La Religion Contre La Modernité

fascinée par la culture et la science allemande comme pour Mme de Stael. En 1914, il y a une grande prospérité des finances et de l’économie allemandes grâce à un lien étroit entre les universités et le monde industriel allemand. Importance de la religion avec le piétisme de Philippe-Jacques Spener (luthérien) qui créa « collegiae pietatis » où on étudie la Bible sans les dogmes mais vers un accomplissement du progrès qui se traduit par + on pousse la science et + on trouve la connaissance de Dieu

chargé de montrer le chemin au peuple, parce qu'il a la faculté exceptionnelle de bien observer les êtres et les choses, d'analyser leur essence, de pressentir ce que pourrait être l'avenir. Lamartine et Hugo orientent la poésie vers la voie de la modernité, et lui donnent pour mission ambitieuse celle de la "totalité": "tout est sujet, tout relève de l'art, tout a droit de cité en poésie"(préface des Orientales). Diderot à dit : « Ce qui caractérise le philosophe et le distingue du vulgaire, c’est

À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes 5 La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et toi que les fenêtres observent la honte te retient 10 D'entrer dans

référence ultime de se siècle. 1881 Emile Zola écrit: « Victor Hugo est devenu une religion en littérature » Baudelaire fait des choix esthétique contraire au style de Victor Hugo. Il joue la carte de la modernité. Il écrit de façon obscure, marginal et n'a jamais écrit en pensant à sa gloire. 1.3 Rupture Esthétique Baudelaire est mal dans son époque, il n'aime pas les temps modernes. Tout joue contre lui : la pauvreté absolue --> son théâtre est trop scandaleux = gagne pas d'argent

je suis Dieu. " Mais qu'en est-il aujourd'hui? Une quête philosophique est-elle impossible quand la Religion s'en mêle? C'est pour tenter d'avoir réponse à ces questions que j'ai choisi de critiquer la citation suivante: "La foi prétend nous sauver, la philosophie nous ouvre le chemin pour nous sauver nous-mêmes. Il n'y a donc jamais de place à l'une là où il y a l'autre. Quand la religion avance, la raison recule". (Hamid Zanaz) Avant de tenter de comprendre le sens de ces phrases, je me

moi le narrateur défend la morale au sens strict, idéal et non pragmatique. Ils discutent tout deux afin de savoir quel est le citoyen idéal 7) Ce que j’ai apprécié dans cette œuvre, ce sont les conclusions de Diderot, lorsqu’il montre que la religion a un discours moralisateur fondé sur les dogmes désignant la nature vicieuse de l’homme. Celui-ci ne peut que s’en expier et non s’en échapper Ce que je n’ai pas aimé : le personnage du neveu, il revendique le vice et le traduit par le mal. Il

rapport au cours de l'existence, et écrasé par le poids des empires. Pendant cette même période, les religion gnostiques se développent, c'est à dire des religions basées sur des formes de conceptions moral de la vie, ces conceptions réponde à se sentiment d'isolement, en affirmant que le monde est hostile à l'Homme, et que l'Homme se sent comme étranger dans ce monde là, de sorte que ces religion gnostiques vont développer des comportements particuliers de la part des individus par rapport au Monde

sociologique, il faut se demander en quoi la société a produit l’individu. Cela renvoie à un débat fondateur de la sociologie et d’abord à la distinction de F. Tönnies entre « communauté » et « société ». Cette réflexion est prolongée par une étude sur la modernité et le processus d’individualisation. - d’autre part, d’un point de vue épistémologique et méthodologique, il convient de s’interroger sur le débat holisme méthodologique/individualisme méthodologique. Pour comprendre les sociétés faut-il partir

et ses rythmes. Une approche de la religion est priorisée ce qui amènerait à une confrontation des conceptions de certains auteurs tels que l’Ethnologue Français METRAUX Alfred, MICHEL Claudine, et de certains classique sociologique de la religion tel que Marx qui conçoit la religion comme l’opium du peuple. Celui de Weber qui analyse la manifestation religieuse par son éthique à travers les sociétés dit capitaliste. Enfin, la pensée de Durkheim sur la religion, lui il analyse les dimensions, les

pose : qu’est-ce donc que la philosophie ? De quel savoir s’agit-il ?    Son étymologie nous dit déjà ce qu'elle n'est pas. L'amour du savoir indique tout d'abord que nous ne l'avons pas, le savoir, c'est-à-dire qu'en tant que recherche nous sommes contre et au-delà de l'opinion.    En reprenant et unifiant ce qui a été dégagé, on peut dire que la philosophie a à rendre compte de ce qui est dans la perspective de la totalité dans un discours vrai et universel, absolument cohérent. La science et la  philosophie