La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

rats morts dans la ville. L’angoisse commence à naître chez les habitants d’Oran. La mort douteuse d’un patient du docteur Rieux va confirmer que la peste est de retour. Les portes des villes se ferment. Dans la deuxième et troisième partie le narrateur nous montre que l’épidémie influence les comportements de chacun des habitant : " la peste fut notre affaire à tous». Les habitants semblent résignés. Ils donnent l'impression d'avoir perdu leurs souvenirs et leur espoir. Ils n'ont plus d'illusion

Développement : D’abord, c’est le narrateur qui raconte l'histoire mais sa présence n'est pas explicitement marquée d’où on a une focalisation interne. Le récit est fait à la troisième personne du singulier (il), et se pose de ce fait comme extra et hétérodiégétique. - Meka est le facteur principal qui fait bouger tous les évènements et est le centre d'attention du lecteur. - La scène se passe dans la petite localité de "Doum". L’extrait commence par l’expression "Ce fut le tour

narratif dans lequel une personne réelle raconte sa propre existence à travers un texte dont il est à la fois le narrateur et le personnage principal. Les événements relatés se sont réellement passés et les personnes évoquées ont existé car l’auteur nous dévoile la vérité sur sa vie afin que le lecteur le découvre tel qu’il était.  L’autobiographie repose sur le principe suivant : AUTEUR = NARRATEUR = PERSONNAGE   I) Les enjeux de l’autobiographie : Pourquoi parler de soi ?  • Faire revivre des souvenirs

ou encore ''oublie'', la présence de métaphores ainsi que de comparaisons tel que ''Ce bon air de Paris qui semble contenir des effluves amoureux'' ou ''la rue en était pleine comme un gros mélange de coton sale'' permettent aussi de traduire la subjectivité du personnages, en effet cela nous montre la vision du monde qu'à le personnage, Autrement dit la façon dont celui-ci voit ce qui l'entoure. Nous pouvons remarquer que Zola et Jean-marie Gustave Le Clézio utilisent les mêmes procédés dans la narration

celui qui formule ce discours, l'auteur du discours, renonce à apparaître comme un sujet qui prend la parole, s'efface derrière un texte. La littérature texte ne se donne plus comme une parole à entendre mais comme un texte à lire à laquelle la subjectivité de l'auteur compte moins que le monde représenté par le texte. Dans ce cas la littérature est un texte qui veut donner à voir un monde plutôt qu'engager un échange avec le lecteur. La littérature c'est un genre, celui du roman, au XIXe siècle.

intervenir plusieurs narrateurs) II) Le Portrait d’Anne-Marie Stretter (qui va éclipser Lol V Stein et changer son destin, deux femmes autour desquelles se forme la trame du passage à l’étude) Conclusion : Si on ne la considère généralement pas comme relevant du mouvement littéraire du Nouveau Roman, Marguerite Duras participe néanmoins à la remise en question de l’écriture romanesque traditionnelle. On le voit clairement dans ce passage: si elle refuse la toute-puissance d’un narrateur omniscient

l’existence ; l’extrait le montre décidé à quitter Bouville, la ville normande où il réside. ------------------------------------------------- IDEE GENERALE Sujet : Les adieux de Roquentin à Bouville : description « en plongée » de la ville et mépris du narrateur pour ses habitants Objet/problématique : satire de l’humanité moyenne par un intellectuel idéaliste qui condamne la médiocrité et l’aveuglement ------------------------------------------------- COMPOSITION C’est un monologue intérieur en 3

Une parabole Le narrateur entame l’œuvre par deux propositions liminaires qui constitue le décor et le contexte de l’extrait et qui créent une mise en attente avant l’apparition du je

diverses réactions. Nous chercherons à montrer en quoi lʼauteur dresse la critique dʼune société occidentale obtuse par le regard neuf du narrateur à travers la description unique dʼune métropole européenne. Pour ce faire, nous étudierons dʼabord la description unique de la ville provoquée par la focalisation interne du narrateur, puis comment la subjectivité de celui-ci conduit à la critique dʼune société occidentale obtuse. Développement: I- La description subjective dʼune ville européenne 1)

fait » ? Les temps présents et passés sont ici les temps du discours et ils apparaissent dans la narration et le commentaire : « elle a eu », « elle a porté », « elle passe ses doigts », « qu’est ce qu’elle fait ? ». b) Les marques de la subjectivité se manifestent au niveau de la perception et se traduisent par des sensations visuelles, « la voir », « j’ai vu », « je me suis caché les yeux » ainsi que par des sensations auditives, on peut citer, « entendre », « le klaxon a encore appelé »