La Religion Contre La Modernité

Tocqueville à Foucault- ont réfléchi sur ce sujet majeur de la philosophie du droit. Tocqueville tient les juristes pour les aristocrates des démocraties modernes et, en bon libéral, il estime que le droit doit être l’instrument premier de la lutte contre les abus des pouvoirs étatiques. En revanche, Foucault (en tous les cas le Foucault de "Surveiller et punir") considère que les penseurs libéraux (comme Tocqueville ou Beccaria) sont des « alibis » . Ces derniers masquent la « réalité » du droit dont

formes antiques comme l’ode poème lyrique composé de plusieurs strophes semblables par le nombre et la mesure des vers, l’épopée ou l’hymne ou adaptent des genres plus récents comme le sonnet Enfin la poésie du XVIème est emprunte des guerres de religion entre catholiques et protestants ; elle devient engagée pour en dénoncer les cruautés et les injustices (A d’Aubigné, Les Tragiques) La poésie du XVIIème et du XVIII ème siècle Au XVIIème on distinguera deux mouvements retraçant le passage

rassure. Le problème qui se pose, donc, c’est : « quelle différence avec la Religion ? », vu que celle-là aussi propose une doctrine du salut pour assurer l’être humain. Et aussi, où est-ce qu’on met toutes les philosophies théoriques ou analytiques de certains philosophes, des philosophies spéculatives qui n’ont pas apparemment le but d’une sotériologie ? Par rapport à la première question, concernant la différence avec la religion, l’originalité de la Philosophie, dans sa dimension de doctrine du salut

sphères de la culture et des sciences sociales, cette vision du monde est porteuse d’une profonde critique de la société industrielle. le romantisme est ainsi une » révolte ou une protestation culturelle contre la civilisation capitaliste industrielle occidentale moderne « . Trois dimensions de la modernité sont tout particulièrement dénoncées : la destruction des communautés traditionnelles à travers la promotion d’un individualisme féroce, la marchandisation et la quantification des rapports humains

protestants. Il enseigne en droit et en économie politique. Il mène une activité politique aux USA où il fonde la revue Archiv für Sozial Wissenschaft und Social Politik. Il s’engage dans l’armée pendant la guerre de 1914-18. Après 1918, il s’engage contre l’empereur Guillaume II, l'antisémitisme, l'anti-européanisme et la démagogie, et adhère au parti social-démocrate. Membre de la délégation allemande au traité de Versailles, il participe à l'élaboration de la Constitution de la République de Weimar

Enjeux sociaux et politiques en Asie Chapitre 2 : Les femmes et les enfants en Asie  Ils sont minoritaires mais discriminés malgré la valorisation de la religion  Prix Nobel de la paix à un indien qui se bat contre le travail des enfants et Malala pour l’éducation des femmes et des enfants I/ Asie : des sociétés patricarcals A/ Le poids du patriarcat  L’homme dirige et fondamentalement le père, société misogyne et machiste. Système phallocratique. La femme peut être figure d’autorité

Mardi 5 Février, L’essor d’une modernité s’opposerait à la tradition. On pense forcément à la modernité à une période antérieure, une période passée. Il y a pourtant les restes de la société traditionnelle qui persistent. Qu’est ce qui reste ? Qu’est ce qui n’a pas changé ? Ce qui domine chez les auteurs concernant la modernité, c’est un pessimisme fondamental. [Durkheim] : C’est le sociologue qui a distingué la solidarité mécanique (= société traditionnelle) à la solidarité

LE PRIMITIVISME 24/09/13 période du 20e siècle avant-garde - il y a DES primitivismes → pas un mais une multitudes de primitivismes Pourquoi ce phénomène ? (propre à la Modernité) Vision de Matisse différente de vision de Picasso Les avant-gardes allemands Dessins d'enfant Les avant-gardes russes L'art nègre... Art nègre = représente l'art africain, polynésien, océanien... = l'art primitif → signification ethnologique on lisait les peuples et l'infériorité de ces peuples dans les

que de laïcisation et de rationalisation, de démocratisation et de nationalisation, de bureaucratisation et de "scientification"..., de tous ces processus, générateurs de changements permanents, constitutifs de ce qu’il est convenu d’appeler la modernité. Des sociétés qui ont été perçues, dans la rupture introduite dans la chaîne des temps par la Révolution française et par la révolution industrielle, comme des formes nouvelles (et encore très indécises) de l’organisation économique, sociale, politique

OGOWET Friédrick Année académique 2010-2011 PLAN D’EXPOSE Introduction Générale Définition usuelle et contexte sociopolitique et intellectuel du XVIIIe siècle I/- Les combats des lumières. A- Les traits dominants d’une première modernité. B- Une méthode de pensée renouvelée. II/- La manifestation de l’esprit philosophique. A- L’esprit des lumières, un esprit philosophique. B- Les idées défendues par les philosophes des lumières. Conclusion Bibliographie INTRODUCTION