La Passion D Oreste

Pyrrhus sont présents. Dans ce passage essentiel à l’intrigue Pyrrhus pose un choix crucial à Andromaque, soit elle l’épouse ou elle perd son fils. À cause de ses passions contraires, par quels moyens Pyrrhus arrive-t-il à relancer l’intrigue inhérente à la pièce tout en convaincant Andromaque de l’épouser ? Pyrrhus est un héros avec des passions et des amours contraires. Il est aussi un fin négociateur pour pouvoir arriver à convaincre son amante de l’épouser. Enfin, le choix d’Andromaque est déterminant

: Un mirage de mère, cela te suffit ? Oreste : J’ai eu tellement moins jusqu’à ce jour. A ce mirage du moins je peux dire ce que je ne dirai jamais à ma vraie mère. Clytemnestre : Si le mirage le mérite, c’est déjà cela. Que dis-tu ? Oreste : Tout ce que je ne te dirai jamais. Tout ce qui, dit à toi, serait mensonge. Clytemnestre : Que tu l’aimes ? Oreste : Oui. Clytemnestre : Que tu la respectes ? Oreste : Oui. Clytemnestre : Que tu l’admires ? Oreste : Sur ce point seul mirage et mère peuvent

peur de l’inconnu , au contraire cela peut lui procurer une forme d’excitation : c’est un aventurier (exemple : l’épisode des Sirènes (lire pp. 221-223)). Il a également une passion pour la ruse et la mystification , il aime la métamorphose , la comédie (exemple : idée du cheval de Troie, déguisement en mendiant). Mais c’est

maîtrise des passions, le XVIIe siècle introduit une hiérarchie entre les trois grandes passions dramatiques : l`avarice, l`amour et l`ambition. On réserve l'avarice à la comédie, et à la tragédie l'ambition qui domine les « faiblesses » de l'amour. La tragédie commence, du Cid à Phèdre, au moment où l'homme doit prendre une décision où ses ambitions et ses intérêts se trouvent dans une lutte impitoyable qui demande le sacrifice de soi et qui peut attirer la mort. Dans cette lutte, les passions humaines

tragique, et non un par un (2 points) b) Ce que l’on appelle une situation tragique c’est une situation sans issue : « Au comble des douleurs tu m’as fait parvenir » (J. Racine, Andromaque). Une force supérieure . (le destin, la fatalité, les passions, etc.) exerce son pouvoir écrasant ainsi le héros et le menant de manière inéluctable à la mort. (Fin tragique.). (2 points) Barême : 2 points quand  - j’ai répondu précisément à la question en faisant une phrase complète, et

a) Une privation de liberté Tie et Cie reposent sur la représentation de pers dépossédés d’eux même. Les pers sont perdus par leur passions ds la Tie et par leur manies dans la Cie (ex : Orgon ds Tartuffe) Le pers comique comme le pers Tragique est soumis à un déterminisme le destin (Tie) et le caractère (Cie). Ils ne peuvent échapper à leur condition (Oreste dans Andromaque cherche vainement à échapper à la fatalité). Dans l’intrigue Tiq la privation de liberté est souvent mise en scène par

Dissertation sur la tragédie Citation : « Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient éditées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » La plupart des tragédies sont souvent basées sur le même thème, celui de la mort. Par contre on peut voir qu’il y a des exceptions tel Bérénice de Jean Racine

exprimant leur mépris des tyrans et de la servilité dans laquelle ceux-ci tiennent leurs sujets : « Il me faut m’incliner/devant les volontés justes ou injustes/qu’on m’impose par force, et de mon cœur amer/il me faut dominer la haine » (vers 78-81). Oreste vengeur pourra dès lors se présenter comme le libérateur venant briser les chaînes des Argiens, puisque sa conscience fait figurer parmi les motivations du matricide « le sort de [ses] concitoyens, les plus illustres des mortels » (Choéphores, 302)

ravage de la passion (Racine passion de Néron pour Junie dans Britannicus) + permet catharsis = le spectateur se libere de ses angoisses et de ses sentiments inavouables en les vivant a travers les peronnages des tragédies pour lesquels il eprouve de la terreur (devant crime ou demusure) et de la pitié (pour victime) (ex Œdipe-Roi de Sophocle. La violence des actions d'Œdipe provoque normalement chez le spectateur répulsion et pitié) Euripide met accent sur tourments de la passion Sophocle humanisme

etc dans la définition de la Tragédie car fait référence directement au rôle de catharsis([Chez Aristote (Poétique, VI et VIII)] Purification de l'âme du spectateur par le spectacle du châtiment du coupable.// Purification de l'âme ou purgation des passions du spectateur par la terreur et la pitié qu'il éprouve devant le spectacle d'une destinée tragique.// Plaisir éprouvé par le spectateur grâce à la dérivation causée par ces sentiments) >A la vue des horreurs perpétrées sur scène, le spectateur