La Souveraineté Nationale Appartient Au Peuple

Le rôle du peuple dans les institutions de la Ve République « Le peuple n’a jamais exercé le pouvoir et ne l’exercera jamais » selon Olivier Duhamel. Pourtant la définition même de la démocratie implique le gouvernement du peuple par lui-même et pour lui-même, principe posé par l’article 2 de la Constitution de la Ve République, promulguée en 1958. Dans la conception rousseauiste absolue, la souveraineté du peuple implique même la prise de décision par le peuple. Les citoyens cherchent

J.J Rousseau dans son célèbre contrat social dit que «  s'il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement ». Il y ajoute également : « un gouvernement si parfait ne convient pas à ces hommes ». On peut ainsi imaginer que la vraie démocratie serait très certainement un système dans lequel chacun participerait à la décision. Il s'agirait donc d'une démocratie semblable à celle des landsgemeinden suisses et serait par conséquent directe. A la fin du Moyen Age; l'idée de représentation

entre Souverainetés Populaire et Nationale. Source N°1 : Wikipedia Souveraineté Populaire : La souveraineté populaire a été défendue à l'origine par les révolutionnaires « radicaux », notamment par certains éminents philosophes des Lumières avec en première place J.J Rousseau. Chaque citoyen détient une part de souveraineté et cela se traduit traditionnellement par un régime de démocratie directe, avec suffrage universel, puisque nul ne peut être dépossédé de la part de souveraineté qui est

droit constitutionnel détermine les règles juridiques relative à la structure de l'état et à l'exercice du pouvoir. On y trouve différents institutions : législatif, exécutif et juridique. Le pouvoir politique c'est le pouvoir de commandement qui appartient à certains individus que l'on appelle les gouvernants à l'égard des citoyens que l'on appelle les gouvernés. Chapitre 1 : L'état C'est la personnification juridique de la nation souveraine. Les conditions d'existence d'un état sont au nombre

omniprésents dans la réflexion constitutionnaliste : la souveraineté et la représentation. Section 1 - La souveraineté Ce premier thème nous amènera à présenter les différentes doctrines relatives à l'attribution de la souveraineté, avant d'envisager leur fonction. § 1 - Les doctrines de la souveraineté A. La notion de souveraineté 1. Définition Le terme comporte plusieurs sens, on l'a déjà dit. Après avoir évoqué la souveraineté de l'Etat, c'est de souveraineté dans l'Etat qu'il sera question dans ce chapitre

particulièrement riche, instable car on a tout essayé et les acquis de la révolution sont toujours en place. Grande instabilité constitutionnel et stabilité juridique. A) La Révolution: La révolution vient de la réunion de différents facteurs, la misère du peuple, crise financière et la naissance de la philosophie des lumières. En effet, au 18e siècle, on a un courant de pensé qui a commencé à s’élever contre l’ancien régime (cycle des lumières), avec de grand philosophes qui veulent secouer la société de

couramment opposés : souveraineté national / souveraineté populaires et analyser comment la Vème République les articule. A) Le principe de la souveraineté nationale La souveraineté se définit, en droit comme la détention de l'autorité suprême, c'est-à-dire d'un pouvoir absolu et inconditionné (qui ne dépend de qui que ce soit). Dans les régimes despotiques, la souveraineté est détenue le plus souvent par un seul homme. Dans les démocraties, elle est détenue par le peuple, constitué en un

simplement la loi de la majorité, c’est la loi de la majorité respectant comme il convient le droit des minorités. » discours du 12 septembre 1945 de Clément Richard Attlee. La démocratie vient de demos et cratos, c'est-à-dire un gouvernement du peuple par le peuple, ce qui suppose en théorie l’identification des gouvernants et des gouvernés. Plus concrètement, c’est un régime dans lequel tous les citoyens possèdent à l’égard du pouvoir un droit de participation (vote) et un droit de contestation (liberté

Commentaire : « La souveraineté nationale appartient au peuple, qui l’exerce par ses représentants et par voie du référendum. » Introduction : La démocratie est un régime de liberté et d’égalité, elle implique l’obéissance à la loi dont le dèmos (le peuple) est l’auteur, une participation active aux affaires publiques, la fidélité à une constitution qui est son propre, une souveraineté qui exclut, par définition toute forme de tyrannie ou de « despotisme »[1]. Ce principe est l’essence de

Droit Constitutionnel : La démocratie Définition de la Démocratie à l’occidental sur une idée de Périclès et reprise par le Président Lincoln : « Le Gouvernement du peuple pour le peuple et par le peuple », phrase consacré dans l’art 2 de la Constitution. Art 2 -« Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. » L’Art 1 lui qualifie la république française de « Démocratie ». « Art. 1. - La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale… » L’image