La Sagesse Africaine

jeunesse. Mais cet orage qui peut se faire dévastateur dans beaucoup de cultures, dont la nôtre, occidentale, est maîtrisé, dans le roman de Seydou Badian, par la sagesse africaine. Ce roman, qui fait partie des œuvres à lire dans les écoles moyennes au Sénégal, permet au lecteur curieux une bonne approche de la tradition africaine. Répondre à cet article Facebook Rubriques L’association Malem-Hodar Auderghem Projets Réalisations On parle de nous Lectures

vieillissaient car la mort n'existait pas. Une vieille femme dit alors : «Nous voulons la lumière et la mort». Et il en fut ainsi : la mort vint avec soleil, lune et étoiles. Alors, les hommes moururent et montèrent au ciel pour y scintiller. Cosmogonie africaines Chez Les Yoruba (SW Nigeria / SE Bénin), Olorun est le dieu suprême, roi de la voûte céleste. Il envoie Obatala, son fils ainé créer le monde et lui donne le sable céleste et la poule à cinq doigts. Mais Obatala boit et s'endort. Olorun, furieux

abasourdis lorsque Biram décide d'épouser cette jeune femme sans même leur demander leur avis. Mais ces différends ne remettent jamais en cause la pertinence des valeurs coutumières transmises de génération en génération. Tout au plus montrent-ils que la sagesse héritée des anciens n'est pas constituée de règles rigides qu'il convient d'appliquer de manière aveugle. Cet héritage offre plutôt un certain nombre de repères solides qui permettent à chacun d'affronter les aléas de la vie en faisant les meilleurs

l’éclair d’un aigle ». Ce foudroiement par la beauté provoque une hyperbole qui encense une fois de plus cette femme .Cette comparaison n’est pas unique, au Vers 7, elle est comparée à un fruit mur à la chair ferme qui fais transparaitre ainsi sa sagesse, sa beauté …Plus un fruit est mur plus il est gouteux et bon .Ce procède utilisé fait aussi référence à la bible, en parlant du vin présent au dernier repas du christ. La description de cette femme lui donne un statut. La phrase Vers 3 écrite par

Vénérable Maitre, Et vous toutes mes sœurs en vos grades et qualités, ce midi, je vais vous entretenir d’un sujet très familier à notre société, à savoir : «  la sorcellerie dans la société africaine » Selon l’Anthropologie, la sorcellerie est une pratique ou un phénomène de société revêtant des aspects variés selon le contexte et le milieu socio culturel dans lequel ce mot est employé. Chaque société possède ses propres conceptions selon ses traditions, ses croyances, ses religions et ses rites

européens ont exterminé des hommes (amérindiens) donc il faut exploiter les africains qui ne sont pas des hommes + argument économique (prix du sucre) - Mise en relation du physique et de l'âme (symbolique culturelle) est ridicule --> les Égyptiens tuaient les roux et les Européens trouvent ça ridicule. - Argument contre les africains : ils préfèrent le verre à l'or --> seulement une question de culture - Si on reconnaît les Africains comme des hommes et qu'on les exploite, on est contre la chrétienté.

Dissertation sur la democratie Sujet: Démocratie et violence : atypisme politique récurrente et paradoxe humaine Il est triste et opportun de nous questionner en ce 21eme siècle, ce que nous Africaines et Africains devrions comprendre ou entendre exactement par démocratie. Je suis certain au vu de ce qui se passe sur notre continent, qu’une confusion ou malentendu sur les principes de la démocratie existe malgré le nombre d’érudits que renferme nos gouvernements (ceux et celles a qui nous avons

Les grands dirigeants de la planète ont unanimement salué le courage, la détermination et la sagesse de Nelson Mandela, dans lequel le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a vu «une source d’inspiration» pour le monde. «Grâce à sa farouche dignité et à sa volonté inébranlable de sacrifier sa propre liberté pour la liberté des autres, il a transformé l’Afrique du Sud et nous a tous émus», a déclaré Barack Obama, premier président noir des Etats-Unis, dans son hommage au premier président noir

culturelle En contestant la suprématie occidentale, les peuples africains ont redécouvert l’enracinement de leur propre civilisation. A cet égard un retour aux sources de la culture nationale semble être le premier pas vers la libération créatrice, mais il cesserait de l’être si, au lieu d’aboutir à une vie culturelle authentique, il n’était que l’effet d’une vision passéiste de la culture. Si les Etats africains parlent de traditions africaines plutôt que de cultures traditionnelles, c’est qu’ils ne peuvent

par exemple que « le drame de l’homme africain, c’est qu’il n’est pas suffisamment rentré dans l’histoire ». Dire cela, c’est oublier que la culture d’une nation, d’un ensemble de nations, repose avant tout sur la conception que l’on se fait du temps. La question de savoir si l’Afrique est pré-moderne ou post-moderne, pour être principalement rhétorique, conduit toutefois à s’interroger sur le statut « métaphysique » de la culture et de l’histoire africaines, dans un temps mondialisé. La question