La Personnification Dans Les Fables

Commentaire Littéraire : La Fontaine, « Le pouvoir des fables », Fables. I. Une argumentation construite à l’aide d’une fable, structurée et efficace. A. Au XVIIème siècle, la Fontaine nous présente un apologue où son argumentation repose sur une structure logique et un enchainement réfléchi. Tout d’abord, la Fontaine donne dans sa fable un effet de rapidité et d’efficacité en s’amusant et en jouant des règles de métrique. En effet de nombreux procédés utilisés dans

fable, l’allégorie, la position de Queneau sur l’inspiration. Durée : 2 / 3 heures Texte(s) et/ou document(s) iconographique (s) : sobriété versus excentricité (couleurs et expression des saisons pour l’illustration de Benjamin Rabier, personnification chez Gustave Doré) |[pic] |[pic] | |La Cigale et la Fourmi |Illustration

Commentaire littéraire Introduction : Cette fable de Jean Anouilh est tirée des fables de la Fontaine car il introduit ses fables par des animaux, c’est une copie de la Fontaine car les mêmes animaux sont introduits pour raconter sa morale. Mais cette fable est l’inverse exact des fables de la Fontaine car le renard n’est pas le plus fort même s’il le paraît. L’habille de fait donc pas le moine, il ne faut pas s’arrêter sur ce qu’on voit. Tout d’abord l’étude lexicale : On voit que la cigale

Le chêne et le roseau Introduction : La fontaine, grd fabuliste du XVIIème siècle, il écrit 3 recueils de fables sur 30 ans et en 1668, il dédie ses fables au dauphin et affiche clairement son intention didactique. Il reprend des fables attribuées à Esope pour éduquer le jeune prince pour la découverte des vérités contenues dans ces apologues. Dans la 22ème fable, il reprend la fable d’Esope en étoffant le récit et en utilisant une forme diversifiée. 1er axe : Récit plaisant 2ème axe : la leçon

chemin après lui avoir | | |offert son pain, des légumes et de l’eau de source. En récompense, la déesse Isis lui délia la | | |langue et le dota de l’art d’inventer des fables. | | |Accusé d’avoir commis un sacrilège en volant une coupe d’or du temple d’Apollon à Delphes, il | | |aurait été condamné

Jean de LA FONTAINE, Fables, XI, 7, « Le paysan du Danube » (1678) Introduction  La fable est pour La Fontaine le meilleur moyen de faire passer ses idées et de critiquer la société tout en évitant la censure. La fable Le Paysan du Danube est tirée du livre XI des fables publié en 1679. Pour faire passer son message tout en évitant la censure, La Fontaine place sa critique dans un cadre spatio-temporel différent : l’Antiquité. Cette fable est en apparence une dénonciation de l’empire Romain,

Jean de La Fontaine est un fabuliste ayant marqué tout un sièle avec ses fables. Nous allons nous intéresser à la fable Le Berger et son Troupeau publiée en 1678. Poème en vers octosyllabiques et en alexandrin. La quasi totalité des Fables de La Fontaine contienne une morale, plus ou moins facile à percevoir. Cette fable commence par la narration d'une banale anedocte rurale pour finir avec une vériatable leçon de morale à la fin. Nous allons nous demander comment derrière la mise en scène amusée

Explication le rat et l'éléphant La Fontaine , comme souvent, a emprunté le sujet de sa fable : voir les documents complémentaires. Dans le deuxième recueil de ses "Fables", il étend le récit et se plaît à faire la satire de son époque et des hommes en général. Le thème de cette fable est la vanité, et plus spécialement celle des Français, déjà ! Mais on peut se demander si la morale de cette fable n’est pas ambiguë c’est-à-dire à double sens. Plan proposé pour le développement : 1- La dénonciation

une portée argumentative au mythe (Cf. Platon, le Mythe de la caverne). Les fables, dès l’antiquité, mettent en scène des animaux pour représenter les humains. Les recueils de fables représentent une véritable comédie humaine, peignant avec humour les caractères, donnant des leçons aux puissants, amenant le lecteur à réfléchir, et à tirer une morale de la fable. La Fontaine c’est inspiré d’Esope pour son recueil de fables. Par ailleurs le conte philosophique est souvent riche d’un enseignement implicite

composé d’alexandrins (vers de 12 syllabes). Le champ lexical de la lumière “éclat”, “lumière”, “brillent”, “nocturne” et les périphrases “Bel astre de Venus” (vers 1) et “ornement de la nuit” (vers 10) font des références à une planète. La personnification “bel astre de Vénus”, “prête à mes pas ta lumière divine” fait aussi référence au but du poète et au champ lexical de l'amour “j'aime”, “ardeur”, “adorée”, “belle parmi les belles”. De cette manière le narrateur demande à la lune de lui prêter