La Parabole des aveugles

personnelles, l’indifférence peut nous gagner ; certaines idéologies (le rejet de certains, le racisme) peuvent être les nôtres. Dans la parabole du  Bon Samaritain , Jésus dévoile l’attitude des religieux qui étaient connus comme racistes (Luc 10). Jésus savait s’intéresser à chacun, aussi bien au jeune homme riche qu’au mendiant aveugle, à une prostituée qu’à un percepteur qui trafiquait avec l’argent. L’acceptation de cette dimension de l’amour de Dieu résoudrait en grande

scène soient des personnages de nouvelles. Calvin formulera cette idée, qui est déjà celle de l’Evangélisme, en demandant que l’homme « se demettant de toute folle amour de soy mesme et de hauteur et ambition desquelles affections il est par trop aveuglé […] se contemple au miroir de l’Escripture »8. Cette image du miroir est familière à Marguerite et à Briçonnet. Ils la rattachent aux conceptions du Pseudo-Denys. Pour eux, chaque homme est un miroir où peut se refléter la lumière divine, mais trop

sévère et Créon est vaincu  à la fois par la révolte morale d'Antigone - coupable et innocente - et le courage d'Argos. Le devin Tyrésias, remarquablement joué par Michel Etcheverry, n'est pas inspiré des dieux: il sait seulement , parce qu'il est aveugle, observer les mouvements de la cité. Il sait que la victoire est une fausse victoire, que la guerre n'est pas près de s'achever, qu'Antigone est innocente et que le peuple se reconnaît dans son acte. a violence et le sang répandus par la famille

; Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. Cette dernière strophe dans laquelle le poète se compare à l’oiseau, invite à une relecture du poème qui s’avère être une parabole (= récit symbolique qui permet d’énoncer une vérité). ▶ Comparaison du poète avec l’oiseau sublime dans les vers 13 et 14. - La dernière strophe débute par le GN « Le Poète » comme la strophe précédente avait

la rencontre est encore plus violente. Cette fois on dénonce encore le contrôle de la cour et du roi qui va jusqu’à utiliser l’église pour convaincre SC mais c’est encore pire et l’opposition encore plus frappante. Cet épisode fait référence à la parabole des talents de la Bible (annexe 1). On assiste à un « combat de Mœurs » p.28 « Le roi mécontent de ne pas posséder Monsieur de Sainte Colombe » alors qu’il appartient à lui-même. Cela prend son sens p.31, après avoir été critiqué sur sa tenue et

meilleurs professeurs du pays, et il commence par engager Thubal Holoferne à cet effet: «il lui apprit si bien son alphabet qu’il pouvait le réciter par coeur à l’envers; il y mit cinq ans trois mois. Puis il lut le Donat, le Facet, le Théodolet et les Paraboles d’Alain de Lille; il y resta treize ans six mois.» (op. cit. p. 133), ce qui est tout à fait aberrant. Son second maître n’est par ailleurs absolument pas meilleur que le premier. Bien heureusement pour l’enfant, son père possède une grande lucidité

« inconscient collectif » : fonds culturels communs de l’humanité transmit de génération en génération par la littérature orale (conte, légende, proverbe, dicton,…) Ex : Athéna chouette = sagesse, bouclier, glaive = force, courage. Œdipe berger, aveugle, boiteux (un pied dans le réel et un dans l’irréel) La littérature est les arts illustrent les grandes préoccupations de l’humanité : * A quoi aspire l’homme ? (l’amour, la richesse, le bonheur, l’immortalité) * Ce que l’homme admire (la

rigoureux envers les impies, bons et compatissants entre eux. Tu les vois, inclinés, prosternés, recherchant la grâce d’Allah et Sa satisfaction. On les reconnaît par les traces de leurs prosternations sur leurs fronts. Voici la parabole qui les concerne dans la Thora et la parabole qui les concerne dans L’Evangile : ils sont semblables au grain qui fait sortir sa pousse, puis qui devient robuste, qui grossit, et qui se dresse sur sa tige. Le semeur est saisi d’admiration et les impies en sont courroucés

que nous les avons correctement comparés devant le Seigneur, nous sommes prêts à passer à la quatrième étape : l'illumination de Dieu. La Bible contient beaucoup de faits qui sont de nature spirituelle. Lorsque les yeux intérieurs d'un homme sont aveuglés, il ne peut pas voir ces faits. Mais une fois qu'il a découvert ces vérités bibliques, la moitié de la lumière qui est contenue dans la Parole lui appartient. L'illumination de Dieu est le fait que le Seigneur illumine les vérités qui sont dans Sa

le mal, l’âmemais aussi le laid, le répugnant et le trivial, propres aux « races maladives » (V) des temps modernes : sorte de « boue » non plus morale mais esthétique10ce qui est difforme → Relever des vers des « Petites Vieilles »(XCI) et des « Aveugles » (XCII) qui le montrentce qui est répugnant, notamment la vermine qui apparaît dès l’ouverture du recueil et dont le motif est récurrent→ Relever des vers qui présentent ce motif dans « Au lecteur », le poème XXIV, « Remords posthume » (XXXIII)