La Porte de l'enfer

certains, l'existence du monde extérieur n'est absolument pas nécessaire au sujet pour avoir conscience de soi. En utilisant la technique du doute méthodique, Descartes affirme en effet la certitude absolue de la conscience de soi malgré le doute qu'il porte sur tout le reste du monde. Selon lui, le monde extérieur n'est donc pas nécessaire à la conscience de soi. Le sujet peut se saisir comme conscience par une simple introspection, indépendamment des choses et des autres sujets. L'introspection est

Mais il pose en substance cette question : quelle peine méritent-ils exactement ? La souffrance, la mort, ou l'enfer ? La souffrance, ils l'ont subie, assurément, avant et pendant l’événement. La mort le clôt. Pour Villon, c'est déjà assez : un fripon est beaucoup moins dangereux une fois mort, et il a de ce fait payé son crime. Maintenant, il faut le laisser, et lui faire éviter l'enfer. Il conclut, encore plus suppliant : « âme ne nous harie, mais priez Dieu... » vers 19-20, en d'autres termes :

pour cette raison que c’est le seul personnage vivant du tableau dont on voit le visage, c’est le seul à avoir son humanité. On peut interpréter que la seule chose d’humaine dans la guerre est la solidarité entre les soldats. Le personnage d’Otto ne porte pas l’uniforme du soldat et regarde le spectateur doit dans les yeux avec un regard presque effrayant. Par là il montre comment la guerre la transformé. Le panneau inférieur (ou prédelle) présente les représente un cercueil collectif contenant au moins

(procès de sorcières), et non pas pour faire pacte avec eux. Le pacte ou l’entreprise entre humains et démons, ou le diable porte le nom de « Sabbat ». Les païens distinguaient : dieux, démons, héros, humains. Les théologiens antiques classent les êtres supérieurs en quatre catégories : dieux, démons, héros, âmes. Jusqu’à la fin de XIIIº siècle, peu d’intérêt était porté aux démons. Le Traité sur le mal de saint Thomas d’Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et la sorcellerie

Brandon : Espèce de torche, faite avec de la paille tortillée. Débris enflammé de matière quelconque. Charon :Divinité de l'enfer dont la charge était de faire passer aux morts dans une barque le fleuve du Styx Charon : l'espace qui s'étend de la ceinture aux genoux d'une personne assise Psille : peuple africain qui on un antidote contre le venin de serpent. Orgueilleux : Sentiment, état de l'âme où naît une opinion trop avantageuse de soi-même /vanité/ Gouffre : cavité profonde, vide ou remplie

de provocation et de défi. Il sait lui ce qu’il fait et va jusqu’au bout de son libertinage. Faut-il considérer sa passion comme cohérente et intéressante, ou comme un vice inextinguible, qui ne faut que causer le malheur d’autrui ? Le débat se porte ici sur un terrain moral – et l’on pourra se référer à la question du désir et du respect, dans « Lire l’œuvre aujourd’hui ». 1.3. Don Giovanni (texte 3) Le Don Giovanni de Mozart et Da Ponte est un héros de l’esthétique – au sens étymologique

diable refuse d’abord d’entrer dans le cercle tracé par Faust ; enfin, cédant à une évocation plus puissante, il apparaît sous la figure d’un moine. Avant d’arrêter les clauses du contrat, il faut qu’il obtienne l’autorisation de Lucifer, le prince de l’enfer ; car lui-même, Méphistophélès, n’est qu’un démon subalterne. Le pacte signé, Faust est irrémédiablement perdu. Plus tard, à l’approche du châtiment, il sera saisi d’effroi ; il demandera l’assistance d’un homme pieux, médecin comme lui, mais qui

...............................1 « Jadis..................................................................................................3 MAUVAIS SANG ...............................................................................5 NUIT DE L'ENFER ...........................................................................12 DÉLIRES I - VIERGE FOLLE - L'ÉPOUX INFERNAL................15 DÉLIRES II - ALCHIMIE DU VERBE...........................................20 L'IMPOSSIBLE..............

yablement  peur de la mort. D’où le fait qu’il ne cesse d’énerver les autres : il veut qu’on se rappelle de  lui. Il refuse de disparaître dans le néant, sans personne pour pleurer sa mort. Il préférerait  encore marques les esprits avec la haine portée à son égard, que de mourir de manière  anonyme.      Physique : Sourcils en accent circonflexe, petit visage pointu, d’immense yeux bleu : lui  donne un air de lutin surnois. Les grands yeux bleus témoigne de son innocence et de son  avidité à découvrir tous les secrets du monde

Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchée, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultées matérielles et à la crainte permanente de perdre un cher. C'est donc bien l'ensemble de la population française que connaît, entre 1914 et 1918, la terrible expérience de la guerre. Nous allons tout d'abord porté notre étude sur l'installation d'une guerre longue