La Punition Est Elle La Forme Légale De La Vengeance

semblable ? - Comment justifier le respect d’autrui ? - Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? - Faut-il aimer autrui pour le respecter ? - Faut-il s’identifier à autrui pour le comprendre ? - L’amitié est-elle la forme idéale du rapport à autrui ? - L’homme peut-il être humain sans la présence d’autrui ? - La passion nous sépare-t-elle d’autrui ? - La poursuite de mon intérêt m’oppose-t-elle aux autres ? - La présence d’autrui nous évite-t-elle la solitude ? - La

deuxième millénaire av JC au 7° siècle av JC) : chanté par Homère au 8°siècle av JC qui relate des événements arrivés au 12° siècle av JC. Royauté * Classique (4° av JC- 6° av JC) : cité état objets de réflexion politiques (quelle est la meilleure forme de gouvernement), la démocratie apparaît à Athènes, invention de la science politique * Hellénistique (fin 4° siècle-1° siècle av JC), Philipe de Macédoine et Alexandre le grand : monarchie hellénistique. Le monde grec va être vaincu par la puissance

criminel : Phase de la vengeance privé illimité : ou la victime ou le groupe auquel elle se rattache se venge sur l'auteur du dommage ou à défaut sur ses proches sans aucunes limites. Période des règlements de compte, c'est assez archaïque et désordonnée car on n'a pas de limites. Un groupe social ne peut pas tenir dans la durée. Aboutissait au versement d'une indemnisation. Donc responsabilité collective. La justice privée : toujours dans le cadre d'une vengeance privée, mais désormais régulée

semblable ? - Comment justifier le respect d’autrui ? - Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? - Faut-il aimer autrui pour le respecter ? - Faut-il s’identifier à autrui pour le comprendre ? - L’amitié est-elle la forme idéale du rapport à autrui ? - L’homme peut-il être humain sans la présence d’autrui ? - La passion nous sépare-t-elle d’autrui ? - La poursuite de mon intérêt m’oppose-t-elle aux autres ? - La présence d’autrui nous évite-t-elle la solitude ? - La

intentionnelles: On est ici dans une hypothèse ou plusieurs personnes prennent part à une scène de violence unique, cette scène se traduit par un dommage, il est matériellement impossible de définir avec certitude l'auteur du dommage. L'ensemble forme une action unique, chaque participant peut être considéré comme auteur de cette action unique, on apprécie l'ensemble de l'action. En ce qui concerne les infractions non intentionnelles: Même solution. On peut considérer qu'il y a une commune imprudence

délinquance juvénile (LDJ), votée en 1908 et révisée en 1929. En vertu de cette loi, la définition de la délinquance s'étend au-delà des crimes commis par des adultes et énumérés dans le Code criminel en y ajoutant « l'immoralité sexuelle ou tout autre forme similaire de vice ». Elle aborde également les cas d'enfants négligés, maltraités ou incontrôlables. La LDJ fait de l'État un gardien pacifique qui traite le jeune comme un enfant mal dirigé, qui a besoin de soins et de supervision. La LDJ crée un

de la vengeance, chacun assure le respect de son droit, c'est la justice privée, chacun se fait justice à sois même mais aujourd'hui = contraire : aujourd'hui nul ne peut se faire justice à sois même, c'est l'état qui a cette fonction. Le droit est apparu par paliers (Robinson avec Vendredi), passe un système avec certaines règles notamment avec la loi du Talion, qui limite la vengeance "œil pour œil, dent pour dent". On ne demande pas la mort donc vengeance = proportionnée. La vengeance, la justice

mobiles peuvent également être pris en considération. Dol aggravé Il s’agit d’une infraction préméditée ou réalise en bande organisée. Dans tous les cas, elle a été auparavant planifiée. L’article 132-72 définit la préméditation comme le « dessein formé avant l’action de commettre un crime ou un délit déterminé ». Il s’agit donc de préparer précisément l’acte avant de le commettre. Il peut conduire à une aggravation à l’homicide volontaire. Selon les cas, et selon les prévisions faites par la loi

ces problèmes par la vengeance privée qui avait un caractère illimité. Il n’y avait pas de proportionnalité, on se vengeait sur le clan, la famille de celui qui avait commis l’infraction. Les sociétés primitives ont très tôt mis en place des systèmes de régulation. On reste dans l’idée de vengeance privée mais des coutumes ont posées des règles de délai. D’autres sociétés ont mis en place une sorte d’interruption du processus de violence en interdisant le recours à la vengeance pour sanctionner un

directement dans l’œuvre de Bataille, nous vous recommandons l’excellente analyse de Gérard Durozoi dans la collection Profil, Hatier. La parenté entre l’érotisme et le meurtre, l’orgasme et la mort. Dans les deux cas, les corps accueillent une forme de violence (amoureuse ou meurtrière). Dans les deux cas aussi, il y a " effraction ", pénétration ; dans le meurtre ou le viol, le corps est fracturé ; dans le désir, l’isolement de l’être s’effondre, il y a, selon G Bataille, une déchirure de l’intériorité