La Richesse Chez Les Physiocrates

Comme le montre R. Castel, le terme n’est pas dépourvu de sens au XVIIIe siècle, avant le débat sur les droits sociaux dans les années 1830 (Les métamorphoses de la question sociale, Paris, Fayard, 1995). 2 Cf. J. Mathiot, « Politique et économie chez Jean-Jacques Rousseau », in Rousseau anticipateurretardataire, Presses de l’Université de Laval, L’Harmattan, 2000, p. 19-39 ; A. Eyssidieux-Vaissermann, « Rousseau et la science de l’économie politique dans L’Encyclopédie », Kairos, n° 18, 2001, p

les esclaves sont chargés de l’entretien de la vie. C’est cette classe qui supporte l’asservissement à la nécessité pour toute la collectivité et qui permet aux autres d’être libres. Le travail n’est en aucun cas synonyme d’épanouissement personnel. Chez Aristote, même l’artisan ne mérite pas d’être citoyen, car son corps est « déformé » par le contact avec les choses purement et exclusivement tournées vers la satisfaction des besoins matériels. Les artisans sont des gens dont l’intérêt principal est

politique (révolution française)). Des idéaux qui vont mener à la guerre et que Hegel va voir. Hegel sur les principes de la philosophie du droit nous parle de Smith, Ricardo, Say. Il nous parle des machines, de la pauvreté, de la richesse et dit que les inégalités de richesses sont dues aux transformations économiques. Kant s’est penché sur l’histoire de l’espèce humaine, il pose un : • 1er principe : L’unité de l’espèce humaine. Quand on écrit l’histoire, il faut essayer de trouver l’histoire

obligatoire (une des caractéristiques de l’impôt) qui ne laisse pas le temps aux victimes de reconstituer leur patrimoine par la suite. Cela est stupide car il est alors impossible aux victimes de créer de nouvelles richesses. Il n’est plus possible dans ce cas de reconstituer des richesses économiques, et les pillards, en s’accaparant la totalité des biens de leurs victimes, ne leur laissent plus aucune possibilité de produire de nouveaux biens ni même de survivre dans certains cas. Autrement dit, ils

possibles d’un libéralisme qui semblait pourtant plein de promesses, tant économiques que sociales. Avec l’industrialisation, a effectivement lieu la « montée d’une société en poussière », c’est à dire l’émergence d’une classe aristocratique à la richesse inédite d’une part et d’une classe disparate à la pauvreté tout aussi inédite d’autre part, classes qu’aucun lien social ne semble relier tant les écarts qui les séparent sont profonds. C’est la recherche de ce lien social qui va caractériser,

disparition, Aubier, 1995; Yves SCHWARTZ, Travail et philosophique. Convocations mutuelles, Octarès, Toulouse, 1992; Annie JACOB, Hélène VÉRIN (dir.), L’inscription sociale du marché, L’Harmattan 1995, p. 48 2 BOIGUILBERT, Dissertation sur la nature des richesses..., Eugène Daire éd., [1843], 1966, Gallica, p. 400 et 405. Les textes des économistes du XVIIIe siècle ont été étudiés à partir de l'édition électronique disonible sur site Gallica de la Bibliothèque Nationale de France, à l'exception du texte de

parmi d’autres d’organisation des échanges, à l’économie de marché, dans laquelle la régulation marchande joue un rôle central. Et de l’économie de marché on est passé au capitalisme, c’est à dire à un système social où le travail (la force de travail chez Marx) devient une marchandise. Cependant, le développement même des relations marchandes et de la logique capitaliste fait apparaître progressivement, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, que le marché autorégulateur est dans une impasse

obligatoire (une des caractéristiques de l’impôt) qui ne laisse pas le temps aux victimes de reconstituer leur patrimoine par la suite. Cela est stupide car il est alors impossible aux victimes de créer de nouvelles richesses. Il n’est plus possible dans ce cas de reconstituer des richesses économiques, et les pillards, en s’accaparant la totalité des biens de leurs victimes, ne leur laissent plus aucune possibilité de produire de nouveaux biens ni même de survivre dans certains cas. Autrement dit, ils

Chapitre 2 : Les principaux courants en économie Idées de Lois Naturelles La Main Invisible (Adam Smith [1723-1790]) : La recherche de l’intérêt individuel conduit au bien-être général. Pour Smith, l’échange marchand est naturel chez les hommes et à toujours existé. David Ricardo [1772-1823] Lois en Economie ⇨ Existence d’un ordre relativement naturel. ⇨ « Laissez Faire, Laissez Passer » ⇨ Le marché concurrentiel remplace alors l’Etat

leurs système de régulation. Flux réels correspondent a la circulation des biens et services entre agents ecoq° résidents et non résidents et les flux financières ou monétaires représentent la contre partie des flux réels dans la circulation des richesses entre agents ecoq° ainsi que des divers placements financiers. Remarque : les échanges internationaux de Marchés se comptabilisent dans la balance des paiements mais elle comprend plusieurs parties surtout en opérations courante et plus précisément