La Révolte Des Valets

Il dénonce ainsi les préjugés sociaux, les faux-semblants afin de faire triompher la vérité. C'est un humaniste. Résumé du livre Iphicrate et son valet Arlequin font naufrage. Ils arrivent dans l'île des esclaves, fondée par des esclaves révoltés il y a une centaine d'années . Su cette île les maîtres deviennent les valets et les valets les maîtres. Ainsi, Iphicrate et Arlequin, Euphrosine et Cléanthis échangent leurs rôles donc aussi leurs vêtements et noms. Dès leur arrivée , chacun se

utopie sociale qui est centrée sur la problématique de la relation maîtres/valets, qui représente, dans les réalités sociales du XVIIIe siècle, un point important de réflexion. Il est très intéressant de remarquer la manière dont Marivaux traite ce thème central de sa pièce par le moyen de deux figures utopiques : il s’agit de l’île – lieu mystérieux où existe une société autre, fondée par les anciens esclaves de la Grèce révoltés contre leurs maîtres et du renversement, par lequel les personnages font

de Figaro, La Mère coupable. Le Mariage de Figaro (la pièce) - le sous-titre de la pièce: La folle journée - pièce centrale, se pose comme pré-révolutionnaire (parue quelques années avant la révolution de 1789) - résumé de l'intrigue: Figaro, valet du comte Almaviva, doit épouser Suzanne, la camériste de la comtesse, Rosine. Mais le comte, infidèle à son épouse, porte ses vues sur Suzanne. Il entend utiliser du « droit du seigneur » (droit de cuissage) qu'il avait lui-même aboli à l'occasion

leurs sentiments. De plus, d’une pièce à l’autre, ils se complexifient. Figaro, simple valet et complice du comte Almaviva dans le Barbier de Séville, devient son adversaire dans le mariage de Figaro. Il choisit dans ses œuvres de façonner ce personnage à son image. Omniprésent, il est le porte parole de l’auteur qui lui crée une vie pleine d’activité et expose sa déception ou sa colère à travers ce valet, pourtant intelligent malgré ce statut. Figaro vient d’ailleurs de « Fi-caron », voulant

confidences en 1737. L’histoire se déroule à la suite d’un naufrage, des rescapés échouent sur une île étrange, ou maîtres et valets sont contraints d’échanger noms, habits et conditions. Nous verrons dans un premier temps, des indices déjà fournit au spectateur puis nous montrerons que le maître perd de son pouvoir et nous finirons par une révolte, la rebellion du valet. Nous observons d’abord que le lieu de l’histoire se déroule sur une île déserte. La présence de procédé et de mot correspondant

ce qui montre l’importance du valet. Dans une pièce qui alterne toujours les scènes d’actions et les scènes de réflexions ils sont ensembles dans l’action mais lorsqu’il y a des moments de pauses c’est l’occasion pour eux de débattre et cela jusqu'à la fin de la pièce. I) Un duo inséparable A Relation traditionnelle II) La nature conflictuelle des relations I) A_ On a un valet et son maître le valet c’est Sganarelle il est héritier de la tradition du valet qu’on retrouve dans la comédia

autour de Prospero, comme le dit Ariel dans l’Acte I, scène II : « la promesse que tu m’as faite (…) ma liberté ». On peut donc savoir que la relation maître – valet entre Prospero et les esprits n’est pas éternelle et qu’elle risque de disparaître, par la volonté du maître comme celle du valet. Cependant, Prospero et Miranda ont aussi un valet, plus particulièrement un esclave. Il s’agit de Caliban, « un esclave engendré par le diable » (A.I, sc. 2 ), le diable étant la mère de Caliban, Sycorax, un

le Comte […] ! »  Multicité des pronoms et des métonymies « le tien », « le perfide », « vous »…  Le principe de la répétition et l’adresse « parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie ! » C/ But : exprimer la révolte puissante de Figaro et l’exacerbation de ses sentiments Il y a beaucoup de sentiments exprimés dans ce monologue sous différents tons : souffrance, colère, philosophie, humour…  Une alternance entre les différents registres et les tonalités exprime

les Lettres de Noblesse de la comédie, en s’intéressant plus particulièrement à un thème : les relations entre maîtres et valets. Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à « l’affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée, souvent impropre mais plus vivante des valets. » Mais l’opposition des classes dans le théâtre du XVIIIème siècle, comme semble l’affirmer ce critique, s’exprime-t-elle

remet pas en cause l'ordre social maître/valet. Pour Figaro, tout est positif dans cette chambre, mais pour Suzanne, c'est le contraire: elle y voit un piège. Dans la didascalie du départ, Beaumarchais utilise le mot "démeublée", qui est dépréciatif. Ils sont confortablement installés (le fauteuil est un fauteuil pour malade, il est donc confortable). Ce qui manque cependant est le luxe >> c'est ce qui va marquer la différence entre la chambre des valets et celle des maîtres (cf. la comtesse