La Raison S Oppose Aux Préjugés

de penser développer par la raison * Ce n’est pas une mécanique 2° La philosophie donne un nouveau sens aux choses de la vie. *Elle donne une naissance… * Elle nous ouvre des possibilités. Dans ce texte de B.Russell intituler « Problème de philosophie » de 1912, on parle des valeurs de la philosophie, qui n’est pas une chose que l’on à l’habitude de côtoyer mais une chose que l’on développe. L’auteur commence par nous parler de ce qui est opposer à la philosophie, il nous dit :

Peut-on penser sans préjugés ?Le siècle des Lumière est un siècle s’opposant à l’obscurantisme, c’est-à-dire le fait de poser des restrictions dans la diffusion des connaissances, rester dans l’ignorance et les préjugés. Le siècle des Lumière nous a alors habitué à écarter ces préjugés, à considérer que la pensée consiste à les affronter, voire à s’échapper de leur emprise. On peut alors affirmer par évidence dans un premier temps que l’on peut penser sans préjugés. En effet, la pensée, ici

doit être cherchée pour une bonne part dans son incertitude même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, emprisonné dans les préjugés qui lui viennent du sens commun, des croyances habituelles à son temps et à son pays, et des convictions qui se sont développées en lui sans la coopération ni le consentement de sa raison. Pour un tel individu, le monde est sujet à paraître précis, fini, évident ; les objets habituels ne lui posent aucune question et les possibilités non

affirme que les philosophes des Lumières « combattent pour la vérité par le biais des armes que les sciences peuvent fournir à la raison ». Ils usent de toutes sortes de formes et de tons pour éclairer les Hommes ; ils font passer leur message à travers toutes sortes d’écrits en déguisant leurs attaques contre les préjugés et, « prennent pour cri de guerre, la raison, la tolérance et l’humanité ». Nicolas Condorcet fait ici l’éloge du combat des Lumières contre l’obscurantisme. La vérité est une

Gouges s’adresse aux femmes, de manière retentissante, profitant d’un jour nouveau pour les exhorter à combattre pour leurs droits. ▶ Elle réveille les femmes  : « Femme, réveille-toi ; le tocsin de la raison se fait entendre dans tout l’univers ; reconnais tes droits ». - 1er mot de l’extrait : Dans une apostrophe, elle s’adresse à la femme, comme elle s’était adressée aux hommes dans la partie intitulée « Le droit des femmes ». - En apostrophant les

Les facteurs culturels a) Les stéréotypes b) Les préjugés c) Le racisme d) Le sexisme e) L'homophobie IV. Conclusion V. Sources et Annexes I. INTRODUCTION 1.Définition de la discrimination La discrimination au sens large est définie comme étant un traitement inégal et défavorable à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes en raison de différences par rapport à d'autres individus placés dans des

présent de vérité général et par sa faculté de raisonnement, par exemple il utilise le raisonnement hypothétique introduit par « si » et le raisonnement analogique introduit par « comme ». Par son attitude, son aisance et sa faculté d’observé et de raisonné l’Ingénu devient le représentant du philosophe des lumières. → Gordon : Voltaire renverse les rôles en décrivant Gordon de « vieux savant infortuné » et l’Ingénu de « jeunes ignorant ». Les termes « je vous plains » répété par l’Ingénu envers

défauts de l'œuvre: elle est mal composée, souvent ennuyeuse, Rousseau se laisse emporter par son propos. Le principe fondateur de cette éducation est la pureté: l'enfant naît bon, vierge de toute idée fausse, il faut le garder de la contamination des préjugés. Rousseau est dans la vue de l'esprit, loin de toutes les conditions réelles  d'éducation. Emile sera élevé seul, sans enfant de son âge et sans famille. Le sujet de l'éducation tient Rousseau à cœur: il déplore les fantaisies et les aléas de sa

leurs savoirs (comme Protagonas). Les sophistes ne cherchent pas la vérité mais la persuasion. Socrate pousse « ses » experts à la contradiction, et leur montre que le prétendu savoir n’est en fait qu’une opinion, un préjugé. La philosophie selon Socrate consiste à s’arracher à ses préjugés. ------------------------------------------------- Savoir ≠ Croire ------------------------------------------------- Savoir : connaissance rationnellement justifiée -------------------------------------------------

philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. Celui qui n'a aucune teinture de philosophie traverse l'existence, prisonnier de préjugés dérivés du sens commun, des croyances habituelles à son temps ou à son pays et des convictions qui ont grandi en lui sans la coopération ni le consentement de sa raison. Pour un tel individu, le monde tend à devenir défini fini, évident; les objets ordinaires ne font pas naître de questions et les possibilités peu familières sont