La Representation Du Surnaturel Au Theatre

comédiens-auteurs l’avaient repris, Dorimond, chef de la troupe de Mademoiselle, à Lyon en 1658 puis à Paris en 1661, et Villiers, à l’Hôtel de Bourgogne, en 1660 avec le même titre, le Festin de pierre ou le Fils criminel. La pièce va subir, dès sa deuxième représentation une attaque en règle. On demandera à Molière de supprimer certaines scènes (scène du pauvre) et certaines répliques (mes gages, mes gages) qui semblaient tourner en dérision la religion. Elle ne sera éditée qu'en 1682 dans des versions souvent

Quatrième partie: Incendie de Sarwane. 4 3 Où commence cette histoire? 5 4 Présence et présent au théâtre 11 5 Conclusion 14 6 Bibliographie 15 6.1 Bibliographie de l'auteur 15 6.2 Bibliographie critique et générale 16 1 Introduction Comédien, auteur, metteur en scène, cofondateur du théâtre Ô Parleur, Wadji Mouawad est l'un des noms les plus importants du théâtre contemporain. Né au Liban, d'où il est parti à l'âge de huit ans pour fuir la guerre, il a gardé un rapport

la pluie de Balzac dans Ferragus). Les romantiques présentent un besoin d’évasion ce qui les pousse à s’intéresser à d’autres lieux comme l’Orient ainsi qu’à d’autres époques comme le Moyen-âge. L’imagination est attirée par ce qu’on appelle le surnaturel et le fantastique, comme en témoigne les contes de Charles Nodier, Théophile Gautier. De la même façon, on s’intéresse aux rêves et à la folie (Aurélia, 1855) □ Le mythe de l’artiste La création, fruit d’une inspiration, est considérablement

Roland Dorgelès qui se souvient d’un vers d’un poète (Albert Samain) qui vient un instant permettre au personnage de Gilbert de se libérer de l’enfer. Chez Henri Massis scène assez étonnante où il trouve des livres dans une fausse et c’est la pièce de théâtre FANTASIO de Musset => lien avec le monde humain Dans cette optique : Paul Cazin L’Humaniste à la guerre texte publié en 1920, livre de témoignage d’un homme de culture classique qui n’a pas été remise en cause par la réalité de la guerre et au contraire

assister aux représentations comme tous les autres habitants de la cité. Aller au théâtre pendant la Grèce Antique était un devoir civique. La particularité du théâtre tragique est qu’il représentait les tensions et les contradictions qui composaient la cité. La tragédie n’est pas qu’une forme d’art, elle est aussi une institution sociale dans la société Grec Antique. D’après Jean-Pierre Vernant, dans la tragédie : « la cité se fait théâtre », « Elle se prend comme objet de représentation » devant le

fantastique merveilleux » (Véra) et au « fantastique pur » (L’Intersigne). Cette progression permet de repérer le degré d’incertitude quant aux explications des phénomènes étranges mis en œuvre par le récit : explication logique, plutôt logique, plutôt surnaturelle, totalement hésitante. Nous réserverons Fleurs de ténèbres pour un prolongement à l’étude de Véra. Ce texte s’apparente davantage à un petit poème en prose qu’à un récit fantastique mais il développe les mêmes thématiques de l’amour et de la mort

vue est externe, objectif par le jeu de la généralisation (« un homme d’imagination », p. 23 ; « un observateur », « un avoué », « un médecin, un auteur, un magistrat »). Cependant, les comparaisons à un Rembrandt, l’utilisation des adjectifs « surnaturel » et « mystérieux » (p. 23), des expressions « cet effet bizarre » et « un je ne sais quoi » (p. 24) traduisent la pensée du narrateur (point de vue omniscient). Puis, le point de vue adopté semble redevenir interne, avec la désignation « l’inconnu »

marquer les contradictions; les hyperboles pour révéler les états émotionnels. Le lyrisme n'est réservé ni à un genre particulier, ni à une époque: si l'on parle de poésie lyrique au Moyen Âge, au XVIe et au XIX° siècle, ce registre figure aussi au théâtre, dans les romans, dans l'écriture autobiographique. On parle de lyrisme quand il est question de l'expression des sentiments humains, souvent en lien avec les grands thèmes que sont l'amour, la mort, le temps, l'enfance, la mémoire, le bonheur, le

romantique Le romantisme a tenté de très bonne heure de triompher au théâtre. Il a voulu s’emparer de la scène au nom de la liberté et de la vérité et surpasser la tragédie classique en naturel, en profondeur philosophique et en poésie. Le drame romantique a subi l’influence du mélodrame, du théâtre historique et des littératures étrangères. Il a emprunté au mélodrame les intrigues ténébreuses et compliquées, les coups de théâtre, le style emphatique favorable à la déclamation. Le mélodrame agit violemment

en valeur la composition très orthogonale des illustrations, ainsi que le travail de perspective qui rappelle évidemment les peintures du début de la Renaissance, ce qui, d’après moi, n’est pas innocent : il ne s’agit pas dans cet album d’une représentation du Moyen Âge, mais d’une époque indéfinie (comme le veut la tradition arthurienne) ; cependant elle n’est pas dénuée de détails réalistes, ce qui la rend vraisemblable, cohérente. Un exemple de mise en page compartimentée avec un cartouche, semblable