La Répétition De L Indu Cas Pratique

réalisait une fusion de la responsabilité civile et pénale, toutes étaient traitées ensemble. Plus tard on a admis que pour échapper au droit de vengeance l’auteur du dommage puisse verser une somme d’argent, c’est le prix du sang. On va fixer des cas spéciaux pour les réparations, fixés par l’autorité publique. Parallèlement l’autorité publique intervient sur le front de la punition, elle va assumer la punition des coupables. On assiste ainsi à la dissociation de la réparation, responsabilité civile

intégrante du chapitre sur la politique de concurrence, instituent un principe d’interdiction des aides d’Etat, principe assorti de possibilités de dérogations sous conditions. Ce principe d’interdiction s’accompagne d’une obligation de restitution au cas où l’aide aurait était octroyée en violation du traité. Pourquoi une telle obligation de remboursement ?   Les fondements de l’obligation de récupération   Deux fondements consolident cette obligation : des fondements juridiques et des fondements économiques

obligations naissent quasi ex contractu. Au VI, Justinien regroupe les faits donnant naissance à des obligations de ce type dans une catégorie à côté des la catégorie des contrats et des délits. Mais ce n’était à l’époque qu’un moyen de désigner les cas où l’on est tenu comme s’il y avait eu contrat. On en est venu à dire qu’on était tenu en vertu d’un quasi-contrat. Pothier fait ainsi figurer les quasi-contrats à côté des crimes et des délits parmi les sources des obligations. S’inspirant de lui,

2. Les pratiques anticoncurrentielle 3. La concentration économique 4. La transparence, les pratiques restrictives de la concurrence et les autres pratiques … B. les sources communautaires Traité de fonctionnement de l’UE et notamment certaines pratiques sont contrôlés voire interdite

due par un seul débiteur à un seul créancier. Il arrive que l'obligation soit plus sophistiquée parce que le lien d'obligation est susceptible d'aménagements. La force obligatoire du lien d'obligation peut être aménagée par les parties. Dans ce cas, l'obligation fait l'objet d'une modalité. L'obligation peut servir d'objet à des conventions spécifiques, qui peuvent avoir pour finalité de transmettre l'obligation ou de transformer l'obligation. On peut dire ici que l'obligation fait l'objet d'une

principe dans le marché intérieur c’est la liberté. Exception : des barrières de différents types. 2. La libre concurrence. Espace économique de 500 millions de consommateurs. Comment être sur que tous pourront tirer profit du marché intérieur. Deux pratiques à combattre : celles qui émanent des opérateurs économiques, qui vont chercher à se partager le marché i.e. constituer des cartels. Ensuite les contraintes qui émanent des Member States (MS) eux-mêmes. Parfois des entreprises ont des statuts particuliers

Partie à exercer sur le territoire d’un autre État une compétence et des fonctions qui sont exclusivement réservées aux autorités de cet autre État par son droit interne. 6 A/RES/58/4 Chapitre II Mesures préventives Article 5 Politiques et pratiques de prévention de la corruption 1. Chaque État Partie élabore et applique ou poursuit, conformément aux principes fondamentaux de son système juridique, des politiques de prévention de la corruption efficaces et coordonnées qui favorisent la participation

d’une autre entreprise afin d’en retirer un avantage dans la compétition économique. Lorsque le signe est protégé par un droit privatif seule l’action en contrefaçon peut être exercée, l’action en concurrence déloyale est donc résiduelle. Dans le cas contraire, on peut envisager l’action en concurrence déloyale et elle peut reposer sur deux formes d’imitation : * La recherche d’une confusion avec les produits d’une entreprise concurrente. * Le parasitisme qui permet à une entreprise d’en

n’habilite un État Partie à exercer sur le territoire d’un autre État une compétence et des fonctions qui sont exclusivement réservées aux autorités de cet autre État par son droit interne. Chapitre II Mesures préventives Article 5. Politiques et pratiques de prévention de la corruption 1. Chaque État Partie élabore et applique ou poursuit, conformément aux principes fondamentaux de son système juridique, des politiques de prévention de la corruption efficaces et coordonnées qui favorisent la participation

prestation envers le créancier Prestation = objet. A) Les prestations en nature 1) Les prestations en nature consistant à donner Donner : latin « dare » = transférer la propriété d’un bien. Ces prestations n’existent qu’en théorie. En pratique, ces obligations de donner sont des obligations fantômes : en droit français l’article 1138 du code civil dispose que le transfert de la propriété s’opère par le seul échange des consentements. Le débiteur n’a pas besoin de faire une quelconque action