La Subjectivite Dans Le Langage De Benveniste

juridique. Cette langue commune a fait l'objet de spéculation tardive (au 18eme siècle). L'acte de naissance véritable d'une langue commune européenne est présenté en inde par le magistrat Sir W. Jones le 2 février 1796. George Dumézil, et Émile Benveniste vont développé l'étude de cette civilisation commune, parlant une langue commune. Progressivement ce renforce l'idée que si il y a structure linguistique commune c'est qu'il y a eu un peuple porteur de cette langue. La langue indienne, la langue

York, Greenwood Press, 1991. François RIGOLOT, Louise Labé lyonnaise ou la Renaissance au féminin, Paris, Champion, 1997. RUOLZ-MONTCHAL, Discours sur la personne et les ouvrages de Louise Labé Lyonnoise, Lyon, Aymé Delaroche, 1750. Nicolas RUWET, Langage, Musique et poésie ( étude d’un sonnet de Louise Labé), Paris, Le Seuil, 1972.  &        = :          !  "    #  $      Chiara SIBONA, Le Sens qui résonne : étude du sonnet

laquelle tend à se réaliser un certain équilibre entre le monde intérieur et le monde extérieur et qui permet l’accomplissement symbolique du désir, la construction ou l’atténuation progressive de l’angoisse ; au bout du compte, le jeu constituerait un langage analogue à celui du rêve, qu’il s’agirait de déchiffrer. 6 Héritiers de J. Huizinga, J. Château et R. Caillois distinguent dans le jeu une activité à part entière, une forme de comportement. Le jeu c’est d’abord ce à quoi l’on joue, et qui présente

même à l’écrit, il peut toujours être remplacé par un conditionnel passé 1e forme, et l’usage trop fréquent du conditionnel passé 2e forme dans un roman moderne paraitrait affecté. C’est pourtant cette caractéristi­que de temps typique du « beau langage » qui explique que le conditionnel passé 2e forme soit d’un emploi relativement fréquent même dans la langue courante : des usagers de la langue s’en servent, consciem­ment ou inconsciemment, par recherche d’« élégance ». Ce phénomène ressortit aux

vengeance, propÂgeaient sur les Juifs les fantaisies désobligeantes de Manéthon, et, de plus, assimilaient leurs légendes aux récits bibliques, à la grande fureur des Juifs ; ainsi la confusion des langues et le mythe de Zeus enlevant aux animaux leur langÂge unique. Les Sophistes, particulièrement froissés de la conduite des Juifs, parlaient contre eux dans leur enseignement. Un d'entre eux même, Appion, écrivit un Traité contre les Juifs. Cet Appion était un singulier personnÂge : menteur et bavard