La Robotisation

besoin croissant d'ouvriers marquent l'apogée du secteur ouvrier. La France connaît pendant cette période le pleine emploi. Celui-ci devient le premier secteur de l'économie française en 1926. Par la suite, les progrès de la productivité, la robotisation et la concurrence entraînant délocalisation et désindustrialisation affaiblissent le monde ouvrier. L'explosion du tertiaire En 1851, le secteur tertiaire représente 17% de la population active, en 2008 75%. Au XIXème, le développement

engendrée par une externalité positive ou négative. Un service à la personne ou un accident de voiture peuvent avoir le même impact sur la valeur du PIB alors que la société n’en aura pas la même interprétation. La hausse de production due à la robotisation d’une usine aura un impact positif sur la croissance économique de la France alors que les conséquences sur le bassin d’emploi de la région seront catastrophiques. L’activité humaine et industrielle engendre souvent une dégradation du capital

grande flexibilitÈ. 2. Une troisiËme rÈvolution industrielle prend forme On assiste ‡ un recul relatif, entamÈ dËs les annÈes soixante, des industries traditionnelles comme la sidÈrurgie ou le textile. Les nouvelles techniques, la robotisation, le dÈveloppement des nouveaux traitements de l'information, etc., entraÓnent l'essor des activitÈs industrielles de haute technologie (Èlectronique, informatique, aÈrospatiale), et le dÈveloppement du secteur tertiaire. Toutefois, les pertes

compétitions développées et connues dans le monde entier, et surtout appréciées de tout le monde. Mais encore, la vitesse permet un meilleur rendement et donc une production plus importante de choses utiles à l’être humain. La machination et la robotisation sont les principaux progrès dérivés de la notion de « vitesse ». Ils permettent non seulement d’accroître la production mais permettent aussi une meilleure organisation au sein d’une entreprise. Comme nous le dit le proverbe «  le temps, c’est

l'emploi et une plus grande flexibilité. 2. Une troisième révolution industrielle prend forme On assiste à un recul relatif, entamé dès les années soixante, des industries traditionnelles comme la sidérurgie ou le textile. Les nouvelles techniques, la robotisation, le développement des nouveaux traitements de l'information, etc., entraînent l'essor des activités industrielles de haute technologie (électronique, informatique, aérospatiale), et le développement du secteur tertiaire. Toutefois, les pertes subies

contradictoires A- Les effets quantitatifs 1. Les Nouvelles Formes d'Organisation du Travail quand elles privilégient la baisse des coûts peuvent nuire à l'emploi : délocalisations, restructuration (Question. 4), substitution capital/travail, robotisation des tâches les moins qualifiées pour éviter de rémunérer la main d'œuvre non qualifiée au-delà de sa productivité (à valoriser). 2. Les NFOT peuvent permettre d'améliorer la compétitivité hors-prix => + de qualité, différenciation des produits

technologies 1) La robotique, l’automatisation (Substitution du capital au travail) C’est le remplacement des hommes par des machines. Les robots font tout le travail ou une partie du travail humain. Le secteur automobile est un exemple typique de robotisation. Cette substitution a permis de supprimer les tâches pénibles pour les humains. 2) La productique (production informatique) Il s’agit de l’utilisation de l’informatique pour produire un bien : robot, chaines de montages… contrôlés par ordinateur

compenser cet effet négatif ? Si le PT en substituant du K au L détruit des emplois à CT/niveau micro, il faut envisager les effets à MT/LT dans une perspective macro. Jean Fourastié mais surtout Alfred Sauvy (1980), en pleine période de robotisation/début informatisation=> ont montré le mécanisme de déversement/compensation des emplois sur la longue période. En effet, de la RI à nos jours, le PT a certes détruit des emplois mais en a créé globalement nettement plus, comme le montre la très

cet affaiblissement de la classe ouvrière. Ces facteurs s’enchaînent de façon dynamique ( Q2 ) : La diminution du nombre des ouvriers s’explique par les gains de productivité obtenus dans l’industrie. A la suite du progrès technique et de la robotisation des usines, ces gains augmentent plus vite que la demande de biens. En conséquence, il faut moins de travailleurs pour produire un bien. Le secteur secondaire a perdu des emplois au profit du tertiaire ( Doc 1 ). D’autre part, le progrès technique

1ère révolution industrielle Essor des usines Naissance du prolétariat* *prolétariat : classe ouvrière. Éléctricité et pétrole Moteur à explosion Émergence de classe moyenne Travail à la chaine 2ème révolution industrielle Robotisation et délocalisation des industries Hausse du chômage et précarisation des emplois 3ème révolution industrielle Nouvelles technologies Cours Mutations des sociétés. * En 1850 la France vit encore majoritairement de l’agriculture après