La Production Artistique

| | |2. Le cinéma, une œuvre reproductible | | |3. L’exemple du modèle de production hollywoodien | | |4. L’œuvre cinématographique conçue comme une véritable marchandise |

à ces fonctions : il doit normalement aussi aider le réalisateur lors de l'écriture du scénario, du choix des acteurs, des lieux de tournage, de l'équipe et sera l'interlocuteur privilégié en cas de problèmes ou conflits. Il a donc aussi un rôle artistique et non pas seulement de mécénat. Le producteur ne met normalement pas de fonds propres : il gère l'argent de tierces personnes. Par contre, il, ou sa société, est le responsable en cas de pertes financières devant les banques et autres organismes

interprétations | | |opposées. Est-elle le nouvel oeil tout-puissant de Big-Brother, ou au | | |contraire un mode d'expression artistique populaire ? | | | | | |Le

AFASAM ETUDE SUR LES METIERS DU SON DANS L’AUDIOVISUEL Enquête auprès de 32 entreprises des secteurs de la radio, de la télédiffusion, de la production audiovisuelle et du cinéma, de l’industrie technique de l’évènementiel et du multimédia. Remerciements Mes collaborateurs et moi-même, tenons à remercier chaleureusement toutes les personnes représentantes des entreprises qui nous ont accueillis, et qui ont bien voulu, à l’occasion d’une entrevue, partager leur connaissance des métiers

supérieur B T S Métiers de l’audiovisuel, option gestion de production Les métiers de l'audiovisuel constituent une famille professionnelle dont les membres, bien que spécialistes, travaillent tous en étroite collaboration. Pour faciliter cette collaboration, ce diplôme assure une formation de base commune sur laquelle s'organisent cinq options. L'option gestion de production forme des assistant-e-s ou des régisseur-euse -s de production qui contribuent à la mise en place et au suivi administratif

OTTO DIX Biographie Wilhelm Heinrich Otto Dix est né le 2 décembre 1891 a Humtermhaus, Empire allemand. Bien qu’issu d’un milieu ouvrier, Otto Dix reçoit une éducation artistique par sa mère. Après avoir suivi des études à l’école des arts appliqués de Dresde de 1909 à 1914, Dix s’essayera au cubisme, au futurisme et au dadaïsme. Il enseigne ensuite les Beaux-Arts à Dresde. Durant la 1ere guerre il s’engage et est appelé en tant qu’artilleur. Il participe notamment à la bataille de la Somme

"personnelle et éternelle". La première fonction de l'art est évidemment de produire de la beauté, et la beauté, étant une finalité sans fin, n'a pas d'autre but qu'elle-même. Elle est pure gratuité et infinie liberté. Mais est-ce que la beauté artistique est supérieure à la beauté naturelle ? Thèse : Tout d’abord, cette question nous amène à distinguer deux types de beauté : celle de la nature et celle de l'art. Dans la vie courante, nous n'hésitons pas à qualifier de belles certaines réalités

d’activités artistique. Il faut attendre le 17 eme siècle pour parler des beaux arts (but esthétique). Cette notion d’art est tardive on ne distingue pas l’art des autres activités de production. La traduction en latin du mot grec technê (la technique) par ars témoigne de la proximité de l’art et de la technique. Pour qu’il y est art il faut que l’objet soit l’aboutissement d’un projet intentionnel. Le fait que l’objet soit beau ne suffit pas pour affirmer qu’il provient de l’activité artistique. -

culturelles…………………………………………………………………….....p. 5 Les enjeux de la labellisation……………………………………………………………………………….....p. 6 L’ancrage territorial………………………………………………………………..………………………….....p. 7 II. L’ambition d’Evento……………………………………………………………………………….…….....p. 9 Le marché de production………………………………………………………………………………............p. 9 L’offre des « sachants » ………………………………………………………………………………............p. 9 L’interprétation des manifestations par les publics……………………………………………………….p.12 III. Evento, outil du marketing territorial

créateur devenant ainsi lui-même créature de sa création, sociologiquement dépendant de sa créativité. L’autonomisation du champ littéraire et artistique à la fin du XIXème siècle va entraîner une « différenciation des genres et une unification du champ » (p. 198), l’apparition de « secteur plus autonome » au sein de sous champs du champ de production culturelle. Paradoxalement, cette autonomisation du champ littéraire va conduire certains écrivains – dont Emile Zola et les « agents les plus autonomes