La Philosophie Est Elle Compatible Avec La Religion

présent se niche la puissance d'un avenir meilleur, c'est également la civilisation. Ex de pensée typique de cette polarisation du temps: la pensée d'Auguste Comte, sociologue français mi 19ième qui l'instigateur du positivisme. Dans un cours de philosophie positive, il explique que l'ordre est le principe qui explique le développement de l'histoire dont la loi fondamentale s'appuie sur des stades de la civilisation. Il décrit un stade qu'il compare à l'enfance: le stade théologique ou on essaie d'expliquer

l'Église et le Politique ne font qu'un. La monarchie a ce fondement religieux car le roi est considéré comme l'élu de Dieux sur Terre. C'est un roi de « droit divin ». L'église et le roi sont alliés, il existe un soutiens entre eux. La religion catholique est la religion d'État donc seul ce culte est autorisé. En France avant 1789, il n'y a pas de liberté des cultes : interdictions de pratiquer des cultes différents a celui déjà mis en place, interdiction de posséder certaines terres → parallèle avec

Islam, la philosophie inspirée des Grecs (la falsafa ) a eu une histoire complexe. Intégrant dès le début des éléments variés à son aristotélisme néo-platonisant, elle culmine en Orient avec Avicenne (Ibn Sina), dont la pensée devait connaître des développements nouveaux en Iran. Averroès (Ibn Rusd) est, symétriquement, le principal philosophe musulman de l’Occident, mais son projet et son destin furent tout autres. Pour lui, la philosophie est uniquement

a pour but le bien être du plus grand nombre est une société que l’on qualifie de « petite bourgeoise ». Un des problèmes que s’est posée Montesquieu est celui de la coexistence entre liberté et égalité, c.à.d. pour lui la liberté est aussi bien compatible avec l’égalité comme dans les républiques mais également avec l’inégalité comme dans les monarchies constitutionnelles. Il considère même qu’au fond nous pouvons dire que dans les monarchies modernes qui sont des grands Etats dont le principe est

pas toutes des sanctions. 1. Approche du droit par comparaisaon avec les autres normes A) Droit, religion et morale Il y a un lien évident entre ces trois termes. Il y a des prescription morale et religieuse qui ont été consacré par le droit. L'interdiction du vole, du meurtre provient de textes saints (les dix commandements), le droit est lié à ces préscriptions. Le droit est la religion sont fortement imprégné jusqu'à la spéparation de l'état et de l'église mais les prescriptions religieuses

Durkheim / Weber Weber & Marx s'opposent : Pour Weber, les idées (même religieuses) peuvent jouer un rôle moteur dans l'histoire. Pour Marx, les conditions matérielles d'existence déterminent les manières de penser et les consciences. (cf. cours philosophie) ("Ce n'est pas la conscience qui détermine l'être mais l'être qui détermine la conscience") ACTUALITE M. Weber nous éclaire quant à l'évolution du monde contemporain. Sa pensée aboutit finalement à un paradoxe. C'est au moment où il se libère

Kelsen reproche au droit idéal à la fois ses présupposés métaphysiques (Droit divin : Dieu commande ; ou normes dans la nature, alors que ce ne sont que des faits qui se produisent) et son relativisme (Droit idéal, religieux, variable selon la religion). Le positivisme juridique ne s’attache qu’aux faits juridiques : lois votées dans un Etat par l’autorité compétente). Cf Antigone, Sophocle : Antigone est idéaliste (Elle affirme que son frère a droit à une sépulture décente, droit qui vient

de la Raison. L'histoire humaine doit alors être conçue comme progrès de la raison et de la liberté, qui constituent sa fin et son sens propres : «L'histoire universelle, écrit Hegel (1770-1831), s'est développée rationnellement» (Leçons sur la philosophie de l'histoire, 1837). Dans l’introduction de cet ouvrage, que Hegel intitule La Raison dans l’histoire, il expose sa thèse -thèse selon laquelle l’histoire procède selon une «ruse de la Raison» : si les hommes ne sont pas toujours conscients de

l’intérêt de la famille. Ils doivent donc s’entendre sur des questions comme l’éducation des enfants par exemple. Le droit réalise une conciliation entre la nécessaire concertation familiale et les libertés individuelles de chacun. Le choix d’une religion ou d’une profession ou encore l’opinion politique d’un époux relève de ses libertés individuelles. Même du point de vue de l’enfant, des revendications en faveur d’une pré-majorité religieuse, sexuelle se dessinent. Dans l’hypothèses d’un désaccord

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