La Raison du plus fou

quand on a rien, on ne donne rien. C'est la raison pour la quel on peut aussi écrire rien, pour parler de rien c'est très facile de ne rien dire il suffit d'utiliser les mots qui n'ont aucun sens, pourtant je ne suis pas en train de faire ceci vu que tout les mots utiliser ont un sens mais le but étant de ne rien dire je parle de tout et de rien tel que ici le sens des mots ça veux dire beaucoup de chose et ben j'utilise ceci dans le but de ne rien dire, en disant trop de chose qui ne sont pas

explique à Alice que lui et le Lièvre de mars prennent continuellement le thé car, quand il tenta de chanter pour la Reine de cœur lors d'une fête en son honneur, elle le condamna à mort parce qu'il était « en train de battre le temps ». Pour des raisons qui ne sont pas expliquées, il échappa à la décapitation, mais puisqu'il arriva à la conclusion que le temps s'était faché (puisqu'il était battu), le Lièvre de mars, le Loir et lui continuèrent à prendre le thé comme si l'horloge s'était arrêtée

divertir ? Rien ne semble plus spontané que le rire : on éclate de rire, on rit aux larmes, on en rit encore et on rit pour rien. N’y a-t-il dans le rire rien de sérieux, rien de sensé, aucune intention ? 1° La description du rire Tout les humains savent rire dès la naissance. Le rire apparaît aux alentours du quatrième au cinquième mois. Rire ne s’apprend pas, contrairement aux langues. C’est inné chez l’espèce humaine Le rire est un comportement réflexe, dès notre plus jeune âge, on rirait jusqu'à

critique HP Harry Potter et le prince de sang mélée, de quoi sa parle ? On c pa trop, mais alors la on c vraiment pa trop, le film démarre le générique (taaannnnn tannntannn tannnntannn tannntannn tann). Londres, un pont il exploseee … pour aucune raison, pour aucune raisoonn ! ce pont explose, on réfléchit, petétre que le réalisateur c’est fé violé par un pont quan il été ptit é il a voulu svenger symboliquemen a lécran, mais il oré tétre pu juste aller voir un psy pck sa coute 8 milliards d’euros

souffre n'est pas responsable de sa souffrance, et on ne saurait lui reprocher d'avoir fait ce qu'il pouvait pour y mettre un terme. Plus généralement, celui qui agit mal, mais sous la contrainte, n'étant pas au principe de ses actes, celui-là ne peut pas être tenu pour responsable de ces actes eux-mêmes, et par conséquent ne saurait en être châtié. Le cas le plus délicat est donc celui de l'ignorance : car enfin, est-elle une excuse suffisante pour nous dispenser de la responsabilité de nos actions

gaieté, qui se manifeste par un enchaînement de petites expirations saccadées accompagné d'une vocalisation inarticulée plus ou moins bruyante. Ces mouvements concernent en premier lieu la musculature respiratoire et le larynx et sont accompagnées d'une mimique provoquée par la contraction de muscles faciaux, entraînant notamment l'ouverture de la bouche. D'autres mouvements plus ou moins contrôlés peuvent accompagner le rire. Le rire est essentiellement causé par l'humour, le chatouillement ou

cantonne pas à « qui a raison »  I – Structure du débat - débat mené par le neveux : il questionne sans cesse. A la fin le philosophe reconnaît la thèse du neveux. - questions qui expriment implicitement un point de vue. - ton polémique : étonnement et indignation. - temps de parole équilibré. II – Deux visions de la femme, de l’éducation et de la société. - les deux sont d’accord sur le fait qu’il faut une éducation spécifique de la femme, mais pas pour les mêmes raisons : • objectif

(l.29). Donc elle a un statut traditionnel donc elle ne peut que défendre les valeurs traditionnelles. -elle est présente comme une personne de croyant et de pratiquant "lu que mes heures" (l.34-35) "occuper qu'a pratiquer l'Evangile" (l.35) et de plus elle défend la religion "la religion pour faire le bien" (l.22). Son comportement vis a vis du philosophe est plutôt passif - La plupart du temps elle se contente de confirmer sa propre thèse ou de condamner la thèse adverse. De même à la ligne 15

Situation du passage : acte I, c’est l’acte d’exposition, avant-dernière scène. Nous n’avons pas encore vu Tartuffe, ni même Orgon. Que savons-nous de ces personnages ? Tartuffe est un faux dévot, Orgon ne peut s’en séparer et le laisse prendre de plus en plus de pouvoir au sein de sa famille. La situation est grave : le faux dévot, l’imposteur, comme le dit le sous-titre de la pièce est en train de s’immiscer dans une famille, au risque de lui ôter ce qu’elle possède (voir scène 2). Par ailleurs, nous

présenter l’un des cas les plus étranges selon lui. L’aliéniste laisse le malade lui-même parler et expliquer sa situation. Bien qu’étrange, cela nous donne une idée sur le traitement de la folie à l’époque : l’aliéné était appelé à parler pour que l’aliéniste puisse identifier l’origine de son mal ; ce qui le perturbe, ce qui lui fait peur et lui cause un dérangement mental. En plus, la folie était considérée à la fin du XIXème siècle, comme une forme non normale de la raison. - Le dédoublement : le