La Possession Comme élément De Présomption De Propriété

volontairement une qualification inexacte parce que elles veulent échapper à des règles qui ne leur conviennent pas. Souvent c’est pour les règles fiscales. Ce procédé relève de la simulation. Parfois c’est le législateur qui donne une fausse qualification comme pour le contrat de promotion immobilière. La loi dit que c’est un mandat d’intérêt commun. C’est en partie un mandat mais pas un mandat d’intérêt commun. Parfois, c’est la jurisprudence encore qui fait une fausse qualification. - EVOLUTION

14/01/14 Introduction I-notion de famille Le droit français ne donne aucune définition de la famille, d’ailleurs dans le code civil, la famille est intégrée dans les livres intitulés des personnes et des différentes manières dont on acquière la propriété. D’autre droit étranger comportent des dispositions propre à la famille, c’est le cas du code civil italien et du code marocain de la famille. L’absence de disposition propre de la famille dans notre droit est due à l’institution d’un nouvel ordre

personnes A) L'apparition de la vie La personnalité juridique est en principe acquise à la naissance , du coup avant l'enfant n'a pas de personnalité distincte de celle de sa mère. Toute la difficulté tient à la considération ou non du fœtus comme sujet de droit. La personne doit faire l'objet d'une déclaration qui sera réaliser dans les 3 jours qui suivent la naissance (art 55). sans cela , l'officier d'état civil ne pourra plus constater la naissance sur les registres d'état civil , qu'en

qui donne plus d’impact juridique aux enfants. Le droit de l’affiliation est devenu plus égalitaire. L’affiliation c’est le lien juridique qui attache un enfant à son ou ses parents : • Avant 1972 : la structure de l’affiliation était hiérarchisée comme suit : Enfants légitimes (issus d’un couple marié), enfants naturels (issus d’une union libre), Enfants naturels adultérins et enfants naturels incestueux. • Depuis 1972, la loi affirme l’égalité de droit entre tous les enfants. Les lois de 1994 et

Introduction la perte de la qualité de personnes I. le décès des personnes physiques A. le décès prouvé 1. La notion de décès 2. La preuve du décès 3. Les conséquences juridiques du décès B. le décès présumé 1. La présomption d'absence a. L'ouverture du régime b. Le régime de la présomption d'absence c. La cessation du régime 2. Le jugement déclaratif d'absence a. Les conditions b. Les effets de la déclaration d'absence c. La cessation du jugement déclaratif d'absence II. La dissolution des personnes

_________________________________________________  32  Chapitre 1 : Les Règles Générales  _____________________________________________________ 32  _ Section 1 : Les présomptions relatives à la filiation ______________________________________ 32  Paragraphe 1 : La Conception de l’enfant ___________________________________________ 32  Paragraphe 2 : La possession d’Etat  _______________________________________________ 33  Section 2 : Les Règles Générales qui s’appliquent aux actions _____________________________ 33 

constituent le commun de la responsabilité civile délictuelle : Art 1382, 1383 et 1384 du Code Civil. L’art 1382 et l’art 1383 traitent des faits délictueux à caractère intentionnel (1382) et non-intentionnel (1383). L’art 1384 renferme des présomptions de responsabilité du fait des choses et du fait des personnes. Ces trois textes sont insignifiants par rapport à la Jurisprudence qui s’est développée à partir de 1900, contribuant à l’évolution du droit de la responsabilité civile délictuelle

ce qui constitue une richesse. C’est aussi une chose. Le droit des biens : ensemble des règles relatives aux choses et aux pouvoirs que l’on peut exercer sur cette chose. Ce pouvoir peut être un pouvoir de droit et de fait (lorsqu’on se comporte comme un propriétaire même si on ne l’est pas). TITRE 1 : Les choses, les pouvoirs sur les choses et le patrimoine Chapitre 1: Les choses Section 1 : la distinction entre meuble et immeuble Quel est l’intérêt de les distinguer ? On applique pas les

peine d’emprisonnement. Ex : le vol. Peuvent-ils retenir cette personne ? Oui. Le temps nécessaire pour constater l’infraction et appeler les forces de police. Retenir une personne trop longtemps est un acte interdit qui peut être considéré comme une séquestration. La durée est à l’appréciation du juge. Peuvent-ils blesser un Individu pour l’empêcher de tuer ou et de frapper une autre personne ? Cela relève de la légitime défense… L’agent peut porter secours à autrui s’il y a un danger

différents intérêts en présence. ex. Les règles de preuve font la différence entre une personne privée (qui doit prouver par écrit) et un commerçant (contre qui la preuve est libre). * Comment fonctionne une règle de droit ? Il y a deux éléments constitutifs d’une règle de droit : * le présupposé hypothétique : situation de fait à laquelle la csq est attachée * la sanction ou la csq : La csq est la réponse à la question posée puisque l’on ne recourt à la règle qu’en cas de problème