La Pitié Est Elle Une Vertu Ou Une Faiblesse

1694 à Madame de Maintenon, épouse du roi, alors qu'il était | | |précepteur du duc de Bourgogne. On ne sait si le monarque eut connaissance de cette missive qui prônait si | | |dignement la vertu politique contre le souci de la gloire et l'appétit des conquêtes. Fénelon reviendra sur les | | |thèmes défendus ici avec clarté et hauteur dans les Aventures de Télémaque (1699).] | |  La personne

différentes formes d’Etats, les républiques et les principautés. Les principautés sont, soit héréditaires, celles qui appartiennent à la famille de leur prince, soit nouvelles, acquises soit par les armes soit par la fortune soit par l’ascendant de la vertu. La monarchie héréditaire n’a aucune difficulté ni à gouverner ni à garder le pouvoir, étant aimé et respecté par ses sujets. Il sera plus aisé de gouverner un pays de même langue et de même culture, par contre il sera difficile de s’enraciner hors

et montre ainsi sa souffrance en établissant un registre pathétique grâce au mot « pitié ». La présence de beaucoup de signes de ponctuation, comme les virgules, les points ou encore les points d'exclamation, ralentit le rythme. Ici, l'auteur prend plaisir à « suspendre » le temps pour capter l'attention de son lecteur, de même que Gwynplaine pour son auditoire. Ce dernier pose des questions rhétoriques comme « pitié pour qui? » ou encore « qui est en danger? » afin d'exercer, une fois de plus, une

« vous » plutôt ambigu. Il s’agit dans la deuxième partie d’éclairer les valeurs, les objectifs, la mission que défend Horace. Dans son discours, le personnage met en avant ses propres valeurs v 3-4 : «  La solide vertu dont je fais vanité/ N’admet point de faiblesse avec sa fermeté ; ». Le personnage se présente donc lui-même comme un héros courageux et vaillant. Ce sont donc les valeurs du héros qui sont mises en avant ici. Horace réalise un véritable éloge de lui-même. La question

Le malheur est une espèce de talisman1 dont la vertu consiste àcorroborer2 notre constitution primitive : il augmente la défiance et la méchancetéchez certains hommes, comme il accroît la bonté de ceux qui ont un cœur excellent. L’infortune avait rendu le colonel encore plus secourable et meilleur qu’ilne l’avait été, il pouvait donc s’initier au secret des souffrances féminines qui sontinconnues à la plupart des hommes. Néanmoins, malgré son peu de défiance, ilne put s’empêcher de dire à sa femme

Racine est d’abord le rival de Corneille, celui qui va en quelque sorte prendre sa place sur la scène du théâtre français. Beaucoup de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui

Dédicace Rousseau décrit la meilleure des sociétés humaines : Celle-ci présente tout d'abord une superficie réduite (aux facultés humaines) afin que tous se connaissent et que rien ne puisse être caché au public, que ce soient les vices ou les vertus. Ainsi l'amour de la patrie se dévellope. Mais celui-ci ne renvoie pas à l'amour de la terre mais à l'amour des citoyens. Ceci correspond à deux représentations de la nation et de la souveraineté (pendant la Révolution) :l'une renvoie au pouvoir d'obliger

Chasteté, Secret et Merce (pitié). Toutes ces vertus conduisent à la Joy, signe et garantie de Vray amor. Joy : Un mot-clé. État d’harmonie, d’extase et de perfection intérieure que donne l’amour quand la dame le veut. Joy est bien plus intense que son affaiblissement ultérieur en “joie” (étymologiquement lié au jeu et au geste). Pas seulement un exaltation sentimentale mais un plaisir érotique et sensuel expérimenté après avoir été longtemps attendu. Merce : La pitié amoureuse qu’amour met en le

d'attendrissement sur tout ce qui regarde votre véritable intérêt. Vous êtes né, Sire, avec un cœur droit et équitable; mais ceux qui vous ont élevé ne vous ont donné pour science de gouverner, que la défiance, la jalousie, l'éloignement de la vertu, la crainte de tout mérite éclatant, le goût des hommes souples et rampants, la hauteur, et l'attention à votre seul intérêt. Depuis environ trente ans, vos principaux ministres ont ébranlé et renversé toutes les anciennes maximes de l'État, pour

l’ingratitude .voulez vous rendre chacun à ses premiers devoirs ? Commencez par les mères. Braver l’empire de la mode et les clameurs de leur sexe L’enfant doit aimer sa mère avant de savoir qu’il le doit. C’est une précaution barbare de prolonger la faiblesse de l’enfance sous les fatigues des hommes faits .un enfant supportera des changements que ne supporterait pas un homme Comme la véritable nourrice et la mère le véritable précepteur est le père ;le père, quand il engendre et nourrit des enfants