La Personnification Dans Les Fables

se basant sur le poème Le hareng saur, nous étudierons les moyens utilisés par le poète pour créer cet effet charmeur sur le lecteur. L'auteur sublime la réalité par le recours à la poésie. Pour cela il use de procédés littéraires comme : la personnification ("ta robe") avec une adresse directe, des apostrophes "Ô hareng", renforcées par la ponctuation exclamative, des assonances en -an et la répétition des sons -cui, créant ainsi une musicalité. Il y a une métaphore filée, les écailles prenant des

EL LE RAT ET L'HUÎTRE, de Jean de La FontaineEléments d’introduction :· neuvième fable du livre VIII de Jean de La Fontaine (dans le second recueil des Fables), publié pour la première fois en 1678.Problématique :Mouvements :Citation/ TexteProcédésInterprétation1er mouvement : Le Rat décide de quitter les siens 1Un R at hôte[footnoteRef:1] d'un champ, R at

regarder les phares Métaphores, personnifications, comparaisons : « semblables a deux cyclopes monstrueux et jumeaux, jetaient sur la mer leur long et puissant regard » Métaphore et personnification. « pareils aux queues géantes de deux comètes » Métaphore. « s'ouvrant et se fermant comme des yeux » Comparaison. « Les yeux vivants » Personnification des phares. « On le prenait pour une planète » Métaphore. « semblaient courir » Personnification des étoiles. « elle avait

atypique,… Fontaine a écrit plusieurs œuvres mais les fables sont les plus importants. Fables folklore ? Il va piquer des histoires à gauche à droite et il va les écrire en vers à sa façon. La fin d’une fable est le plus important car on y retrouve le but, le message que l’on veut faire passer. La Fontaine consacre 90 % de ses histoires à la description des personnages, du contexte,.. et seulement deux, trois lignes à la morale. Les fables sont des satires, une forme de réaction et elles sont

SÉQUENCE N° 2 : « Fables du pouvoir, pouvoirs de la fable » Objets d'étude : un mouvement littéraire et culturel : Le Classicisme / persuader : formes et fonctions de l’apologue Perspectives dominantes : histoire littéraire et culturelle / étude de l’argumentation et des effets sur le destinataire Perspective complémentaire : étude des genres et des registres   Lectures analytiques : Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables, livres VII et VIII Textes expliqués en classe : 1. « La Cour du

SÉQUENCE N° 2 : « Fables du pouvoir, pouvoirs de la fable » Objets d'étude : un mouvement littéraire et culturel : Le Classicisme / persuader : formes et fonctions de l’apologue Perspectives dominantes : histoire littéraire et culturelle / étude de l’argumentation et des effets sur le destinataire Perspective complémentaire : étude des genres et des registres Lectures analytiques : Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables, livres VII et VIII Textes expliqués en classe : 1. « La Cour du

Jean de La Fontaine (1621-1695) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes.il écrivait beaucoup sur les thèmes des litiges, du conflit et de la justice. L’huître et les Plaideurs est la neuvième fable du livre IX, édité pour la première fois en 1678. L'huitre et les plaideurs raconte l'histoire de deux pèlerins qui marchent sur le sable et découvrent une huître déposée par les flots. Ils décident

| |Puisqu'au fond, comme un autre, il n'était qu'une bête. | | | |personnification, merveilleux, | | |un sage cf voc melioratif | |

œuvre Les Contemplations) B. L’allusion plus que l’explication Le poète, qui fuit la lourdeur didactique, préfère l’allusion à l’explication. Il met ainsi en avant les figures de style telles que la métaphore, l’allégorie ou encore la personnification. (ex : Victor Hugo dans Les Contemplations donne à voir les mots comme des personnes de castes différentes). C. L’originalité peut être source d’incompréhension Les formes du poème sont variées et peuvent parfois se révéler bien compliquées

l’albatros permet à Roubaud et à Baudelaire de rendre plus concrète, pour le lecteur, l’idée du poète et de son rôle – d’autant plus que Roubaud dédicace son sonnet « à un jeune poète de douze ans ». En outre, les deux textes commencent comme des fables dont le héros est l’animal ; leur dimension symbolique n’arrive que plus loin dans le poème, par le biais d’une comparaison* : « le poète […] est comme un ver de terre » (v.9) chez Roubaud, et « le Poète est semblable au prince des nuées » (v.13)