La Raison Gouverner Action Humaine

dessus du sort et des sentiments ; reprise de la raison sur la passion. · Eloge paradoxal du sort par Horace : il bénit le sort car c'est ce mauvais sort qui va lui permettre de devenir un héros = Surmoi : instance de la personnalité psychique dont le rôle est de juger le « moi » ==> Horace n'est plus un homme mais un mythe. Paradoxe des deux hommes : · Horace : Héros = spectacle a lui seul. Se montre au grand jour, s'expose, fait une action d'éclat : il s'offre triomphant au yeux de l'univers

Le clan des humanistes se base sur une définition spécifique de l’être humain qui se concentre sur la notion de liberté élaboré par st-Augustin. Le prince de libre arbitre ‘’ Liberum arbitrium ‘’ , la liberté dans un premier temps serait attachée au principe de volonté , selon le dictionnaire Larousse la volonté ‘’désigne la faculté d’exercer un libre choix gouverné par la raison de déterminer une action d’après des normes ou des principes (moraux par exemple ) ‘’ ce qui découle directement de la

appelle le Principat. On a changé l’autorité de celui qui gouverne. Ce principat est dirigé vers l’absolutisme. A partir de la fin du 3°, s’installe un nouveau régime, le dominat. Dans ce régime, l’empereur gouverne seul comme un maitre. I- La royauté (8°-6° avt JC) : La royauté romaine est une période assez mal connue, ancienne, pour laquelle les sources manquent. Les romains considèrent qu’au début de leur histoire, ils ont été gouvernés par 7 rois, certains de ces rois sont probablement légendaire

representatives (« représentants ») les députés élus au suffrage universel détenant le pouvoir législatif au parlement. Ce mot illustre parfaitement la relation entre la représentation politique et la démocratie : le peuple états-unien gouverne grâce aux representatives qui portent sa voix au parlement. La plupart des régimes politiques dans le monde se qualifient comme des « démocraties » et ont quasiment tous adopté un système de représentation : les citoyens

Juger, c’est opérer une action de comparaison de quelque chose ou de quelqu'un à un critère. C’est porter un jugement sur les actions de ceux qui nous entourent, qu’il soit positif ou négatif. On peut distinguer deux types de jugement : ceux qui concernent les questions de goût, ce domaine repose sur un jugement subjectif, dépendant de chaque personnalité et émet des jugements qui sont toujours discutables, on peut donc considérer que ces jugements peuvent être pratiqués par tous car n’influant pas

partir du principe selon lequel un homme ou une minorité ont le droit de gouverner tous les autres, d’établir les règles du comportement humain, de s’arroger la prérogative d’utiliser la plus grande partie des richesses économiques. La critique anarchiste du principe d’autorité s’étend toutefois jusqu’à l’État moderne basé sur le primat de la majorité. C’est-à-dire la démocratie, comme tout projet étatique qui veut mettre la raison ou la science à la base de son organisation. Tant qu’il y aura une organisation

principautés nouvelles (les questions de droit2 ou de la légitimité des acquisitions sont étrangères à l’auteur). L’enseignement qu’il tire des ses observations, c’est que la puissance et la force sont implacables (c’est le fait essentiel de l’histoire humaine). Le désir d’acquérir3, pour être assouvi, doit être consubstantiel au moyen, c’est-à-dire la force. Car, pour Machiavel, « le désir d’acquérir est sans doute une chose ordinaire et naturelle, et quiconque s’y livre quant il en a les moyens en est

Comparer le concept de justice chez Platon et Aristote et analyser en quoi ce concept est appréhendé différemment aujourd'hui ? Platon , le concept de la justice étant la quintessence de tous les traits communs à toutes les actions justes particulières . 1°°Dans la République notion de justice est à la fois eu niveau individuel et collectif , il s'agit d'appréhender la justice chez l'homme et dans la cité . Pour platon la question de liberté est inhérente à celle de la justice . Il

Question : L’être humain est-il un être de raison ou un être de passions? Le désir de connaître la nature de l’être humain est un point de départ pour des doctrines philosophiques diverses. Jusqu'à présent, il n’existe pas de définition univoque de l’être humain et de sa nature. Au sens général, on peut décrire l’homme comme un être qui possède la volonté, l’intellect, les sentiments supérieurs, la capacité de travailler et de communiquer. On voit que la conception de l’être humain varie de l'une époque

sanction. Le politique est donc un fait, et un phénomène social très particulier. Parmis tous les faits sociaux qui existent, il est très particuulier, parce qu'il traverse tout le sociaux, le politique est au coeur des organisations des sociétés humaines, donc en cela ce n'est pas un phénomène social comme un autre, et ne peut donc pas être étudié comme les autres faits sociaux. Le politique est un phénomène social très singulier. Cette définition, se retrouve dans la célèbre formule d'Aristote