La Satisfaction Des Désirs Procure T Elle Le Bonheur

jamais en vue d'une autre chose. Or le bonheur semble être au suprême degré une fin de ce genre, car nous le choisissons toujours pour lui-même et jamais en vue d'une autre chose : au contraire, l'honneur, le plaisir, l'intelligence ou toute vertu quelconque, sont des biens que nous choisissons assurément pour eux-mêmes (puisque, même si aucun avantage n'en découlait pour nous, nous les choisirions encore), mais nous les choisissons aussi en vue du bonheur, car c'est par leur intermédiaire que nous

pour se racheter, pour se faire pardonner du pêché originel. L’homme travail donc pour accomplir un devoir et non par sa propre volonté. C’est pourquoi nous percevons le travail comme une contrainte, comme une obligation dont l’exécution ne nous procure aucun plaisir. L’esclavage a accentué cette vision péjorative du travail car l’esclavage c’est l’aliénation totale de l’homme dans ce qu’il fait. C’est-à-dire qu’il n’appartient pas à son essence, il ne s’affirme pas en travaillant mais se nie,

souffrance. La satisfaction y met fin; mais pour un désir qui est satisfait, dix au moins sont contrariés; de plus, le désir est long, et ses exigences tendent à l’infini; la satisfaction est courte, et elle est parcimonieusement mesurée. Mais ce contentement suprême lui-même n’est qu’apparent : le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue. La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement

la mort et, travailler pour notre bien et celui de nos semblables. Etre libre c’est de s’affranchir de toute contrainte. Une fois nous dépassons, nous surmontons cette peur nous devons être heureux. Ca doit être le bonheur total. Le premier élément qui permet de s’approcher de ce bonheur consiste non pas à augmenter les plaisirs, mais à se libérer de certaines souffrances morales dont la mort, la peur de mourir. Cela permet d’atteindre une certaine « sérénité » et de libérer une joie de vivre intense

vivre sans raison ni imagination. Cependant, leur usage reste accidentel, puisque l’Homme reste soumis à ses émotions et passions. Pascal va plus loin en montrant l’attirance de l’Homme pour l’imagination, par la satisfaction qu’elle procure. Ce bonheur est plus grand que celui que procure la raison, voilà pourquoi l’Homme a tendance à s’éloigner de la raison. La raison est donc montrée comme impuissante face à l’imagination, dépendant d’elle. Pascal fait donc l’éloge de l’imagination, en la qualifiant

méthode du bonheur. Le bonheur sera l’affaire de la philo mais il n’est pas facile à atteindre. Pour cela il faut satisfaire à un certain nb de conditions. L’épicurisme croit en la connaissance (physique) pour dissiper les illusions. Il faut aussi surmonter les obstacles du corps et de l’âme. Les conditions qui tiennent à l’âme c’est qu’elle est sujette à des craintes qui sont incompatibles avec le bonheur. Le corps est aussi soumis à des besoins, désirs, incompatibles avec le bonheur. Le bonheur constitue

Cependant, on peut accomplir une bonne action pour se donner bonne conscience ou pour faire bonne impression. Un acte moral apparaît toujours intéressé d'une manière ou d'une autre, c'est-à-dire qu'on y trouve toujours un intérêt. Épicure appelle « désirs vains » les trois formes de désir « égoïstes » (soif de posséder, soif du pouvoir, soif des honneurs) qui peuvent pousser l'homme à agir dans son propre intérêt et non dans celui de la collectivité. Un acte moral n'est donc pas nécessairement désintéressé

1) Le bonheur, souverain bien - Le bonheur est, en effet, ce que tous les hommes désirent. Il est recherché comme une fin absolue et non relative. Si chaque activité particulière tend vers quelque bien (la médecine vers la santé, l’art financier vers la richesse, etc.), ces biens ne sont pas poursuivis pour eux-mêmes, mais seulement comme des moyens en vue d’une fin plus haute qui est le bonheur. Le bonheur est donc le souverain bien, en ce sens que toutes les fins particulières se subordonnent

se réduit-il, se limite-il, se ramène t-il seulement Homme  : être raisonnable ayant des besoins et désirs Subvenir à ses besoins  : satisfaire à ses besoins Justesse de la signification d’ensemble du sujet(REFORMULATION):Le

trois systèmes: Inconscient (Ics), Préconscient (Pcs) et Conscient (Cs) • Ils ont chacun leur fonction, leur type de processus, leur énergie d’investissement et leurs type de contenus • Les contenus: – L’inconscient: pulsions, besoins, peurs, désirs, souvenirs honteux, pensées immorales… – Le Préconscient: représentations qui ne sont pas présentes a la conscience mais qui peuvent le devenir – Le Conscient: informations du monde extérieur et du monde intérieur (sensations de plaisir/déplaisir