La Passion D Oreste

initiateur et terminal : c'est parce qu'ils sont ainsi accrochés à cette fonction primale que la tragédie fondamentale (comme l'écrivait Hegel, « pour les figures tragiques, l'intérêt principal est le conflit qui éclate entre une passion toujours exclusive et des passions opposées»8) des films italiens tourne bien autour de la nourriture : y sacrifier, c'est s'enchaîner aux lois de l'organique et de son insatisfaction sans fin, tentant de résorber la béance qui obsède l'homme depuis qu'on l'a séparé

personnages, le dénouement, les sentiments suggérés, le contexte historico-littéraire… La tragédie antique Le mythe Catharsis : effet de "purgation des passions" (Aristote) que produit sur les spectateurs une représentation dramatique. Le spectateur se projette dans les actes et les sentiments des personnages et ainsi "nettoie" son âme de ses propres passions. Cérémonie à caractère religieux en l'honneur de Dionysos, "la tragédie chante le combat que la raison, pour imposer son ordre, livre aux forces

leurs passions, de deux manières : d'abord en montrant les dégâts que peuvent provoquer les passions : dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou se suicident (comme dans Phèdre où cette dernière s'empoisonne à cause d'un amour illégitime), deviennent fous, tel Oreste à la fin d'Andromaque de Racine (hors de la scène, par respect de la règle de bienséance) ; ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions : les spectateurs

plutôt leurs passions, de deux manières : d'abord en montrant les dégâts que peuvent provoquer les passions : dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou se suicident (comme dans Phèdre où cette dernière s'empoisonne à cause d'un amour illégitime), deviennent fous, tel Oreste à la fin d'Andromaque de Racine (hors de la scène, par respect de la règle de bienséance) ; ensuite, les dramaturges comptent sur la « catharsis » (du grec κάθαρσις : purification), ou purgation des passions : les spectateurs

effet de légitimer et de rendre vraisemblable l'apport des informations essentielles à la compréhension du spectateur. C'est donc la double énonciation qui est à l'oeuvre (les propos échangés le sont surtout pour l'information du public). C'est 1 Oreste : Dans la mythologie grecque, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre. Après le meurtre de son père par Égisthe, l'amant de Clytemnestre, il tue sa mère et son amant avec l'appui de sa soeur Electre. – le cas lorsque don Salluste évoque sa grandeur

d'Agamemnon, Oreste et Electre tuent leur mère (Clytemnestre) pour venger leur père. Oreste devient fou et est poursuivit par des furies, les Euménides dans la troisième pièce, elle explique la façon dont il a pu être libéré de son crime, c'est là qu'apparait la notion de politique. Dans les deux premières on est dans un système de vendetta, de vengeance, un acte d'hubris entraine un acte d'hubris. Mais Eschyle invente dans la troisième pièce un moyen constitutionnel qui fait comparaitre Oreste devant

les mots des livres, les mots des belles histoires de l’Antiquité, sans mesurer si cette histoire pouvait être la sienne ni à quel prix . peut-être peut-on lire ds cette métaphore terrible une allégorie de ce que Châteaubriand apl «  le vague des passions » , angoisse d’une génération nourrie de livres et d’histoire humaines qui pèse comme un fardeau ds son âme , l’empêchant en quelque sorte de vivre ses propres expériences , tjs fades par rapport à celles des livres et à l’aune du passé . ( On

réalité dr;i . que le texte de théâtre et sa représentation présentenr une image défor? Introduction Entrée ên meuère Le théâtre est un art du spectacle, qui s'attache à émouvoir le public par la repré- sentation sur la scène des passions humaines. Pour plaire aux spectateurs, le drama. turge et le metteur en scène peuvent être amenés grossir à les traits des personnages Ana\vse-dutexte ou des situations et rendre ainsi le spectacte plus percutant. c,est le cas d,Eugène fl

huit débute une situation difficile. Pyrrhus annonce à Andromaque que les Grecs veulent tuer son fils Astyanax = v.16 : Tel qu’il est, tous les Grecs demandent qu’il périsse/ Le fils d’Agamemnon veut hâter son supplice » : Roi grec dont le fils est Oreste. A cette nouvelle, Andromaque est bouleversée. Elle change d’attitude. Elle n’est plus distante ni ironique mais elle exprime sa douleur et lui demande de l’aide : « Et vous prononcerez un arrêt si cruel ? » v. 18 (un verdict, une décision) Elle invoque

le désespoir. Mais les folies de la passion sont comme des « idées communes » (l. 11) et les amants romantiques sombreraient dans le « vulgaire » (l. 12). Razetta est finalement emporté par cet appel à la « gaieté » (l. 10). 3. Le dénouement crée un effet de surprise puisque la passion qui avait animé Razetta tout au long de l’œuvre se voit d’un coup renvoyée au néant. La scène d’exposition (voir exercice 2) avait fait entendre la violence de sa passion. Il se disait prêt à suivre l’être aimé