La Rente Ricardo

Il est l'auteur d'un seul ouvrage, écrit en français vers 1730, Essais sur la nature du commerce en général; on pense qu'il a été écrit en 1730 mais la publication est posthume en 1755. Lui aussi formule une théorie de la valeur, mais aussi de la rente, du profit... On trouve aussi une analyse monétaire et une esquisse du circuit économique. Il reprend l'idée de PETTY sur l'idée de valeur: dépend de la valeur du travail et de la terre. On pourrait déterminer la valeur à partir de la quantité de travail

grande influence sur le développement ultérieur de la sociologie. Ses œuvres principales sont le Manifeste du Parti communiste et Le Capital. Marx est influencé dans ses écrits par de grands philosophes ou économistes tels que Rousseau, Kant, Smith ou Ricardo ; et il influença à son tour, d’autres grands noms de l’histoire tels que Lénine, Engels ou Guevara. Au cours de notre développement sur la pensée marxiste, nous allons mettre en avant les idées de Marx sur l’exploitation et la plus-value ; thèmes

SI résidents + taxe sur VA + droits de douane. 1976 en France : Système Elargi de Comptabilité Nationale (SECN) => P non-marchande intégrée dans PIB. La majorité des classiques pensaient que les S n’étaient pas capables de créer de la VA (Smith, Ricardo mais aussi Marx). Fin XXe : les S surtout non-marchands reconnus comme source de valeur et intégrés dans la mesure de la P. PIB (critère de la territorialité) ≠ PNB (critère de la nationalité) 2 La critique du PIB comme indicateur de bien-être

défaire. Ils ont donc des effets pervers. En outre, il ne faut pas réduire les inégalités puisqu’elles sont sources de croissance. En effet elle la stimule. Elle incite l’individu classé en bas de l’échelle à s’affranchir de sa position. David Ricardo dans Des Principes de l’économie politique et de l’impôt Les capitalistes accumulent les profits qu'ils perçoivent. Plus ils accumulent, plus ils sont incité à embaucher des gens pour les utiliser - Cette accumulation suppose une augmentation du

de l’action opérée par des entrepreneurs, qui possèdent un état d’esprit nécessaire à la mise en œuvre d’innovations 4) L’innovation est à la base d’un processus de destruction créatrice 5) Les entrepreneurs recherchent par l’innovation une rente de monopole, car l’innovation entraîne une hétérogénéité des produits, à la base d’une situation de concurrence imparfaite 6) Le capitalisme à terme va disparaître car la figure de l’entrepreneur va peu à peu disparaître Prolongements contemporains

est de nouveau un pays pauvre. Le verrou agricole >La loi de Malthus * Naissance de l’économie classique à la fin du XVIIIème siècle * Précurseurs de la théorie pour savoir si l’homme est source de richesse ou la terre : Adam Smith et David Ricardo * Vision de Malthus : « Quels que soient les progrès réalisés par les civilisations humaines, le revenu/habitant ne peut pas progresser » La population augmente plus vite que le revenu. * Gregory Clark > des inégalités face à la production agricole

philosophie. Il débute par une activité de journaliste dans la"Gazette rhénane". Il se trouve au carrefour de la philosophie allemande (Hegel, Feuerbach), du socialisme utopique français (Saint-Simon, Fourier) et de l'économie politique britannique(Smith, Ricardo). Sa doctrine philosophique part de l'homme comme être agissant et non comme être pensant. Il critique la religion et l’État, qui sont des réalisations imaginaires, et substitue la conscience humaine à la conscience divine. Karl Marx développe une

- § 5. Coût de reproduction. - § 6. Objet des chapitres suivants du livre V, chapitres dont quelques-uns peuvent être provisoirement laissés de côté. Chapitre VIII : Rente ou revenu fourni par un instrument de production non créé par l'homme, dans ses rapports avec la valeur du produit §§ 1-3. La théorie d'après laquelle la rente ne fait pas partie du coût de production contient une vérité importante ; mais elle doit être interprétée dans un sens un peu étroit et elle a besoin d'être présentée d'une

chose que l’on voit apparaître avec le développement de ce qu’on appelait les lumières françaises, et un auteur, un économiste français du 19ème siècle, Jean Baptiste SAY, dont on considère qu’il est le classique français, c’est-à-dire l’homologue de Ricardo et Smith. SAY a publié dans les années 1820 1826, un cours complet d’économie politique pratique supposé constituer la base d’un enseignement qu’il dispensait au conservatoire d’histoire des Arts et Métiers. A la fin de ce cours, SAY avait un long

quantité de travail qu'une denrée (...) met en état d'acheter ou de commander". Pour Smith, cette quantité de travail est la seule mesure invariable du prix réel des marchandises, ce qui a été contesté par David Ricardo. Cette valeur est aussi égale au taux naturel du profit, de la rente et du salaire. Le prix de marché n'est donc pas nécessairement égal au prix naturel, mais ne peut durablement s'en écarter que si l'information est très opaque sur le marché, que les ressources sont très rares ou