La Personnalité Délinquante

Social, Retraite… l’individu ne sait pas qu il travail contre soi, ne beneficit des tous les droits qu il a. Question de respect de l’individu. 3ème : le developement des formes socials a personnalité moral et sourtout des formes opacs Le forme sociaux qui se sont developés on l effet de rapporter au delinquant un sorte de immunité. il y a des escroqueries. qui puisent a faire des lois sur ça. Il y a aussi le fait que quand on explote avec une forme societaire on va pouvoir donner d une grand

positifs que l'argent nous apporte. I-L'argent et ses maux Tout d'abord, on s'aperçoit de plus en plus que l'argent n'a pas que des côtés positifs car elle est responsable de beaucoup de crimes à causes de la pauvreté social ou sont issus ses délinquants notamment les crimes de sang ou encore les crimes de vols. Ces crimes ne sont pas seulement à l'échelle de notre pays mais à l'échelle de l'Europe. L'argent cause donc la hausse de la délinquance. L'argent est également responsable de la différence

ont été motivées par le désir du législateur de faire prévaloir des valeurs supérieures à la restauration de l'ordre public exclusivement par la répression. Ces valeurs, tout en tenant compte de la personnalité de l'auteur, veillent aux intérêts des victimes et permettent le redressement moral du délinquant. Le législateur est cependant allé plus loin dans cette démarche en prévoyant dans certains cas des causes légales qui exemptent de toute peine l'auteur d'une infraction. C'est notamment le cas de

Une solution au problème des jeunes délinquants Constats: 1°) La prison n'est pas toujours la solution 2°) Les centres d'éducation renforcées coutent très chers 3°) Si ces jeunes sont réunis ensembles dans un centre d'éducation renforcée, la promiscuité et la dynamique de groupe ne représente pas une garantie de succés. 4°) L'oisiveté est la mère de tous les vices. Solution : 1°) Pouvoir isoler ces jeunes 2°) Les éloigner de leur environnement 3°) Les faire travailler à

de sûreté. L’arrêt en question fait référence à la mesure de placement sous surveillance judiciaire. Cette mesure est relativement récente et fait partie des techniques modernes mises en œuvre par le législateur pour prévenir la récidive des délinquants ayant commis des infractions d’une gravité notoire et afin de permettre leur resocialisation et leur réinsertion suite à leur sortie de prison. Il s’agit de ce qu’on appelle une mesure de sureté. Elles se définissent comme des sanctions à caractère

négligence qui constitue l'élément moral de l'infraction. IMPUTABILITÉ : Elle consiste dans la possibilité de mettre une faute au compte de celui qui l'a commise. RESPONSABILITÉ PENALE : Pour qu'il y ait responsabilité pénale, il faut que le délinquant ait commis une faute (culpabilité) et que cette faute puisse lui être imputée (imputabilité). LES FAITS JUSTIFICATIFS (causes objectives de non responsabilité) : Même si tous les éléments constitutifs d'une infraction sont réunis, et même si

modalités de la procédure et les sanctions applicables. Le phénomène criminel ne peut donc exister que dans le cadre d’une loi. La seconde permet d’établir la mesure de la sanction en tenant compte de la personnalité de l’individu au regard de la gravité de l’infraction et de l’enquête de personnalité. §2 Les composantes du droit pénal. A. Selon l’objet. 1. Le droit pénal général. Il présente les ppes généraux du droit pénal criminel, il étudie l’ensemble des règles applicable a toutes

influencées à l’aide d’un processus d’interaction entre les individus.4 L’expérience de la vie dans la rue est reconnue comme un facteur déterminant du processus de socialisation de ces jeunes. Les membres des gangs de rue ont intégré à leurs personnalités, à l’aide d’interaction, des manières d’être, d’agir et de penser.5 C’est durant une des étapes du processus de socialisation, l’adolescence, que les individus vivent une crise d’identité. Les jeunes s’éloignent de leurs parents et favorisent leurs

négligence qui constitue l'élément moral de l'infraction. 6. IMPUTABILITÉ : Elle consiste dans la possibilité de mettre une faute au compte de celui qui l'a commise. 7. RESPONSABILITÉ PENALE : Pour qu'il y ait responsabilité pénale, il faut que le délinquant ait commis une faute (culpabilité) et que cette faute puisse lui être imputée (imputabilité). 8. LES FAITS JUSTIFICATIFS (causes objectives de non responsabilité) : Même si tous les éléments constitutifs d'une infraction sont réunis, et même si

que le juge ai rappelé au jeune ses devoirs vis-à-vis de la société et à lui faire prendre conscience de ses actes pour éviter la récidive. Il aurait pu risquer la liberté surveillée ou une peine d’emprisonnement, si la gravité des faits et sa personnalité le justifient. Si Tristan avait été majeur il aurait pu risquer une peine de prison de minimum 3 ans et de 45 000€ d’amende. Au vu des différents éléments abordés, nous pouvons nous apercevoir qu’il y a beaucoup de différences entre les peines