La Personnification Du Temps

Le réalisme de la description a) Une apparence d’objectivité * Manière scientifique : * Enonciatif : le « je » disparaît pour faire place au pronom indéfini « on » (l.2) et pronom personnel « nous ». * Connecteurs logiques : le temps (« d’abord », « dès lors », « lorsque », « alors »), la cause (« à cause de », « car ») et la conséquence (« donc »). * Fonction métalinguistique de la langue. * Distance de l’observateur (« cette » l.1, « ces » l.6, « ce » l.9 : adjectifs

Albert Camus « L’Etranger » Le meurtre de l’Arabe Problématique : Comment s'exprime la fatalité dans ce passage ? Plan : I – Une scène dramatique a) Une progression dramatique b) Le rôle du hasard c) Le temps suspendu II – La fatalité a) Des éléments hostiles b) Une figure du châtiment divin III – L’absurde a) Un équilibre précaire b) La responsabilité c) La conscience de Meursault Lecture analytique : Dans ce passage, le perso-narrateur Meursault est retourné

insiste sur les chiffres, notion de temps qui donne une impression de long et de pénible. VH montre l’incohérence des hommes en 4phrase « sous » montre la condition pénible d’un enfant accroupi. Vers 5 et 6 : Compare leur lieu de travaille à la prison. Métaphore du lieu de travail. « De l’aube au soir » les 15h sont concrétisé. « Éternellement » travail répétitif. L’adverbe « même » renforce la répétition et la pénibilité. Vers 7 et 8 : Personnification de la machine en monstre. Les enfants

Dans ce vers, la sylphide va au fond de la coulisse qui n'est autre qu'un passage secret soit un lieu dans lequel on se perd. On retrouve une personnification de l'instant au vers 7 car celui-ci dévore quelque chose. On doit comprendre dans ce vers que le temps abîme les souvenirs et celui-ci est désigné comme un monstre. Vers 8, on retrouve le groupe nominal « à chaque homme » qui veut dire que cela va arriver à tous les hommes. Lorsque Baudelaire

comme tout le recueil de poèmes dans lequel il se trouve. Il est composé de courts poèmes, très différents les uns des autres dans leur style et dans leur thème. Les rimes de ce poème sont pour la plupart des rimes croisées. On trouve une personnification dans le poème II, dans le vers « Ses rayons font sur mes vers / les pitres / et dansent sur le papier ». Le poème III contient de multiples comparaisons : « Dans une fosse comme un ours » ou « Le ciel est bleu comme une chaine ». Ce poème

allons d’abord voir en une premiere partie les fonctions de la poesie lyrique, puis en une seconde parties nous étudirons les fonctions de la poésie engagé puis enfin nous verrons que la poésie est egalement un moyen d’évasion. Dans un premier temps la poésie est destiné avant tout a exprimer les sentiments du poète. Il utilise le lyrisme qui est un mode d’expression basé sur le désir de partager les sentiments et les émotions qu’il éprouve à ses lecteurs. Les thèmes lyriques sont ceux qui reviennent

étoiles visitent ma sirène » V. 18. -Et pour finir il y aussi la personnification des bateaux : « Ma sirène a sept bateaux sur son océan Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi et Dimanche Les uns rapides les autres lents Mais tous beaux mais tous charmants » V. 21 à 25 Normalement, l’adjectif charmant, qui renvoie à quelqu’un qui a du charme, n’est relatif qu’aux êtres humains. Question 2 B : La personnification des ces éléments va permettre à l’auteur de créer un monde « réel »

les deux amants de cette promenade. « Qui ce matin avait déclose… » Est une personnification de la rose et laisse supposer qu’une promenade a eu lieu. La rose est déjà connue avec l’indication « ce matin… ». Au second vers il y’a un changement subit par la rose avec la forme verbale du plus que parfait. L’enjambement des vers 2-3 couvrent le geste défroissable et d’étirement que Ronsard prête à la rose. La personnification se confirme avec l’utilisation du mot « robe » ainsi que les notations de

FIGURE DE STYLE DEFINITION EXEMPLE ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots     Cassandre sous son     Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase - Le navire était

l’attention (slogan, titre…)  Les temps des verbes : - Présent de vérité générale : - Imparfait / passé simple :  Les figures de style : - Métaphore : image sans mot de comparaison (ex : « jeunesse en fleur ») - Comparaison : parallèle entre un comparé et un comparant à l’aide d’un mot-outil (comme, semblable à…) - Personnification : attribuer des caractéristiques/compétences humaines à un objet ou sujet inanimé. - Allégorie : personnification d’une idée abstraite (ex : la grande Faucheuse