La Névrose Traumatique

d’instauration du fétiche. Freud remarque qu’il ne s’agit pas toujours d’objets ou des organes représentant aussi symboles du pénis. Freud : L’instauration du fétiche se fait par un processus qui rappelle la halte du souvenir dans l’amnésie traumatique. C’est la dernière impression de l’inquiétant, du traumatisant qui sera retenu comme fétiche. Ainsi, si le pied ou la chaussure ou une partie de ceux-ci sont les fétiches préférés, ils le doivent au fait que dans sa curiosité le garçon a épié l’organe

cette méthode pour l’appliquer ensuite à ses propres malades et qu’il fit les mêmes découvertes . La conclusion ici est que « les hystériques souffrent de souvenirs confus. Leurs symptômes sont les résidus et les symboles de certains évènements traumatiques » (page 37). Freud utilise une métaphore pour expliquer cette idée : de même que les monuments des grandes villes sont des symboles d’évènements historiques oubliés, les symptômes sont des signes d’évènements psychiques qui sont parvenus au par

nous faisons avec les textes freudiens (Essaim 19) et de ce que Lacan dit de lui-même, le Freud que j’entends vous présenter est un Freud analysant, de même, par conséquent, mon propos, qui pense avec et contre lui. Exit l’hystérie. La grande névrose n’existe pas. C’est un effet de ce qu’on appelle le « progrès », je veux dire, la censure et, donc, d’un échec, le nôtre, à relever ce qui nous fait horreur et nous fait reculer devant notre acte : savoir y faire avec ce qui tombe mal, le « méchant »

cas de névrose obsessionnelle. Freud l’a ensuite associé à quatre autres cas cliniques, pour publier, enfin les cinq psychanalyses. « L'homme aux rats » était un jeune homme présentant une névrose de contrainte dont la symptomatologie était apparue suite à l'audition du récit d'une torture où des rats étaient introduits de force dans l'anus du supplicié. Ainsi, nous allons vous présenter ici le cas de « l’homme aux rats » en passant tout d’abord par une présentation de la névrose obsessionnelle

remontant le temps « dans l’ordre inverse ». Résumé fait par Freud : « les hystériques souffrent de réminiscence », les symptômes sont les « résidus et les symboles d’évènements traumatiques. » ( trauma en grec : choc) Il y a « fixation de la vie mentale aux traumatismes pathogènes » : c’est cela qui caractérise la névrose. Freud constate : 1) qu’il faut que le souvenir exprimé sous hypnose soit accompagné d’ « affects » pour que le symptôme disparaisse, cet affect qui a été réprimé (inhibé)

……………………………………………………….……. Page 5 II. Parcours de Freud ………………………………….….………. Page 6 III. Causes et solutions selon Freud ………………………. Page 7 Conclusion …………………………………………………………………….….. Page 9 3 Introduction L’hystérie est une névrose très fréquente aussi bien chez l'homme que chez la femme. C’est une maladie connut depuis l’antiquité, en effet le terme d’hystérie vient du médecin grec Hippocrate qui a inventé ce mot pour décrire une maladie qui avait déjà été découverte par les

clinique s'intéresse à la singularité du sujet. C'est à dire que pour le psychologue clinicien se qui va conter ça n'est pas les groupes de malade mais plutôt recevoir un sujet, un sujet ne peut pas être comparer à un autre. Singularité du sujet. Un névrosé obsessionnel ne nous enseigne pas sur se qu'est un autre névrosée obsessionnel. Il ne faut pas avoir de préjugé sur se que pourrait préoccupé le sujet sur se qu'il a … II / De la clinique médicale au sujet souffrant Il s'agit de faire un parcours

du nombre La psychopathologie et la psychologie clinique A l’opposé du normal, le pathologique concerne les maladies et les troubles psychologiques, domaine vaste, mais aussi très vague… dans cette catégorie, non seulement les célèbres névroses, mais aussi les handicaps, les addictions… Psychopathologie souvent qualifiée, par sa méthode clinique de non objective La méthode clinique a pour finalité d’appréhender le sujet dans sa globalité et comme la combinaison unique de multiples

formés tous ceux que la psychiatrie et la psychanalyse d'enfants comptent d'importants : Eugénie Sokolnika, S.Morgenstern ou Françoise Dolto, J.Aubry ou S.Lebovici. Tous ont été sensibles à la révolution apportée par la psychanalyse selon laquelle la névrose de l’adulte tire sa source de dispositions acquises pendant l’enfance voire la petite enfance du sujet. Bouleversement de perspective à partir de trois sources : * les cures d'adultes, * l'observation directe * et les cures d'enfant

localisable, susceptible d'une détermination anatomo-clinique et d'une description par accumulation de cachet » et ce qu'elle était : « les phénomènes pithiatiques qui être en situation de être reproduits par la suggestion. » À la suite de ses travaux, la névrose est trop souvent devenue ce « qui n'existe pas pour les neurologues ». À l'opposé, ambroise-auguste liébeault et bernheim 6 de nancy défendaient l'idée que l'hystérie était d'origine émotif et romanesque en pousser le gages par psychothérapie. Dans