La Passion Destructrice

géométrique » a pour but de conférer aux raisonnements développés dans l'ouvrage la plus grande rigueur possible, il en fait cependant un texte relativement difficile d'accès. Le livre aborde successivement les thématiques de Dieu, de l’âme, des passions (ou affects), du conatus, de la servitude de l'homme, et enfin de la possibilité et des moyens pour l'homme d'accéder à la liberté et la béatitude. L'ambition de l’Éthique est ainsi celle d'une philosophie pratique, devant permettre de dépasser l'état

parue en 1677, une pièce nous montrant que la passion peut être destructrice. L'extrait qui nous est proposé est tiré de la scène trois de l'acte premier de Phèdre. C'est un monologue du personnage principal portant le nom de la pièce. Les tragédies classiques sont des textes, quelque fois comme Phèdre, écrits en alexandrins, visant à faisant passer implicitement une morale au spectateur. Le dénouement y est souvent dramatique et lié à une passion inconditionnelle éprouvée par l'un des personnages

guerre entre les rousses et les naines, de la page 130-150, les fourmis rousses doivent élaborer une technique d’assaut pour pouvoir abattre les nombreuses naines. Elles décident donc de faire supporter des casse-graines (grosse fourmi lente mais destructrice), chacun par 6 fourmis porteuses, qui sont extrêmement agiles. « Ainsi, les casse-graines, guidant par odeurs leur pattes vivantes, peuvent fondre à grande vitesse sur leurs adversaires et les tailler en pièces avec leurs longues mandibules » (page

qui vont guider ses pas tout au long sa vie maçonnique. L'initiation, qui prolonge la solitude du cabinet de réflexion, est plus qu'une cérémonie symbolique, mais un véritable engagement où l'accent porte sur les devoirs : Le secret, combattre les passions, pratiquer la vertu et la bienfaisance, fuir le vice.. Le devoir est donc le principe fondamental de la maçonnerie :. « Soumettre sa volonté à ses devoirs »sera sans cesse dans l'esprit du franc maçon. » En introduction, je parlais de l' ignorance

qui peuvent être bénéfique à la construction de l’identité individuelle. L’aura romantique que les adolescents accordent à la prise de risque, tient au fait cette mise en danger est perçue comme irrésistible, une passion à laquelle on ne pourrait opposer aucune résistance. Cette passion doit être nourrie, mais elle reste rarement sans conséquence. La recherche de plaisir sans cesse renouvelée, finit par devenir cercle vicieux d’autodestruction, c’est d’ailleurs pourquoi l’héroïne est considérée comme

Ouvrir une brèche, c’est ouvrir un gouffre, accepter un échange c'est donc accepter la possibilité de la souffrance. La frontière entre un cas sain et un cas pathologique est ténue. Ce qui est pathologique c'est de s’enfermer dans des conduites destructrices qui soulagent et se reproduisent. Souvent les gens qui vont bien sont ceux qui ont retrouvé confiance en eux et dans les autres. Quels sont les réactions possibles en réaction à une menace ? Les ruptures brutales d’une relation qui semblait bien

seul » (v. 9), « malheureux » (v. 27), « soins » (v. 29), m «malheur » (v. 42)  Relève l’indifférence du temps C.A. : Le temps n’est pas contrôlable B. Le temps est une force destructrice 1. Antithèse a) « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » (v. 45)  Démontre ici le caractère impitoyable du temps 2. Double champs lexical de la perte et de la destruction

Spinoza, notre volonté n’est pas libre, l’homme ne peut suivre ce qu’il a souhaité volontairement, il est inscrit dans un ordre nécessaire qui le pousse à agir : nous sommes déterminé. Chaque attitude de l’homme, qu’elle vienne de la raison ou de ses passions vient de la nature qui nous influence. On n’est pas la cause de nos désirs, la plupart des hommes croient agir selon le libre décret de leur volonté mais ils s’induisent en erreur, notre nature humaine nous prédétermine à agir « Les hommes sont conscients

preuve d’un refus du religieux en énonçant une éthique du désir et de l’assouvissement des passions. Mais il explique que, pour lui, les passions ont été voulues par Dieu lui-même, le Créateur de l'humanité, et si elles sont parfois destructrices, c’est qu’elles sont refoulées. C’est pourquoi, il faut condamner le moralisme et restaurer le sentiment religieux, car « du moment où nous voulons réprimer une seule passion, nous faisons acte d’insurrection et d’hostilité envers Dieu. Nous l’accusons par le

impitoyable » d'elle. Il ne s'agit pas seulement de son rapport à sa mère, mais bien de celui qu'il entretient avec les femmes en général qui a fortement influencé et marqué son œuvre. En effet, il a vécu des histoires d'amour chaotiques dues à des passions non-réciproques comme celle qui l'a longtemps lié à la célèbre cantatrice française Pauline Viardot ou celle qu'il a éprouvée plus tard pour la jeune actrice Maria Savina en l'ayant vue interpréter Verotchka dans sa plus célèbre pièce Un mois à la