influence du stoïcisme parmi les opposants à son régime tyrannique2. Épictète se retire à Nicopolis d'Épire où il vit dans la pauvreté en compagnie d'une femme et d'un enfant qu'il a adopté. A Nicopolis

plus grandes violences, elle affirme que Eichmann (à Jérusalem) à commit des crimes car il était incapable de penser par lui-même car penser c’est prendre un point de vue qui n’est pas le sien. Il y a un lien entre la pensé et la moral comme le dit Pascal : « toute moral consiste à bien penser » (Pascal les pensées). Kant appuis son point de vue en s’adressant directement à son lecteur : « Sapere Aude (ose savoir)! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! » 2) Dans la deuxième

associer à la morale; celle ci dicte notre manière de vivre et c'est bien le cas ici en nous imposant l'impératif de penser aux conséquences de nos actes. Le recours à la religion est un moyen de légitimer cette théorie de responsabilité car le fait de sacrifier certains loisirs de notre vie envers quelque chose qui n'existera peut être pas rappelle la Foi car celle ci est fondée sur des croyances ( donc des faits non prouvés ). Il y a ici une certaine morale religieuse car la

en être empêcher. C’est l’autonomie : autos (soi même) + monos (lois)  se donner ses propres lois. Etre autonome c’est aussi choisir. Sommes nous toujours maitres de nos actes ? I- La conscience est-elle propre à l’homme ? A) Conscience morale et liberté Kant (1724-1804) fait partie du siècle des lumières. Selon lui, la conscience suppose une connaissance de nos actes et de nos états. L’animal est instinctif, il répond à ses besoins de façon spontanée : conscience pratique. SI on s’arrête

prioricomparable, est cependant bien différent.      Lorsqu’un animal agit sans rencontrer d’obstacles, il suit son instinct.Il obéit à une loi qui trouve sa source en lui-même, dans sa nature propre. De ce point de vue, on peut estimer qu’il n’est pas vraiment libre, puisqu’il est gouverné par une loi (la loi de la nature) qu’il n’a aucunement choisie.      La vraie liberté ne concernerait  donc que les êtres humains : il faut disposer d’une volonté, en effet, pour être libre. Mais la réciproque n’est

certains philosophes modernes, l'égoïsme rationnel est un principe de vie selon lequel l'individu doit agir en déterminant rationnellement ce qui servira au mieux ses intérêts. C'est-à-dire, que les actions des humains sont dictées par l'intérêt personnel. C'est dans la nature de l'humain de penser à sa personne et à sa santé avant toutes choses. Cela n'est pas un défaut, mais un réflexe humain de subvenir à ses besoins et de s'occuper de soi-même. Être égoïste ne signifie pas être nécessairement