La Ruse D Un Renard

de la Fontaine utilise comme animal le loup, qui veut se transformer en berger. Pour insister sur cette transformation, il se sert de figures de style telles que l’allégorie vers 3 « Crut qui fallait s’aider de la peau du renard », qui signifie que le loup doit recourir à la ruse pour se mettre dans la peau du berger ; ainsi qu’une métaphore vers 20 « Il voulut ajouter la parole aux habits », qui montre jusqu’à quel point le loup se prend pour le personnage qu’il incarne. Ensuite, on peut observer

ordres. Cependant, il manifeste sa cruauté en avouant les crimes dont il s’est rendu coupable. II/ La dimension satirique Le renard fait preuve d’une maîtrise du langage qui repose sur une juste appréciation du pouvoir royal. Il peut, en raison de sa sagacité et en vertu de son éloquence conjurer le danger. 1°) Un discours flatteur A°) La surenchère Le renard renchérit sur le discours du lion au vers 34. La remarque : « Vous êtes trop bon roi » reprend en effet la constatation du vers

hypocrite: il s’accuse pour mieux atténuer ses crimes. Le second personnage à intervenir est le renard qui incarne la ruse et la flatterie. Sa stratégie consiste à atténuer la faute du roi pour ne pas à avoir à avouer ses crimes. Dès que le roi avoue ses crimes , il minimise considérablement ceux-ci par un jeu sur les verbes . ( Le lion : « dévorer » (vers 26) Le renard : « croquer » (vers 38) ). Le Renard apparait véritablement comme un courtisan zélé et comme un maître dans l’art de la Casuistique

connait bien ces règles (notamment en ce qui concerne le décompte des syllabes, mais il n’hésite pas à mélanger les mètres et les rimes, afin d’être plus « naturel », et afin de créer des effets frappants. Lezione 5 - 12/10/2022I,2) Le Corbeau et le Renard  : vers octosyllabes, décasyllabes et alexandrins Comme d’habitude il y a une gravure qui doit illustrer la fable. Il n’a pas contrôlé et commandé tel image, c’est une initiative de l’illustrateur. Mélange de trois

faudra craindre/Le destin d'un de ces deux pots » (V.28). L'être faible disparaît ,l’être fort demeure. Pour l’adresse, c’est la même chose que pour la force pour survivre au XVIIème siècle. Dans le « Renard, Le Loup et le Cheval » (fable XVII, livre XII), le cheval fait preuve de vigilance. Le renard et loup voulaient en faire leur repas et décidèrent d’aller lui parler. Le cheval qui, au vers 18 « n’était pas dépourvu de cervelle » resta vigilant en renversant la situation en frappant le loup. La

l'anthologie sont regroupées selon les caractéristiques et les qualités de ces oiseaux. Plan Les deux pigeons ; livre IX, 2....................................1 Le renard et la cigogne ; livre I, 18............................3 Le milan et le rossignol ; livre IX,18.........................4 Le corbeau et le renard ; livre I, 2..............................5 Le corbeau voulant imiter l'aigle ; livre II, 16............6 L'araignée et l'hirondelle ; livre X, 6...................

l’énumération qui donne un effet d’accumulation. Le discours du singe est rapporté au Discours Indirect Libre. Il y a condamnation morale du rôle de courtisan  l’être c’est renoncer à la franchise. L’intervention du renard (v. 28 à 32) Le renard est conforme à sa nature : rusé et intelligent. Il essaye de dissimuler Le roi aime la dissimulation. C’est un homme sévère. Si on ne lui dit pas ce qu’il veut entendre, il nous « envoie chez Pluton ». C’est lui qui décide tout. Avis de La Fontaine

l'on relève seulement chez Perrault) et, devenu dès lors Maître Chat, fort de la confiance de son maître et de la crédulité du roi, il va mener à bien son projet avec une tranquille assurance dans le mensonge. Personnage de fable, c'est un PARENT du renard, dont il diffère cependant par sa qualité d'animal domestique : il trompe tout le monde mais reste fidèle à son maître. Pour aller plus loin Bien que la magie y intervienne, c'est le seul des Contes DE ma mère l'Oye qui ne commence pas par "Il était

courtisans • vers 1-13 : présentation de la cour : cadre temporel nettement délimité par les valeur de passé « voulut » « manda » • vers 14-32 : dans ce mouvement le récit voit s'installer une triple intervention ( ours v16-19 , singe v20-27, renard v28-32) où intervient le procédé de l'emploi du discours. • Ces mouvement sont relier par la versification : ours/singe par « irrité » « dégouté » « sévérité » vers 33-36 : moralité explicite. On passe du récit au discourt du fabuliste • Le passage

de courtisans • vers 1-13 : présentation de la cour : cadre temporel nettement délimité par les valeur de passé « voulut » « manda » • vers 14-32 : dans ce mouvement le récit voit s'installer une triple intervention ( ours v16-19 , singe v20-27, renard v28-32) où intervient le procédé de l'emploi du discours. • Ces mouvement sont relier par la versification : ours/singe par « irrité » « dégouté » « sévérité » vers 33-36 : moralité explicite. On passe du récit au discourt du fabuliste • Le passage