La Raison S Oppose Aux Préjugés

Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ? Les notions au programme : La vérité, la raison et le réel, le bonheur. La problématique : Le sujet portait sur un type de vérité particulière : la vérité scientifique, ou plutôt « une » vérité scientifique. Qu’entend-on par « vérité scientifique » ? Toutes les vérités sont-elles scientifiques ? Qu’une vérité puisse être dangereuse peut sembler surprenant. Ce sont plutôt les actions qui sont habituellement considérées comme dangereuses

idées, des opinions que nous entendons autour de nous. D’où la réflexion de DESCARTES : « Nous avons des idées bien avant d’avoir l’usage de notre raison. ». Autrement dit, dans la perspective de DESCARTES, nous avons été enfant avant d’être homme, c'est-à-dire que nous entrons dans le monde avec des idées reçues, toutes faites & le travail de la raison sera de tester toutes ses idées pour « tué l’enfant qui est en l’homme ». Autrement dit, il faut se méfier de nos pensées immédiates ou spontanées

ligne 8 ; « déterminés » ligne 1) : il signifie que les hommes agissent en fonction de modèles pré-déterminées, d’idées pré-conçues, de préjugés dont ils ne sont pas conscients. La qualité à rechercher : la supériorité du philosophe sur les autres hommes réside dans sa faculté de « démêler les causes » (ligne 2-3) de son action : il réfléchit aux raisons qui le font agir, se demande si elles sont bonnes, ne se décide qu’après cet examen de conscience. C’est pourquoi il peut se dire indépendant

Analyse : PREJUGE : idée reçue sans examen préalable (PRAE JUGERE), dogmatisme. PREUVE : opération qui amène l'intelligence d'une matière universellement convaincante à reconnaître la vérité d'une proposition d'abord considérée comme douteuse (lat. : PROBARE : mettre à l'épreuve de la raison) VALOIR CONTRE : « contre » indique l'idée d'une lutte et d'un conflit entre la preuve et le préjugé et « valoir » indique celle du poids de la preuve, la force de celle-ci dans sa lutte contre le préjugé, lutte

difformité de certains êtres, perçus comme des monstres. L’extrait proposé se compose de deux mouvements : la description d’un enfant monstrueux tout d’abord, puis un discours argumentatif à portée plus générale dans lequel Montaigne remet en cause les préjugés communs.  Problématique → Comment Montaigne défend l’humanité des prétendus « monstres » dans ce texte ?  Plan I/ Le spectacle de la monstruosité 1. Le compte rendu d’une expérience personnelle - emploi de la première personne

L'Abenaki - Saint-Lambert: pour quelles raisons a-t-il choisi le conte philosophique pour soutenir ses critiques ? I. La narration et l'interêt du conte philosophique II. Ce texte est implicitement un blâme de la société Introduction : Le texte que nous allons étudier est l’extrait d’un court conte L’Abenaki de Saint Lambert, paru en 1765. Saint Lambert est né en 1716 et mort en 1803, officier, il fut attaché à la cour du roi Stanislas et fit parti de l’académie de Nancy, poète il est l’auteur

Femmes ? → Les questions que nous nous sommes posées : - Les femmes et les hommes sont ils égaux devant la loi? - Est ce que le recrutement est le même pour les hommes et les femmes? - Les hommes et les femmes portent ils des préjugés sur le sexe opposé? - Les parents ont ils les mêmes ambitions pour leurs garçons que pour leurs filles sur le point de vue scolaire? - Est ce que le sport masculin est plus médiatisé que le sport féminin? - La parité existe elle en politique? -

vérité ce qui empêche toute discussion et donc d’examiner leurs arguments. Les conversations entre personnes qui utilisent des préjugés comme arguments lors d’une dispute, mène forcement à des révélations fausses car tout le développement est erroné. Ce fut le cas en -399 avant J-C, lors du procès de Socrate. Où les chefs-d’ accusations furent bases sur de simple préjugés. Ce qui conduit le jury à juger coupable Socrate, malgré son innocence. « La mauvaise foi est l’âme de la discussion. » Nestor

∙ Le constat des inégalités l.7-17 ∙ La revendication des droits, placée sous le signe de la raison l.17 jusqu’à la fin «  Les noces de cana » de Paolo Véronèse

morales et déni de considération. Ici on a tendance a pensée un problème qui n’était pas celui du XVIe et XVIIe, ici on envisage les limites de l’Etat. Limiter les excès de la puissance de l’Etat. Chez Rousseau on reprend l’exemple des animaux, et on oppose les hommes aux animaux. L’animal se maintient en état. Dans le chapitre 8 du Contrat social, cette dimension de la pensée de Rousseau enracine de la façon la plus évidente de la pensée de Rousseau dans les siècles des lumières. Cette définition