La Souveraineté Du Roi Cardin Le Bret

publiques, des faits sociaux avec le droit. Chapitre I : La France I- Géopolitique Le nom « France » proviendrait du peuple des francs que l’on disait courageux, hardis, féroces, braves. Vers 630 on pouvait dire que tous les sujets du roi mérovingien étaient qualifiés de « francis ». Egalement vers le VIème siècle le royaume qui se constitue autour de Clovis va être appelé « Francia » puis « Regnum Francorum », on parle du « populi franciae ». Ce royaume a des capitales successives :

car les structures politiques ont également évolué. Au départ, dans la Grèce Antiques, on se trouve face à une Monarchie. De cette royauté de la Grèce antique, on peut dégager 3 éléments : 1/ Cette Monarchie met en relation un roi, des nobles et un peuple. Le roi ne déteint son pouvoir ni par un désignation ni d’une élection. 2/Puis après la monarchie, apparition du Régime de la Cité= Grèce Classique. Le pouvoir n’appartient plus à une seule personne mais à une communauté. Cette communauté

nécessairement vers la décadence. Cela fera de lui un philosophe conservateur, préservateur et réactionnaire car réagira et protestera envers toute évolution. Cette position démontre que la connaissance est le principe des Cités, donc le philosophe-roi réalise un alliage entre le pouvoir et le savoir, il y a ainsi la place pour une science de la Cité, une science politique. Ce thème de l’union du savoir et du pouvoir est constant chez Platon et dans ses œuvres. Cela signifie que la seule qualité indispensable

chatellenies 253 Chapitre III. Le renouveau de la monarchie au bas Moyen âge ( XIIème – XVème siècles ) 255 Section I. Les institutions royales : la restauration du pouvoir royal 256 Paragraphe 1. Le pouvoir royal et la souveraineté du roi 257 Paragraphe 2. La Couronne, préfiguration de l’Etat 265 Paragraphe 3. Le domaine royal et la formation du royaume 273 Paragraphe 4. Le gouvernement et l’administration royale 277 Section II. Les institutions

politique se laisse percevoir dans l’identification à une figure historique négative : Cléopâtre rappelle peut-être aux Romains le souvenir douloureux de Tarquin le Superbe, qui agit comme un repoussoir moral et politique. Cléopâtre est comparable à ce roi tyrannique et perfide, qui est d’ailleurs accusé d’occultisme par Tite-Live1. Plus ambitieuse et plus habile que Didon, elle représente une menace sérieuse pour l’identité romaine : Cléopâtre, reine égyptienne de sang grec, est l’étrangère qui séduit