La Sociolinguistique

florence.abadie@drjscs.gouv.fr ANLCI-1 place de l’Ecole-BP 7082-69348 LYON Cedex 07.Tél. 04.37.37.16.80 Fax. 04.37.37.16.81. www.anlci.gouv.fr Le Programme Régional d’Intégration des Populations Immigrées (PRIPI) et on reparle des Ateliers SocioLinguistiques (ASL) En Aquitaine, le PRIPI consacre une fiche action aux ASL dans l’axe 1 « Promouvoir l’apprentissage de la Langue Française » ainsi que dans l’axe 2 « Faciliter l’accès à l’emploi et à la qualification ». Le PRIPI est consultable en ligne

aptitude à suspendre son jugement, aptitude à tolérer l’ambiguïté et à apprécier la diversité culturelle. Les Capacités: désignent la capacité d’écoute pour des personnes d’autres cultures, capacité d’adaptation, des capacités sociolinguistiques, empathie, et la souplesse cognitive. VI : CONCLUSION : Pour conclure, mon stage s’il a été riche d’échanges et de découvertes, m’a beaucoup apporté tant au niveau professionnel que personnel. La question éthique se pose donc

pourrait croire ingénument qu’en se libérant du verrou linguistique qui l’emprisonnait, la traductologie allait quitter les sables mouvants de la linguistique contrastive pour s’installer véritablement au carrefour de disciplines annexes, comme la sociolinguistique ou les sciences cognitives, aujourd’hui à la mode. En réalité, force est de constater que l’enseignement de la traduction est encore complètement inféodé à une structuration et à une philosophie linguistiques, dont la matérialisation est le

compétence de communication. En premier lieu, Canal et Swain définissent quatre compétences. Tout d’abord, la compétence grammaticale qui comprend les éléments lexicaux, phonétiques et sémantiques de la langue. Ensuite, il y a la compétence sociolinguistique qui englobe les règles socioculturelles en lien avec la situation sociale, soit le savoir-vivre linguistique et le registre de langue. La troisième compétence est définit par des interactions et d’un discours séparés par les concepts de cohésion

français de l'Ouest (et donc de ceux du laurentien en général) par deux traits consonantiques. On prononcera donc « métis » [mɪʧɪs] (ou, bien sûr, [mɪʧɪf]),« dimanche » [ʤimɑ᷉ʃ], « jeudi » [ʒøʤi], « bon dieu » [bɔ᷉ʤø], etc.http://uoh.concordia.ca/sociolinguistique/m/module3/co/module3_60.html4/ Remarques : · https://www.youtube.com/watch?v=L_OFwpkAqFM · https://www.youtube.com/watch?v=qbQJOXP9wGgL’assimilation  Dans une prononciation

correspondantes à des zones assez précises (zone du plaisir...). Paul Borca définit une zone qui serait à l'origine du langage, c'est ce qu'on appelle l'air de Borca. Carl Wernicke lui va définir la zone de compréhension, c'est l'air de Wernicke. La sociolinguistique : Le fondateur est WILLIAM LABOV. La langue fait partie de la société- Nous parlons la même langue mais différament à cause de plusieurs facteurs tels que l'âge, le milieu social, le sexe, la situation géographique ect... 

descriptions théoriques, il n’en va pas de même pour la composante sociolinguistique. Pour ce qui est de la composante discursive, les outils de description existent mais leur utilisation didactique n’est pas toujours évidente. Enfin la composante stratégique est peu utilisée au niveau pratique tout au moins de manière explicite. Enseigner la langue dans sa dimension sociale Prendre en compte les travaux menés en sociolinguistique signifie essentiellement proposer comme objet d’étude une langue

linguistiques, pragmatiques, sémiologiques, sociolinguistiques et surtout psycho-cognitives, et à la lumière des travaux actuels sur la compréhension et la mémorisation, on peut dire que la compétence discursive des sujets et , à la fois, constituée par une compétence communicationnelle et par une com LA TYPOLOGIE TEXTUELLE Une réflexion se situant au point de rencontre des recherches linguistiques, pragmatiques, sémiologiques, sociolinguistiques et surtout psycho-cognitives, et à la lumière

paraphrase dilatée). b/ dialinguistique Cette proposition terminologique est établie sur une généalogie de concepts du type de « dialecte social »8 ou de « diasystème »9. Elle vise à remplacer — quoique pas systématiquement — « l’étiquette sociolinguistique [qui] est ambiguë dans la mesure où elle donne à penser qu’il serait possible d’assigner à ces états de langue(s) ou zones de discours un substrat réel de locuteurs déterminés en fonction de coordonnées sociologiques relativement précises.

retrouvent en situation d’apprentissage du français en milieu naturel par le simple fait de vivre en France. Dès leur arrivée, ils entrent dans un processus d’acquisition/apprentissage du FLS. Ils vivent dans une société dont la caractéristique sociolinguistique est définie par Calvet (1987 : 52) comme « un type de plurilinguisme à langue dominante unique ». La France n’est certes pas complètement monolingue du fait de la persistance de l’usage d’un certain nombre de langues régionales mais aussi, précisément