La Représentation Des Géants Au Moyen Age Leur Symbolique

décrivant longuement un objet du quotidien, familier aux classes populaires qui viennent se détendre après le travail. Mais 320 9782210104761_EL_2de_.indb 320 03/07/15 15:50 Partie III – Outils d’analyse l’alambic possède aussi une fonction symbolique : ressemblant à un monstre des enfers (« cuivre rouge », « mine sombre », « ronflement souterrain », « travailleur morne, puissant et muet », « sourdement »), à un labyrinthe (« ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux »)

scientifique américain, présente sa conception du stéréotype dans l’oeuvre publiée en 1975 Is semantics possible ? et la développe dans l’esquisse The meaning of the meaning. Il ne définit pas les stéréotypes méchants mais se concentre sur les réprésentations d’objets tels que citron ou tigre ; selon lui, le stéréotype est une image conventionnelle et souvent imprécise d’un X. Dans chaque communauté linguistique, il n’existe qu’un stéréotype d’un objet donné (par exemple le citron est acide et jaune)

littérature à partir de la Renaissance, et combien les auteurs varient les modes de sa représentation. Au XVIIIe siècle, Voltaire reprend cette réflexion dans une mise en scène originale : celle du conte philosophique, dont nous verrons les principales caractéristiques. L’auteur livre ainsi, avec Micromégas, une œuvre fantaisiste, brève et cependant riche, propre à renouveler la mise en scène de l’altérité. Micromégas, géant dont le nom signale la grandeur (mégas) en même temps que la petitesse (micro),

Gréco-latineb) Autresc) Bilan: similitudes et différences des différents mythes.B/ La sirène dans la Renaissancea) La sirène d’Ambroise ¨Paréb) La sirène: une maladie génétique?II- Le mythe de la sirène symbolique à travers quelques documents.A/ Le symbole de la sirène, en particulier au Moyen-Age: un monstre séduisant?B/ Une redécouverte du mythe de la sirène avec Hans Christian Andersen et les productions Disney: a) La petite sirène d'Andersen b) Le film « La petite sirène » c) Bilan: similitudes

Séance 2 : Objectif : montrer deux risques de l’autoportrait : la complaisance et la platitude Dominante : lecture Support : Jean-Jacques vu par Rousseau, Je est un autre, Sartre Lecture de deux textes Contexte de l’écriture Rousseau : âgé de 50 ans Sartre : texte tiré de son premier roman, publié à 33 ans. Il présente de nombreuses coïncidences entre le personnage et l’auteur. Etude des textes : Quelles informations sont livrées et dans quel ordre ? Fonction de chaque autoportrait 

(Cf. John Aubrey, biographie de 1681), et il est apprécié comme tel. Il fait partie d’une troupe d’acteurs permanents (la Troupe du Chambellan qui devient troupe des Serviteurs du Roi sous J. 1er), qui vivent d’une partie de la recette des représentations données. - Les manuscrits rapportent peu, d’où le peu d’intérêt de se faire éditer (12 pièces uniquement). L’absence de droits d’auteur a contribué au piratage de ses oeuvres, certaines volées et d’autres modifiées pour édition - Son oeuvre

philosophique semble ne pas parvenir à départager les thèses. Le témoignage de la conscience, ou de la « science innée que nous avons en nous », auquel en appelle le Conventionnel, ne saurait contredire aux arguments renouvelés de la preuve ontologique au moyen desquels il entreprend, curieusement, d' « établir » Dieu à l'intention de son contradicteur 47. Le fait est que tous deux ont beau accumuler les exempla, ceux-ci ne font pas vraiment preuve dans cette disputatio pro et contra in modo et figura

d’analyser les interactions entre mythe et littérature. Nous aurons tout d’abord une approche synthétique : aspects théoriques, définitions du mythe littéraire, modalités selon lesquelles les écrivains réinvestissent les mythes, typologies, enjeux symboliques des principaux mythes, outils et méthodes d'approche. Puis nous envisagerons de façon plus précise la construction littéraire du mythe de Faust, à travers quelques textes essentiels, de la Renaissance luthérienne jusqu'à Goethe. L’objectif est également

cas, d’un sujet s’exprimant au moyen d’une langue : cette activité s’appuie sur le fonctionnement psychique, interne, rendu possible grâce à l’activité neuronale cérébrale. L’activité langagière se distingue des produits langagiers qui en constituent les facettes audibles, visibles, lisibles. Le langage est en étroite relation avec l’esprit, la pensée, l’intelligence, les représentations mentales ; le sujet parlant (écoutant, écrivant, lisant) est dès le plus jeune âge un être singulier, impliqué dans

cas, d’un sujet s’exprimant au moyen d’une langue : cette activité s’appuie sur le fonctionnement psychique, interne, rendu possible grâce à l’activité neuronale cérébrale. L’activité langagière se distingue des produits langagiers qui en constituent les facettes audibles, visibles, lisibles. Le langage est en étroite relation avec l’esprit, la pensée, l’intelligence, les représentations mentales ; le sujet parlant (écoutant, écrivant, lisant) est dès le plus jeune âge un être singulier, impliqué dans