La Religion Peut Elle Fonder La Morale

ayant le plus marqué la civilisation chinoise et toutes les civilisations d'Asie de l'Est  est considéré comme le premier « éducateur » de la Chine.  Son enseignement a donné naissance au confucianisme,  doctrine politique et sociale érigée en religion d'État dès la dynastie Han  qui ne fut officiellement bannie qu'au début du XXe siècle avec une résurgence en 1973.  Il est généralement appelé Kǒngzǐ ou Kǒng Fūzǐ par les Chinois, ce qui signifie « Maître Kong » et qui a été latinisé en

c’est la personne individuelle ou collective à laquelle appartienne en droit le pouvoir (le sujet ne se restreint pas à cette définition en philosophie politique). Si c’est l’obéissance qui définit un sujet cela veut dire qu’il y a des choses qu’il ne peut pas faire. Le tyran, lui, exerce ses pouvoirs sans limites et les sujets n’ont donc aucune liberté de droit. En démocratie, un sujet obéit à lui-même dans la mesure que le peuple est souverain. Qu’est-ce-qui distingue un Souverain, d’un tyran, une

D’abord parque là il n’y a rien de propre à la philosophie vu qu’en théorie toutes disciplines pour être bien faites implique une forme de réflexion, d’esprit critique, d’autonomie intellectuelle. Qu’il soit pour un mathématicien, un journaliste, etc. On peut du coup considérer la philosophie comme étant plutôt une tentative pour aider les hommes à « accéder à la vie bonne », libérer les hommes des peurs, des « passions tristes » (Spinoza), tout ce qui nous empêche d’être heureux, libres et sereins. Voilà

mauvais philosophe (« Méchant »)… Lorsque ses raisonnements sont reproduits, « tu » se montre pour ce qu’il est. Le persécuteur tient d’horribles propos. C) Un dictionnaire philosophique ? Dom Calmet a dit « Nous vivons dans un siècle que l’on peut appeler le siècle des dictionnaires. » Voltaire a été sensible à cette vogue et plus particulièrement à celle du portatif qui répond à ses exigences de vulgarisation. Le portatif représente un espace de liberté à l’intérieur de la contrainte de l’écrit

valeurs, le couple, la famille, la profession, l’économie, la religion, rien ne va plus de soi, comme si l’Histoire avait tout bousculé sur son passage, anéantissant les absolus et empêchant toute certitude. Le problématique étant partout, il est temps de le problématiser à son tour. L’énigmaticité du Beau, que traduit l’art, et pas seulement l’art contemporain, rejoint celle du Bien et de la morale, pour englober toute réalité. Mais au fond qu’est-ce que la réalité ? Les sciences n’ont jamais connu

valeurs et des morales III L’éthique nietzschéenne : par-delà bien et mal La sagesse tragique L'éternel retour Le surhomme Nietzsche et le nazisme Citations Textes Résumé La vie, c’est-à-dire la volonté de puissance, est la source de toute évaluation. Par conséquent la valeur de chaque chose est déterminée par son rapport à la puissance. Est bon ce qui est puissant, ce qui accroît ma puissance. L’art (le beau), la connaissance (le vrai) et même la morale et la religion (le bien) peuvent

et ceci de manière fondée. On peut toutefois donner un autre sens à la question posée : « qui » (ou : quelle instance, quel sujet ?) possède l’autorité qui lui permet (l’« autorise ») à me dire « tu dois » ? Ou, plus précisément encore : comment fonder l’autorité du sujet ou de l’instance qui dit « tu dois » ? On remarque encore que le tutoiement suggère une proximité, notamment affective (le fisc, la police ou le patron, n’a pas à me dire « tu »). Enfin, on peut examiner une interprétation non

sur la bêtise de la bonne femme, met en avant les caractéristiques de piété, et de ferveur religieuse en vogue à l’époque. o On peut faire ici une analogie avec les mouvements religieux de l’époque et la volonté, par un certain nombre d’intellectuel et de religieux de l’époque, d'un retour aux sources du christianisme et d'un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. o En particulier, avec l'essor de l'imprimerie, les principes, purement humaniste, de faire

comme si mon existence était figée en une essence. De « pour-soi » je deviens « en-soi », il nie en moi toute capacite de changement, ainsi que tout pouvoir sur moi-même puisque je suis réduit à n’exister que sous le regarde de l’autre. 4) Pourquoi peut-on dire que Michel Foucault élabore une critique du système judiciaire ? 5) Dans quelle mesure la rencontre des consciences illustre une réflexion sur la question « qui suis-je », ainsi que sur la question du désir de reconnaissance ? 6) Qu’est

I) De l’ordre moral au triomphe de la république A) Les premières années voient la confirmation du pouvoir de l’Église catholique 1) « Le réveil du christianisme » L’Église, après l’épisode de la révolution a réussi à reconquérir progressivement son influence sur la société Française grâce aux missions intérieures et aux congrégations (jésuites). En 1870 la population est donc fortement marquée par le catholicisme. Le temps est rythmée par la temporalité religieuse qui marque