La Passion Destructrice

relation de de Clèves et Nemours, car ils ne sont plus dès lors maîtres de leur vie. La scène en elle-même n'est pas tragique, mais la passion le devient dès qu'elle naît. III) Le tragique et la fatalité de la passion 1. La passion naissante est fatale car placée immédiatement sous la coupe du destin, dont voici les signes : même passion instantanée, avec un choc d'une intensité presque physique. la symétrie des portraits, exprimant le fait qu'ils sont faits

Où trouver la force de vaincre ses passions ? La passion, du latin passio, « souffrance, action de supporter » représente les états affectifs et intellectuels assez puissants pour dominer la vie de l'esprit. Descartes appelle "passions" toutes les affections de l'âme résultants de l'action du corps sur celle-ci. Les passions sont destructrices pour le sujet qui les vit dans la mesure où elles le rendent étranger à lui-même. La passion est une servitude qui, parce qu'elle grossit la valeur de

Cependant ce changement peut parfois tourner à l'obsession, à la passion destructrice. En effet les déceptions amoureuses peuvent engendrer à l'inverse, l'effet contraire sur ses sujets, baisse de moral, dégout de soi, malaise intérieur... C'est pourquoi il est bon de trouver le juste milieu dans ce domaine, même si c'est difficile il faut s'efforcé de le faire pour ne pas avoir affaire, par la suite, à une situation destructrice pour tous. Un des problèmes qui se pose alors, est le suivant :

reçoit une éducation janséniste à Port-Royal qui l’influence considérablement. Protégé par le roi Louis XIV, ses tragédies rencontrent un grand succès à la Cour. Il excelle dans la peinture des passions humaines qui conduisent inéluctablement les hommes à leur chute. Son œuvre s’inscrit dans le classicisme dont il respecte les règles. Présentation de l’œuvre Phèdre est une tragédie en 5 actes de Jean racine écrite en 1677. Cette

qu'il voit une personne atteinte du même défaut, il est attiré sans reussir à comprendre ce phénomène. Cette étrange passion a demandé un effort à Descartes pour la comprendre. I)2) En effet cette passion était tout d'abord inexpliquée à ses yeux . " et je ne savais pas néanmoins que ce fût pour cela " .Il faut tout d'abord comprendre de quelle passion parle l'auteur. "La passion de l'amour " évoquée par Descartes à la ligne 3 doit être comprise comme un sentiment non expliqué qui échappe à sa

Romantiques travaillent dans le sens de la singularisation. La concrétude de la comédie est projetée dans l'univers de la tragédie. Le théâtre romantique transforme le temps théâtral. On ne peut pas montrer en une seule journée l'évolution des passions, à la différence du théâtre classique qui est un théâtre de la crise et non de l'évolution. Le théâtre romantique fait de l'espace-temps un personnage à part entière. Le théâtre classique doit provoquer la frayeur et la pitié chez le spectateur

sous forme de question (« dès lors,… ? ») Exemple : Faut-il renoncer à ses passions ? Il semble que la passions est ce qui nous motive, y renoncer serait renoncer aux dynamisme de la vie. Pourtant la passion peut aussi aveuglé notre raison et nous faire perdre le contrôle de nous même. Dès lors, la passion est-elle un élément moteur est positif pour l’homme, ou aux contraire est-elle dangereuse et destructrice ? 2) recherche des idées et du plan • noté aux brouillons toute c’est

: lutte intérieure héroïque contre la passion, par-delà le

mefiance des femmes" et ne fait preuve d'aucune considération pour celles-ci, mais lorsqu'il contemple le visage de Chrisitine, il semble envahit d'une passion ; « le haut semblait noyé, le front limpide, les yeux tendres, c'était à présent le bas qui avançait, la mâchoire passionnée, la bouche saignante aux belles dents », en plus de la passion semble se dégager de cette jeune créature une sensualité. Au cours du récit, leur relation va évoluer, Christine acceptera de poser pour son grand amour

dotée d’un rôle qui va au-delà de celui de confidente : en faisant avouer à sa maîtresse son amour, elle est l’agent du destin et embraye la machine tragique. Dans sa tirade, Phèdre se rend coupable de faire éclater au grand jour non seulement une passion interdite mais également sa haine des dieux. 2. Une scène d’aveux On remarquera l’intensité dramatique que confèrent au dialogue la ponctuation riche et variée, les interjections (« Ô désespoir ! ô crime ! ô déplorable race !), les apostrophes