La Personnification Dans Les Fables

Introduction : Fidèle à ses modèles dont Esope, La Fontaine, dans ses douze livres de fables, prête vie à des objets, des végétaux, des animaux ou des humains pour dénoncer les vices des hommes de son temps et les maux de son siècle. Toutefois, dans le livre VIII, publié en 1678, il adresse une fable, intitulée « Le pouvoir des fables », à Monsieur de Barillon, ambassadeur de France en Angleterre, dans laquelle il dramatise les bienfaits du genre littéraire lui-même. Il s'agit en effet pour le fabuliste

heurte. L'apologue est un type de texte correspondant tout à fait avec la dénonciation, particulièrement adapté à l'exercice. En effet, la fable est très souvent moraliste comme on peut le constater avec Jean de La Fontaine et les fables de La Fontaine. Dans ses fables, l'auteur nous dénonce par le biais de brèves histoires, différentes travers de la société française du grand siècle, que ce soit la cupidité, l'orgueil ou bien d'autres choses. Le conte philosophique est aussi un excellent moyen de

banale pour avoir été très souvent employée, au point de ne plus avoir conscience du procédé Un teint de lys et de roses Dans la langue courante personnification Image consistant à attribuer à un animal ou un objet un comportement humain Les animaux dans les Fables de La Fontaine « l’alambic gardait une mine sombre » (L’Assommoir ») Textes de fables, contes merveilleux, poétiques, fantastiques, où l’inanimé s’anime allégorie Image consistant à représenter une idée générale ou abstraite sous

| | | |conscience du procédé | | | |personnification |Image consistant à attribuer à un animal ou |Les animaux dans les Fables de La |Textes de fables, contes | | |un objet un comportement humain |Fontaine |merveilleux, poétiques, | | |

Le loup, la louve et les louveteaux, Jean Anouilh La fable est un sous genre de l’apologue hérité d’Esope et rendu célèbre par La Fontaine. Au XXe siècle, Jean Anouilh a repris ce genre dans un recueil intitulé Fables, publié en 1946, d’où est extraite Le loup, la louve et les louveteaux composée d’alexandrins et d’octosyllabes pour la plupart. Nous allons nous intéresser à la structure de cette fable, dans un premier temps, après avoir étudié sa dimension narrative, puis dans un second temps

leurs ressemblances. C'est alors que le maître incontesté des fables, Jean de La Fontaine utilise la personnification des animaux ainsi que l'ironie pour composer une multitude de récits satiriques de la société au moyen âge. De ce grand ensemble de fables nous n’étudierons que celle de « La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf » ainsi que celle « Le Corbeau et le Renard » toutes deux parues en 1668. Dans ces deux fables, on remarque la présence d'animaux dialoguant entre eux à l'aide

Le loup, la louve et les louveteaux, Jean Anouilh La fable est un sous genre de l’apologue hérité d’Esope et rendu célèbre par La Fontaine. Au XXe siècle, Jean Anouilh a repris ce genre dans un recueil intitulé Fables, publié en 1946, d’où est extraite Le loup, la louve et les louveteaux composée d’alexandrins et d’octosyllabes pour la plupart. Nous allons nous intéresser à la structure de cette fable, dans un premier temps, après avoir étudié sa dimension narrative, puis dans un second temps

2 tétramètre régulier : « Le héron/ au long bec/ emmanché/ d’un long cou/ » La silhouette du héron long trois répété, dandinement nonchalant de la marche cacophonie des monosyllabiques bec, cou gutturales à deux places fixes. On a aussi une personnification assez discrète « les pieds, le cou » au lieu des pattes et aussi le fait que le héron parle. 2) Un univers différencié Il ya une difficulté à situer le narrateur. Il est présent des le premier vers avec le « je ne sais où ». Au début du conte

HUGO FABLE OU HISTOIRE ( Les châtiments) > Présentés comme des hommes ! > Personnification Le loup, l'HORRIBLE LOUP qui fait peur aux enfants, Le loup maigre et cruel qui guette, Assassin précis, l'innocent Et l'emporte poissé de sang, Rentre au foyer le soir où les siens lui font fête Et s'écrie : " Vilains garnements, J'espère qu'aujourd'hui vous avez été sages ? Quand les petits loups sont méchants Jésus pleure dans les nuages. Votre maman n'a pas à se plaindre de vous ? " " Non

par l'allégorie ou la personnification. Mais le poète utilise ces images dans un but précis, il veut dénoncer, défendre une cause ou encore faire agir et réagir. Le poète s'engage pour dénoncer la religion par exemple, pour son intolérence ou son fanatisme comme dans Les Premières Communions, écrit en 1871 par Rimbaud. Il y exprime son mépris et son dégoût de la religion. Le poète peut aussi dénoncer la société, son fonctionnement, les couches sociales, par exemple Les Fables de Jean de la fontaine