La Passion Rend Elle Aveugle

permet de critiquer la guerre - L’auteur oppose la guerre et la paix en opposant leurs champs lexicaux : Par exemple : La Paix La Guerre « santé » « maladie convulsive et violente » « ordre » « désordre » « elle procure le bonheur » « elle rend incertaine la liberté et la prospérité » - L’auteur énumère (accumulation et juxtaposition de phrases courtes qui attirent l’attention du lecteur = éloquence) tout d’abord les bienfaits, les aspects positifs et constructifs de la Paix : développement

comment, nos mères ont souvent raisons. Elle m’avait dit de ne pas m’accrocher à lui , et pourtant je l’es fais. Quelle erreur. Pendant des mois et des mois j’ai souffert, j’ai pleurer chaque jour un peu plus, et je me voilais la face. L’amour rend aveugle comme on dit souvent, surtout quand c’est notre première amour. Et du jour au lendemain tous s’arrête. Et là, on se retrouve seule. Mais, notre mère elle reste présente près de nous, elle veille sur nous, j’en ai eu la preuve lorsque j’étais

du roi Gormond et de la reine Iseult. Tristan va encore mentir à tout le monde qu’il croise en terre Irlandaise. On pourrait dir qu’il en dérive satisfaction tellement mentir lui devient une habitude. Tristan est prit de passion et d’un amour tellement fou qui le rend aveugle et lui coute des fauts pas. Suite a sa premiere trahison envers Marc sur le navire avec Iseult, Tristan continue à mentir et à abuser la confiance du roi constemment tout le long du roman. Il va alors éveiller les soupcons

vers son lieux de vie et sa famille. Le héros est un homme fort et courageux ne renonçant devant aucun obstacle et sachant user de la ruse pour se sortir des situations les plus délicates tel un général de guerre. Ce dernier représente l’homme fort et rend fier lors de la lecture Nous découvrons aussi les faiblesses humaines comme dans Antigone de Sophocle, où, l’héroïne, Antigone est marqué par l’opposition entre l’angoisse d’exister, l’obsession de la mort, et la pureté de l’enfance puisque pour

hommes éduqués et raisonnables peuvent éviter les excès en tout genre, soit en trop, soit en moins. Il ne faut que rechercher le juste milieu, qui est synonyme pour Aristote de bonheur. La vertu concerne donc, les passions et les actions des hommes, et c’est dans nos actions et nos passions qu’il y a soit excès, soit un manque ou dans le meilleur des cas, un juste milieu. Il faut savoir éprouver les sentiments comme il convient et savoir conserver la vraie mesure, afin de ne pas exagérer ou minimiser

moral: il ne se rend pas compte qu’il tombe amoureux de Gertrude, sa protégée. Loin de lutter, il cherche à confirmer que son sentiment n’est pas un péché: mauvaise foi inconsciente. Gide dit que “La Symphonie Pastorale dénonce les dangers de la libre interprétation des Ecritures”. Conséquences : scandale, mort. Il donne à Gertrude une connaissance globale, mais en matière morale, il sélectionne les textes: ils ne doivent pas contenir la notion de mal, de péché. - Gertrude, aveugle et muette dans

liberté par la force des sentiments qu'il éprouve pour Hermione. 2. La loi du sentiment Déjà, Oreste est pris au piège par sa passion pour Hermione "c'est Hermione, amis, que je veux suivre" vers 1597. Elle est celle qui a pu le briser et qui peut recommencer "l'ingrate mieux que vous [les furies] saura me déchirer" vers 1643 Qui plus est, cette amour est une passion contrariée "trois coeurs qui n'ont pu s'accorder [coeur de Pyrrhus, Hermione et Oreste]" vers 1624 Au final, c'est la fatalité

Paix. Nous le constatons par l'utilisation d'une antithèse paix/guerre comme le montre l’opposition des champs lexicaux : La Paix La Guerre « santé » « maladie convulsive et violente » « ordre » « désordre » « elle procure le bonheur » « elle rend incertaine la liberté et la prospérité » De plus nous avons un connecteur logique d'opposition (« Au contraire » l.5 ) A travers cette opposition, Damilaville fait l’éloge de la Paix et le Blâme de la guerre et nous montre que les victoires guerrières

Jean, qui rivalisent à la rame devant la jeune, belle et bonde veuve d’un riche capitaine de vaisseau, Mme Rosémilly. Le père Roland est un brave homme borné et commun, qui a laissé Paris et son modeste commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journées sur la mer. Sa femme, « une économe bourgeoise un peu sentimentale », est la mère idéale qui ne vit que pour l’affection qu’elle porte à ses enfants. Les deux frères, unis et opposés par « une fraternelle

1830, soit dans une carrière ecclésiastique, ou relative à l'armée, due à sa passion pour Napoléon. Le roman est divisé en deux parties, dans lesquelles il va rencontrer deux jeunes femmes avec qui il va vivre une terrible histoire d'amour. Tout d'abord dans la première, il sera l'amant de madame de rénal, plus âgée que lui, femme naïve du maire chez qui il est engagé comme précepteur et avec qui il vivra un amour passionné et tendre. Puis, dans la seconde partie, il vivra un amour orgueilleux et fougueux