La Robotisation

qui a permit à la révolution agricole de commencer à prendre son véritable essor aux alentours du XVIIème siècle. Depuis cette époque, l’agriculture n’a pas cessé de connaître des changements, avec par exemple l’apparition du tracteur ou de la robotisation, ce qui fait dire à certains auteurs, tel Daniel Faucher, que la révolution agricole n’est pas encore terminée. Le terme « révolution agricole » serait donc quelque peu galvaudé puisqu’il s’agirai en fait plutôt d’une évolution.

Taux de croissance Doc 1 + Parag.;B1 p 152 ……………………………… ………………………………. Causes. Doc p 320 Questions 1&2 Doc 2 p 321 Conséquences . Doc 2 p 159 Doc 3 p 153 Doc 4 p 153 Transparent montrant le travail à la chaîne et la robotisation De 1945 à 1973 , les pays industriels ont une forte croissance annuelle de 5% , c'est la période des Trente Glorieuses ( Jean Fourastié ) . Cette croissance s'explique par la transformation du travail qui permet de produire plus et moins

l’emploi, donc sur la croissance 1/ Les innovations de procédé peuvent avoir un effet négatif sur l'emploi car elles augmentent la productivité du travail. Autrement dit, elles permettent de produire autant avec moins de personnel. Ainsi la robotisation dans l'industrie automobile a conduit à des vagues massives de licenciements au cours des années 80. Même les innovations de produit peuvent aboutir à la suppression d'emplois. Ainsi la généralisation des machines à laver a fait reculer le nombre

qui le caractérisent . Les échecs du tayloro-fordisme ont conduit partout à l’adoption de NFOT. Les succès de Toyota, qui les a très tôt mis en œuvre, ont amené certains à parler de toyotisme . ➢ Flexibilité des machines et des hommes, robotisation et polyvalence multifonctionnelle , mobilisation des salariés par l’enrichissement des tâches, un travail plus autonome ; de petits collectifs de travail et une participation au sein de groupes de discussion : ces NFOT ont parfois été caractérisées

vacances. b. Une fin de période marquée par le développement du chômage structurel Comme dans d'autres pays anciennement industrialisés, la France subit à partir du milieu des années 1970 les conséquences de la modernisation économique, qui, par la robotisation, a pour effet de diminuer les besoins en main d'œuvre, de la concurrence étrangère dans le cadre d’une mondialisation qui s’affirme, ainsi que d'un contexte de crise. Les créations d'emplois ne suffisent pas à pallier les licenciements massifs

active diminue entre 1962 et 1975. 2. La crise industrielle à partir du milieu des années 1970 a entraîné des restructurations : d’abord fermetures d’usines non rentables dans les industries traditionnelles comme la sidérurgie, le textile…, puis robotisation et enfin délocalisations dans les pays à bas salaires. Cela a fait disparaître de nombreux emplois d’ouvriers non qualifiés. B-Voyons d’autre part les causes de la disparition de la classe ouvrière mises en avant par certains sociologues.(TP5)

depuis les effectifs ne cessent de reculer. Celui-ci est en crise en raison de nombreux facteurs: la tertiarisation, la concurrence car la mondialisation multiplie les pays concurrents, où il existe une main-d'œuvre souvent meilleur marché, et la robotisation (le toyotisme) qui diminue le nombre d'ouvriers et les délocalisations entraînent des licenciements et provoquent de grandes grèves. Ces phénomènes divisent les ouvriers et aboutissent à un malaise profond, avec une perte de dynamisme de l’activité

industriel au niveau des techniques, de la production, des changements. Qui plus est, nous vivons dans un monde où l’industrie n’a cessé de s’améliorer, de se moderniser. On peut citer par exemple le toyotisme dans les années 80 et à l’heure actuelle la robotisation au Japon où des robots suréquipés et surproductifs remplacent l'homme, ce qui n'a de cesse d'augmenter la productivité

développant la polyvalence (dynamique forte de la DRH en matière de recrutement, de formation, de rémunération,…). - Une structure décentralisée avec un fonctionnement par projet et avec des cercles de qualité. - Un développement de la robotisation qui permet de produire des produits variées avec une grande productivité. - Le respect de la qualité qui repose notamment sur des responsabilités nouvelles données aux salariés - L’apparition de nouvelles méthodes telles que la modularité

quand l’augmentation de la production est proportionnelle à celle des facteurs utilisés (facteurs travail et facteur capital). -la croissance intensive, qui résulte plutôt de l’amélioration de l’efficacité de l’outil de production (machines, robotisation). *La productivité du travail (exemple : faire un repas en 1h plutôt qu’en 2h) mesure l’efficacité de l’outil de production. La hausse de la productivité permet de diminuer le temps de fabrication : il faut moins d’homme ou moins d’heure