La Religion Est Elle Utile à La Société

Vous ne voyez dans mon exposé que la religion naturelle : il est bien étrange qu'il en faille une autre. Par où connaîtrai-je cette nécessité ? De quoi puis-je être coupable en servant Dieu selon les lumières qu'il donne à mon esprit et selon les sentiments qu'il inspire à mon coeur ? Quelle pureté de morale, quel dogme utile à l'homme et honorable à son auteur puis-je tirer d'une doctrine positive, que je ne puisse tirer sans elle du bon usage de mes facultés ? Montrez-moi ce qu'on peut ajouter

Le malaise dans la culture, Freud Chapitre 1 = notion de soi / sentiment religieux @Les sentiments ne sont soumis ni a une expérimentation ni a une élaboration scientifique => exemple de la religion. @Le seul sentiment assuré est celui de notre soi propre. Notre moi est donc ce qui reste après avoir exclus le monde extérieur (a priori source d'objets, d'événement désagréables). @Le sentiment de soi de l'adulte passe par un développement Les phases antérieures du développement ne sont

Religions et habitudes alimentaires L’Homme, depuis son avènement sur la Terre, a pratiquement sélectionné l’aliment qui lui a été utile pour sa survie. Il a mis également du temps à adapter certains aliments et à rendre domestique ce qui était naturel. Plus tard, en fonction de sa culture et /ou de sa tradition, il a réglementé selon des catégories : l’aliment nécessaire, agréable, utile voire mauvais. En établissant des règles strictes de codification sur la façon de se nourrir, de manger, de

! si i i a i} Mayada El allam / TG10 Explication de texte Dans la tradition chrétienne occidentale, il est de coutumes de cautionner le travail plutôt que la paresse, ainsi perçue comme pêché. Or, puisque le christianisme a diffuser massivement ses idées à travers le monde depuis le moyen âge ; idées dans lesquelles l’idéologie d’un culte du travail salvateur et vertueux au profit de notre société est un principe indubitablement valorisé, il est naturel de penser que nous ayons hérité de

CITATIONS MARXIENNES, c’est-à-dire relatives à la pensée de Marx et non des courants qui s’en réclament, dits marxistes Près de la moitié du monde au 20ème siècle a vécu sous l’hégémonie de régimes politiques quoi se réclamaient de la pensée de Marx. Qu’en aurait-il pensé? Dès son vivant, Marx se dissociait de mouvement se réclamant de sa pensée: «Ce qu'il y a de certain, c'est que moi je ne suis pas marxiste.» «Notre époque, l’époque de la bourgeoisie, se distingue par la simplification des

de nouvelles théories très utiles à l’humanité, mais aussi à la connaissance du monde qui nous entoure. D’un autre côté, on ne peut pas négliger la place que tient, et qu’a toujours tenue, la religion dans nos sociétés au fil du temps. Celle-ci n’a pas pour autant toujours susciter l’approbation du tout individu, et a engendré maintes questionnements et réflexions sur le sujet. En effet, la science a toujours voulu résoudre ce mystère qu’est la religion. Pourquoi tant de populations y adhèrent

contestation et de la revendication ? Au XVIIIème siècle, une vague d’idées nouvelles apparut en France. Influencés notamment par le modèle parlementaire anglais, les intellectuels, les philosophes et les écrivains souhaitaient faire évoluer la société en instruisant et en « éclairant » les couches profondes de la population. C’est pourquoi on parle pour désigner cette époque de «  siècle des Lumières ». Les grands philosophes des Lumières furent Voltaire, Montesquieu, Diderot, D’Alembert, Dumarsais

Ces quatre textes portent un regard critique sur la société. Ainsi les textes de Zola et d’Hugo mettent en avant d’une part la pénibilité des conditions de travail (les premiers ouvriers dans les mines) ; d’autre part les inégalités des conditions entre les riches et les pauvres au sein d’un régime monarchique absolu annonçant la révolution française. Le point de vue des auteurs est ici omniscient chez Zola et nous donne une idée très précise à travers les nombreuses descriptions des mines. Chez

conte est une forme d’écriture qui attire tout le monde quel que soit son âge, ses origines, sa culture. Il est là pour exprimer une ou plusieurs idées. Mais quel intérêt présente la forme du conte dans le combat des idées ou dans la critique de la société ? Nous verrons tout d’abord le côté distrayant du conte, puis en second lieu, nous étudierons le caractère merveilleux qui peut éviter la censure. Enfin, nous aborderons le message que le conte doit transmettre. Etudions le côté amusant et interactif

lumière; à droite, la Raison et la Philosophie lui arrachent son voile (peint par Charles Nicolas Cochin et gravé par Benoît-Louis Prévost en 1772 (Frontispice entier) Jules Michelet écrit : « l’Encyclopédie, livre puissant, quoi qu’on ait dit, qui fut bien plus qu’un livre, — la conspiration victorieuse de l’esprit humain[2]. » En ce siècle des Lumières, l’évolution de la pensée est liée à l’évolution des mœurs. Les récits de voyages - celui de Bougainville, par exemple - incitent à la comparaison