La Satire Du Clergé

digne représentant de la bêtise, qui d’après Finkielkraut, " la bêtise est dangereuse. C’est refuser la complexité du monde, les différences ". Pour finir, cette vision « bête » apparaît aussi chez l’abbé Bournisien pendant l’épisode de la « Satire du clergé » aux pages 173 - 175. L’abbé est matérialiste " j’ai connu là de pauvres mères de familles, des femmes vertueuses, je vous assure, de véritables saintes, qui manquaient même de pain " […] " de feu l’hiver " […] " lorsqu’on est bien chauffé,

mot inventé pour qualifier la loi qui légitime un enfant né onze mois après la mort de son père. II] Le rire a un véritable pouvoir A/ Permet de se moquer et de critiquer : la satire (= critique d’une époque, d’une politique, d’une morale ou attaque certains personnages en s’en moquant) - Satire religieuse ° ex : On rit des maîtres théologiens de la Sorbonne, les précepteurs sophistes Thubal Holopherme et Joseph Bridé, mais aussi de Janotus de Bragmardo, avocat occasionnel venu

du clergé sur tous les fidèles y compris les souverains. D’Holbach évoque une époque passée, lointaine mais indéterminée durant laquelle par étapes successives, la nécessité des « cérémonies » (l. 4) qui rendent hommage à la divinité (remarquons que l’auteur de l’article fait mine de parler de toutes les religions), « la superstition » (l. 6) (le grand mot est lâché) s’installant, les prêtres forment « un groupe séparé » (l. 8), allusion à peine voilée à la constitution hiérarchique du clergé, qui

Une désaffection générale par rapport à la vie politique se fait jour. L'histoire se déroule à Florence en 1537. L'Italie est à la mode et le siècle des Médicis et des Borgia fascine. La Florence du XVe siècle et son peuple de marchands permet la satire du de la doctrine économique française de l'époque. Ses politiciens sont corrompus et débauchés, son peuple a l'opinion changeante. Musset critique indirectement la société française de son époque.  Florence est l'emblème de la tyrannie. Assassinats

est un géant de trente-deux kilomètres de haut, jeune savant parlant mille langues, vivant quelques millions d’années et habitant une gigantesque planète de l’étoile nommée Sirius. A la suite de travaux scientifiques contestés par les fanatiques du clergé de sa planète, il est contraint à l’exil. C’est alors qu’il voyage dans l’univers en espérant découvrir un monde meilleur. À son arrivée sur Saturne, le géant sirien se moque d’abord de la petite taille des habitants, qui ne mesurent que deux kilomètres

27 février 1594 à la cathédrale de Chartres, et fut assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac à Paris. Depuis l'assassinat d'Henri IV , c'est sa veuve, Marie de Médicis, qui assure la régence. Mais les rivalités entre clergé, noblesse et tiers-état empêchent toute avancée. Les états généraux, discrédités, ne seront plus réunis avant 1789. Entre temps, Richelieu, principal ministre de Louis XIII de 1624 à 1642, permettra à la monarchie de reprendre le dessus sur l'aristocratie

pensaient que les handicapés mentaux étaient possédés par des démons. Malgré certains médecins détachés de la religion les malades allaient voir des médecins religieux mais pensaient rarement à aller voir des médecins scientifiques. Selon les membres du Clergé, le seul médecin était le Christ, lui seul pouvait guérir les malades. Les malades, quelle que soit leur maladie, ce rendaient dans une basilique où ils pouvaient séjourner plusieurs mois. Le Saint, médecin du corps et de l’âme, peut alors les guérir

différentes classes sociales. A cette époque, l'un des principes de base de la caricature apparaît : la schématisation. Elle permet d'aller droit à l'essentiel. La censure établit par la monarchie est toujours présente, le roi ne peut donc être visé et le clergé devient alors une des cibles favorites des artistes. La caricature va contribuer à la propagation des idées révolutionnaires en prenant le parti du Tiers-Etat. Elle a donc trouvée un nouvel essor durant la période révolutionnaire puisqu'elle a joué

réunissant les trois ordres de la nation: le Clergé, le Tiers-État et la Noblesse en 1789, pour essentiellement trouver une solution à la crise économique, des solutions budgétaires et adopter des mesures fiscales. Mais finalement le 9 juillet 1789, les députés des 3 ordres s'érigent en Assemblée nationale Constituante: c'est le serment du jeu de Paume. L'abbé Sieyès, député du Tiers-État, bien que faisant aussi partie du Clergé, permet de réunir le Clergé et le Tiers-État pour renverser la Noblesse:

l'austérité par la souplesse et la détente. L'atmosphère est a la fête, les français renouent avec la fantaisie et la frivolité. Le théâtre devient leur divertissement préféré. MAIS ils retrouvent aussi le gout de l'insolence et de l'irrespect : bcp de satires , la liberté demeure relative.Politiquement, il augmente les pouvoirs du Parlement, tolère voire encourage le relachement des Moeurs.Il permet aussi (grace aux persécutions religieuses) permet au pays de se tourner vers l'étranger (particulièrement