La Souveraineté Est Elle Indivisible

du peuple le titulaire de la souveraineté en disposant que "la souveraineté nationale appartient au peuple français qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum." Le mot souverain vient du latin superus qui signifie supérieur. La souveraineté est le principe de l'autorité suprême. En matière de politique, elle a le droit absolue d'exercer une autorité (législative, judiciaire, et exécutive) sur une région, un pays, ou même un peuple. La souveraineté a été défini par Jean Bodin

3 de la constitution de 1958 : « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. » En se basant cet article 3, on peut en déduire que le peuple, c’est à dire l’ensemble des citoyens, détient la souveraineté nationale en France. Toutefois, l’article 2 dispose pose le principe de la République comme étant le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » qui sous entend la souveraineté populaire. Ces articles méritent une

articles. L’article 6 traite du principe de souveraineté. Dans cet article, deux thèses sont visibles, la souverainete populaire défendue par Rousseau (I) ainsi que la souveraineté nationale de Sieyes (II). I. La théorie rouseauiste du Contrat social: la souveraineté populaire. Rousseau était un philosophe politique, la souveraineté populaire part donc d'abord d'une idéologie (A) qui deviendra une réalité (B). A) L'idéologie de la souveraineté populaire. Selon une conception d’origine

régimes républicains. Le 1er article de la constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale». « Une République indivisible » : aucune partie du peuple, ni aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale. Seul le peuple exerce cette souveraineté par la voie de ses représentants (ex : les députés) ou du référendum de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question

Souveraineté nationale : La Souveraineté se définit, en droit, comme la détention de l’autorité suprême, c’est-à-dire d’un pouvoir absolu (dont tous dépendent) et inconditionné (qui ne dépend de qui que ce soit). Dans les régimes despotiques, la Souveraineté est le plus souvent détenue par un seul homme. Dans les démocraties, elle est détenue par le peuple, constitué en un corps politique, la nation : on parle dès lors de Souveraineté nationale. Souveraineté populaire : La souveraineté populaire

l’Etat-nation. C’est une idéologie qui vise à faire concorder de façon rigoureuse, à rendre homothétiques sur un même territoire, l’unité politique et l’unité culturelle, linguistique ou ethnique, grâce à l’action d’un pouvoir central détenteur d’une souveraineté exclusive, support visible de l’intérêt de tous et représentant unique de l’ensemble des citoyens. Cette volonté d’unité conduit à poser l’Etat et la nation, la citoyenneté et la nationalité, comme des synonymes. Bien que le terme de « jacobinisme

logique géographie, quelles sont les limites au territoire ? Quelle est la qualité du territoire ? Uniforme, géographiquement séparé, stable ? -3ème élément : UN GOUVERNEMENT, il faut qu’une institution les dirige, qu’un gouvernement qui exerce la souveraineté. L’autorité du gouvernement est-elle effective ? Est-elle légitime ? Paragraphe 1 : La Population Deux observations concernant la population : -LE SEUIL DE POPULATION : s’il existe une quantité numérique minimale sur l’homogénéité de la

analyse historique : la monopolisation des prérogatives politiques A | A l’intérieur : l’unité du pouvoir B | A l’extérieur : l’indépendance du pouvoir § 2 — Une analyse systématique : les théories de la souveraineté (à suivre) A | Un concept fondamental, flou & potentiellement dangereux 1° Un concept dit fondamental 2° Un concept piège aux facettes multiples et parfois contradictoires

processus de décentralisation, cependant la démocratie française est marquée par l’importance des pouvoirs dévolus à l’Etat central. D’après les Constitutions françaises qui se sont succédées, la République a toujours été reconnu comme « une et indivisible », ce qui ne fait que confirmer son caractère unitaire. Malgré tout, cette République a aussi dû reconnaitre la décentralisation et la déconcentration, puisqu’elle accorde certains pouvoirs à ses collectivités territoriales ainsi que des statuts

la nation 3 A. Définition 3 B. La relation entre nation et Etat 4 1. L’identification entre Nation et Etat : la concordance 4 2. La dissociation entre Nation et Etat 4 II. Le territoire 4 III. La souveraineté 5 A. La notion de souveraineté 5 1. La souveraineté extérieure 5 2. La souveraineté intérieure 5 B. Le pouvoir de l’Etat 5 Les formes juridiques de l’Etat 7 I. L’Etat simple 7 A. Le principe d’unité 7 B. Les modalités d’exercice du principe d’unité 7 1. La déconcentration 7 2.