La Protection Civile

éléments comme le nom de famille, mais également le domicile et l’état civil. Il faut protéger la personne contre certaines agressions extérieures. Toute personne dispose de certains droits inhérents à la personne et qui doivent être respectés par les autres personnes. Ces droits sont les droits de la personnalité. De plus, il faut protéger certaines personnes qui ont une faiblesse particulière et qui nécessitent une protection particulière. Ce sont les incapables. Titre 1 : Les personnes

Droit civil I: Les personnes (S. Menétrey) Le droit des personnes est comme le droit des obligations, le droit des familles, le droit des successions et le droit des biens une branche du droit civil. Le droit des personnes est une matière essentielle du droit civil sans laquelle le droit civil n’aura aucun sens. La personne a une personnalite juridique, est donc un sujet de droit et peut accomplir des actes juridiques (p.ex. contrats) en tenant compte de sa responsabilité de ces actes effectuées

préalablement à la reproduction de son bien par la société Publicis. La SCP Girancourt, en qualité de demandeur, assigne la SCIR Normandie, le défendeur, devant les tribunaux civils en réparation du préjudice subit au motif de l’atteinte à l’exclusivité de son droit de propriété, sur le fondement de l’article 544 du Code civil. Suite au jugement de première instance, lequel ne fait pas droit aux prétentions invoquées par le demandeur, ce denier fait appel de la décision ainsi rendue devant la cour

L3 Dissertation : « La protection du conjoint de commerçant. » « Un mariage à trois : le commerçant, son conjoint, et le fonds de commerce » : voilà comment Suzel Castagné intitule son article paru dans La semaine Juridique le 17 Novembre 2006, ce titre est révélateur du fait que Le commerçant personne physique, a en quelque sorte une « double vie » : une activité commerciale et une vie privée. Normalement, vie privée

Fondamentaux du droit civil. Sous-section 4 : le sexe La loi ne définit pas le sexe, il est pris en compte par le droit civil comme étant un élément de l'état d'une personne et qui se trouve corroborer par le prénom donnée à 'enfant, il doit figurer sur l'état civil. Il se peut poser un problème au niveau du prénom car il peut y avoir changement de sexe car pour changer de prénom il faut avoir un intérêt légitime. Sous-section 5 .L'état civil et de l'état. L'état d'une personne :les état c'est

1994. L’idée à retenir, certes au titre de la personnalité juridique l’embryon et le fœtus ne sont pas protégés par le droit, mais ça ne signifie pas qu’ils échappent à toutes protections du droit. L’idée générale est que le droit reste le reflet d’une réalité biologique, embryon et fœtus n’échappe par pour autant à une protection juridique. A l’exception de l’adage « infant Conceptus », c’est bien la naissance de la personne que commence la personnalité juridique. Chapitre 2 : la perte de la qualité

          La protection de la partie faible dans la relation contractuelle en droit marocain Introduction  Avec le développement exponentiel de la mondialisation et son corollaire l'expansion des activités commerciales, le sort de la protection des relations contractuelles et consuméristes devient un sujet préoccupant en ce 21ième siècle.  En effet, dans ce monde mondialisé où l'on emploie des méthodes et technologies nouvelles et plus encore des clauses abusives dans les contrats

Droit civil Construction du code civil, 3 remarques: -La distinction entre le droit patrimonial et le droit extrapatrimonial exite toujours mais relève de quelques artifices que l'on voit quand on se penche sur le 1er livre concernant par exemple le droit à l'image. C'est un artifice parce que aujourd'hui l'exploitation de fait de manière patrimoniale. Concernant le droit de régime matrimoniaux, le droit des successions => ce sont des intérêts patrimoniaux. -Le livre 1er du code civil s'intitule

Commentaire de l’article 16 du Code civil. « La loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le consentement de sa vie » énonce l’article 16 du Code civil, créé par la loi du 29 Juillet 1994. A travers celui-ci, on retrouve plusieurs éléments fondamentaux. La loi tout d’abord qui est faite pour fixé des obligations et afin d’ouvrir des droits. Elle assure mais ne créé pas. Il n’y a en effet pas de création de

sens juridique du terme. Il y avait deux exceptions à cette règle : L’esclavage, qui a disparu définitivement en 1848. A partir de cette date tout être humain avait la personnalité juridique. L’autre exception qui est moins connu est la mort civile. Celle-ci était une sanction pénale ou un statut religieux, qui consistait en la perte de la personnalité juridique pour un individu vivant mais qui était considéré comme juridiquement mort. C’est une sorte de peine de mort juridique et donc sa succession